C'est en entendant le son du réveil de mon petit-ami que je me réveilla. Une fois que je pus ouvrir les yeux correctement, je me tourna tout en gardant ces bras autour de moi. Le réveil ne suffit pas à le réveiller ? Je m'en charge alors. Je faufilla ma tête dans son coup et l'embrassa tendrement. Il fit un petit grognement et ouvrit petit à petit ces magnifiques yeux marrons avec cet même petite couleur rougeâtre.
Zayn - Bonjour, princesse.
Moi - Bonjour, bien dormis ?
Zayn - Comme un enfant ayant sa peluche.Je lui fis un grand sourire et replongea ma tête dans son cou pour laisser une trace de mon passage et en humant son délicieux parfum. Je suis tellement bien, je pourrais rester comme ça toute ma vie si je le pourrais.
Zayn - Aller, va te préparer. Tu mets plus de temps que moi à te préparer.
Je lui tira ma langue puis me leva pour prendre des affaires et foncer dans la salle de bain. Tandis que je me coiffais et me maquillai, mon esprit divaguait vers la question qui va sûrement me trôtter toute la journée dans la tête : "Comment c'est passé le réveil à la maison ?".
Je m'inquiétais énormément pour Ilan et ma mère qui a tellement subis d'événements horribles à cause de mon géniteur. J'ai tellement honte d'avoir ces gènes, son sang coulaient dans mes veines. J'ai le sang d'un monstre qui coule dans les veines. Zayn entra dans la salle de bain, me prit dans ses bras sans explication. Il a lut mes pensées.Zayn - Tu t'habitues vite.
Je fis un léger sourire à sa remarque qui disparu très vite.
Zayn - Hé, princesse, il ne mérite pas tes larmes d'ailleurs personnes les mérites.
Moi - Même pas toi ?
Zayn - Même pas moi, je te fais la promesse de jamais te faire pleurer. Je me détesterai si je te voyais pleurer à cause de moi.Je sécha mes larmes pour laisser place à des larmes de joie face à ce qu'il m'a dit.
Moi - Même si c'est des pleures de joie ?
Zayn - Là, je ne dis pas non.Je le pris dans mes bras pour faire un énorme câlin à mon amoureux. Il plaça ses mains sous les fesses pour que j'enroule autour de sa taille, mes jambes. Puis se tourna vers le lavabo, dont on était de profil tout à l'heure, pour me déposer au-dessus. Je lâcha prise de mes jambes sur ses hanches mais nos baisers étaient plus intenses. Il descendit dans mon cou et fit les mêmes gestes que moi pour le réveiller.
Zayn - On a quoi en première heure ?
Moi - Économie... Han...
Zayn - Deux heures ?J'hocha la tête pour m'empêcher de gémir dût aux baisers doux et chaud de mon petit copain.
Zayn - Sa te dit qu'on va en cour seulement cet après-midi ?
Moi - Han...
Zayn - Sa n'a pas l'air de te déranger.Il me porta de la salle de bain à sa chambre pour continuer ce que nous avons commencer.
Ce fut, je pense, le meilleur matin de ma vie. Ce réveiller dans les bras de celui qu'on aime, une promesse magnifique et pour finir un plaisir intense. Que demandez de plus ? Que ma mère et mon frère aillent bien.
Nous étions sous ses draps, complètement nus et en sueur. Je tourna la tête vers le premier son de la journée et je remarqua qu'il était 10 heure.Moi - Il est que 10 heures, on peut encore dormir ?
Zayn - Si sa te fait plaisir.Je l'embrassa tendrement et positiona ma tête sur sa poitrine, plus précisément sur son coeur. Il battait à une vitesse grandiose.
Moi - Doudou, ton coeur bat vite.
Zayn - Tait toi, ton coeur battait plus fort, il y a quelques minutes.Je cacha ma gêne qui apparu sur mon visage dans son cou.
Zayn - Tu t'es grillé toute seule.
C'est vrai.
Zayn - Soit pas gênée princesse. C'est normal que ton coeur s'emballe.
Il descendit son visage pour qu'il soit face au mien et me fit de furtifs bisous sur le front, mes joues, mon nez, mes yeux, mes tampes et ma mâchoire. Mais jamais sur mes lèvres.
Je disais juste avant que le meilleur matin mais aussi la matinée la plus douce que j'ai vécu.-----------------------------------------------------------------
N'oubliez pas de poser des questions pour les personnages de la fiction ou moi-même ! xx
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The Monster [Z.M.]
FanfictionMa grand-mère est dans son lit d'hôpital, là où elle va mourir. Son cœur va de moins en moins vite pendant que moi, je pleure la suppliant de pas me laisser. "S'il-te plaît grand-mère, ne meurt pas" pleurnichai-je "Ne me laisse pas" "Écoute ma chér...