Chronique :Kidnapper le jour de mon mariage

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Salam aleikum,
J'espères que vous aviez tous passez un joyeux eid :)

Se qu'il me dit se soir la me choqua vraiment...je n'aurais jamais penser a tout se qu'il m'aurait dit se soir la ...
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Il a fait deux café, il m'a tendu un et il a pris un.

Lui : je veux pas te le dire dans cette état quand même !

J'ai vite rincer mon visage et j'ai essayer d'oublier tout, puis j'ai bus mon café et lui aussi, ensuite il y' avais se regard sur moi qui me déstabiliser je me suis donc tourner vers Younes qui me regardais j'ai crus qu'il aller regarder ailleurs mais non, c'est moi qui a fini par détourner mon regard et lui de rire !

Moi : alors ?

Lui : j'aime pas parler a quelqu'un qui me regard pas ! Arrête de regarder le placard il est pas si intéressant que sa !

Je l'ai donc regarder attendant qu'il commence à parler, il a respirer profondément puis c'est mît à parler.

Younes : Warda...

Moi : hm ?

Younes : écoute moi attentivement, me pose pas de question c'est pas a moi de te  répondre d'accord ?

Je savais pas de quoi il parlait mais j'ai finis par hocher la tête.

Younes : c'est pas comme ci personne ne savait que j'allais te kidnapper se jour la.

Moi : quoi ?? Qui savait alors ?

Lui : bah...heu...c'est compliquer tu vois mais c'est la vérité ... Ton père était au courant !

Ton père était au courant !

Ton père était au courent !

Ton père était au courant !

Cette phrase m'avais comment dire briser le cœur en mille morceaux ? Mais pourquoi il n'a rien fait ? Pourquoi j'ai l'impression qu'il a confiance a Younes ?

J'ai regardé mon kidnappeur pour plus d'explication mais il m'a fais comprendre que ce n'était pas à lui de me dire se qui c'est passer ni à répondre à mes questions.

Je me suis donc lever et je suis aussitôt aller dans ma chambre sous les appels et les cris de Younes.

Je sentais quelqu'un courir dans les escaliers les pas s'approcher de plus en plus jusqu'à ce que Younes me tire par la main et me tourne vers lui.

Moi calmement : lâche moi Younes.

Younes : regarde moi d'abord.

J'ai relevé ma tête vers lui.

Il me regarder avec un regard tout différent pas celui qui m'effrayer avant ni celui qu'il utilise pour effrayer ou menacer les gens.

Moi : pousse toi.

J'ai finis pas dire ne contrôlant plus ma rage.