Noémie - Je ne veux pas savoir pourquoi tu n'étais pas là ce matin ! Mais ! Pourquoi tu n'étais pas là !?
Je rigola à sa remarque, la meilleure amie devenant une mère.
Moi - Quelqu'un, comme mon petit copain, m'a clouée au lit d'une certaine façon dont tu ne veux pas les détails.
Noémie - J'étais en économie pendant que tu t'envoyais en l'air avec Zayn ?!
Moi - Moins fort ! Oui, et alors ? Je fais ce que je veux. Je ne suis pas morte.
Noémie - Pas encore mais si ton père l'apprend, tu l'es.
Moi - T'inquiète pas pour ça, je n'aurais plus se fardo sur le dos dans moins d'une semaine.
Noémie - J'espère, je ne veux pas perdre ma meilleure amie comme elle a perdu sa soeur...Je lui fis un câlin amicale. Je ne mourrais pas.
M. Ziboert - Ils vous manquent quelque chose Mademoiselle Thompson ?
Moi - Oui, les vacances et la tranquillité !
M. Ziboert - Très drôle, Thompson.
Moi - Je sais, c'est mon talent caché.
Carly - Comme le fait que t'es une pute ?
Moi - C'est toi qui est concernée par ta suposition. Je ne couche pas avec n'importe qui de gauche à droite. MOI.Je l'ai vexée ? Tant mieux. Elle m'a cherche, elle m'a trouvé. Jamais chercher d'embrouilles avec Aleyna Ophélie Thompson. Un bon conseil donnait par la direction. Je regarda ma meilleure amie morte de rire à mes côtés.
M. Ziboert - Thompson, emmené la dehors, prendre l'air. Je crois qu'elle en a besoin.
Moi - Vous ne croyez pas, c'est sûr !Je me leva suivis de Noémie morte de rire, tellement qu'elle devait se tenir à mon bras puis on sortit de la salle de classe. On ne reviendra pas dans la salle avant la sonnerie pour chercher nos affaires.
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Dernier cour, mathématiques. Je suis la seule de la classe qui se débrouille donc je me fais appeller dans tous les coins de la classe pour venir à la rescousse. La fin du cour retentit dans tous le lycée. En sortant du lycée, je fais la bise à Noémie qui partit en compagnie de Liam tandis que j'attendais Zayn. Il arriva en courant.
Zayn - Désolé, d'être venu en retard, princesse...
Moi - Ton prof t'a gardé ?Il se mordit la lèvre. Il a fait une connerie. Mais la quelle ? On va le savoir ! Gueuler sur le prof ? Est-ce que c'était une bonne idée ?
Moi - Tu as gueulé sur ton prof ?!
Il freina vite fait. On était sur la route ? Depuis quand il roule ? Les voitures de derrière commencent à klaxonner et certaine à nous dépasser sur la gauche.
Zayn - Sa va pas de crier quand je roule ?!
Moi - Je suis désolé, je n'avais même pas remarqué que tu roulais !
Zayn - C'est rien mais fais gaffe la prochaine fois !
Moi - Oui...Il reprit la route, les klaxons disparurent derrière nous.
Zayn - Et oui, j'ai gueulé sur mon prof.
Moi - Je peux savoir pourquoi ?
Zayn - Car il a fait une remarque sur mes amis et toi.
Moi - Qu'est-ce qu'il a dit ?
Zayn - Il a sous entendu que je te ferais du mal...Pour qui il se prend se prof ? À se meler de la vie de ses élèves ?
Zayn - C'est bon, maintenant que je te l'ai dit ?
Moi - En quelques sortes...Il se gara devant la maison où il habitait avec sa famille.
Zayn - Comment ça ?
Moi - Désolé d'avoir dit cela pour t'obliger à me le dire. Je suis beaucoup trop curieuse...On arrivait dans sa chambre, il jeta son sac de cours dans un coin, se retourna vers moi et me prit rapidement dans ses bras.
Zayn - Ce n'est pas grave, tu sais que je t'aime donc je dois accepter tes défauts tout comme tes qualités.
Moi - Je te remercie tellement.
Zayn - Je t'aime Aleyna Ophélie Thompson.
Moi - Je t'aime Zayn Jawaad Malik.Il sourit et on s'embrassa d'un baiser doux.
Patricia - Zayn, Aleyna. Vous venez dîner ?
Zayn & Moi - On arrive !On s'embrassa encore avant de descendre rejoindre les Malik pour prendre le repas. Après le repas, j'appellerais ma mère. Je sais que Anthony part de la maison pendznt un ou deux jours à partir du lundi midi.
En repas, tout le monde souriait ou rigolait, tous les contraire des repas que je prenais avec ma famille. Il y avait toujours au moins une personne qui quittait la table en pleure à cause de mon "père" et c'était souvent moi ou ma mère. Yaser accepta que je monta appeller ma mère. Je composa le numéro du portable de ma mère. 1 sonnerie passa.Appel téléphonique
Maman - Aleyna ! Ma petite fille, tu me manques tellement !
Moi - Toi et Ilan me manquaient aussi beaucoup, comment il a réagit ?
Maman - Il est parti dans la forêt te chercher depuis il n'est plus revenu. Tu ne l'as pas vu devant le lycée ?
Moi - Non, et je ne vais pas m'en plaindre.
Maman - Fait attention quand même, je ne voudrais pas perdre ma deuxième fille.Moi - Je te promets Maman que je ne mourrais pas à cause de lui.
Maman - Très bien, sinon sa va auprès de Zayn et de sa famille ?
Moi - Ils sont tellement gentils, je ne saurais jamais assez les remercier pour m'aider... AHHHHHHH !
Maman - ALLÔ ? ALLÔ ? ALEYNA ? RÉPOND MOI !Omniscient
Zayn trouva le téléphone de sa petite-amie par terre, le son de la voix de la mère de celle-ci en sortait. Il prit le téléphone.
Zayn - Allô ?
Madame Thompson - Zayn !? Dit moi qu'Aleyna va bien ! *pleurant*Zayn regarda par la fenêtre et vit un loup monstrueusement grand et sombre portant sa chère et tendre inconsciente sur son dos. Zayn serra les dents.
Zayn - Madame Thompson !
Madame Thompson - Oui ?!
Zayn - Ma mère et mes soeurs vont venir vous chercher vous n'êtes pas en sécurité chez vous !
Madame Thompson - Et Aleyna !?
Zayn - Je vais la chercher en compagnie de mon père, prenez le plus d'affaires que vous pouvez !
Madame Thompson - Ma fille...
Zayn - Je vous promets qu'elle sera seine et sauve.
Madame Thompson - Je te fais confiance, Zayn ! Ne la trahit pas !
Zayn - Je ne le ferais pas.Fin de l'appel téléphonique
Zayn raccrocha et mit le téléphone dans sa poche. Il descendit en vitesse expliquant la situation à sa famille. À peine, finis son monologue comme il l'avait dit, les filles Malik partirent chercher Madame Thompson et son fils tandis que Zayn et Yaser se transformèrent en loup et suivait la douce odeur d'Aleyna, celle que Zayn aime à en mourir...
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The Monster [Z.M.]
FanfictionMa grand-mère est dans son lit d'hôpital, là où elle va mourir. Son cœur va de moins en moins vite pendant que moi, je pleure la suppliant de pas me laisser. "S'il-te plaît grand-mère, ne meurt pas" pleurnichai-je "Ne me laisse pas" "Écoute ma chér...