-allé bon sang ! Plus que 2 petit degré pitié refroidi encore un peu.
J'ai une grand personne plie en deux et suppliant un café de 85 degré de baissé encore un peu en lui plongeant un thermostat dedans. Cette scène devais être plutôt intéressant a regarder.
Encore heureuse que le 60 eme avait sa propre salle de repos, même si il n'y avait que le stricte minimum ( cafetier, sucre, eau, thé et vin en tous genre, une vrai cave a vins le truc).
La barre du thermostat pointait enfin vers le 83 tant attendu, et ni une ni deux j'était parti en courant pour livrée le café a mon boss adorée qui ne buvais pas si il était pas exactement chauffée a 83 degré ( règle n•1 des règles d'or voir chapitre 2)
J'arrive donc au pas de course devant la porte de son bureau et je toc 3 coup comme je fait toujours:
- entrez, la réponse fus presque instantané.
J'avoue que j'avais un peu peur de rentré. Et pour cause, la premier et dernière fois qu'on c'était vue, j'ai assisté a une de ses parties de jambe en l'aire.
Je pris une grand inspiration et entre résignée et prête a en voir de toute les couleurs.
- pas trop tôt, tu a pris t'en temps en dirait, dit-il sans daigné me regard, visiblement trop occupé avec ses dossiers.
Je m'approche de son bureau avec prudence, Et je remarque au passage qu'il portait un sublime ensemble costume gris, cravate bleu claire sur chemise bleu un peu plus foncée. Cette fois ses cheveux était magnifiquement plaqué en arrière, ça petit barbe de 2 jour était encore plus dense qu'hier. En toute franchise il était beau quand il travaillait... Je viens sérieusement de pensé ça!?
- tu compte me donner se café ou tu a prévue de me reluqué toute la journée en bavant dans mon café, dit-il en donnant un bruyant coup de tampon sur une énorme pile de papier.
- oh ! Mes.. Mes excuses, tenez votre café Mr.killer, je lui pose alors le café sur un petit espace clairement destinée a cette était du faite qu'il y'avais déjà un dessous de verre.
Je reste planté la pendant quelque seconde continuant de l'admire dans son œuvre, avant que SA MAJESTÉ ne daigne mettre de côté sa parasses et de me parler:
- tu compte resté la encore longtemps, t'as pas du linge sale a déposé au pressing ou je sais pas quoi encore, et il se tourne vers moi se reposant les dos dans son fauteuil rotatif.
- je voulais juste être sur que le café était a votre convenance avant de partir . Je répond le sourire le plus forcé du monde sur mes lèvres.
-hum vraiment, soupire t'il comme si il se moquait de moi, alors voyant donc ça.
Il plonge alors d'un coup le doigt dans le café brûlant:
- mes vous été fou ! Je hurle en lui sautant a la main et ressortant son doigt, si vous voulez vous brûler les doigt faite ça chez vous !
Je défais un foulard que j'avais au tour du cou et le plonge dans un seau de glaçons qui reposait sur une commode, je le ressort et lui enroule sur la main:
- rapide ! Se moque t'il cette fois de manière très ouverte, tes réflexes son excellent... Pas comme se café.
Il se fout de moi là!
- ce café est a 80 degré il est refroidit et donc imbuvable, il prend la tasse et l'envoie vacillé sur le sol en face de son bureau, et quel est cette horreur que tu ma enroulé sur la main!
Il enlève mon foulard et le jeté a la poubelle en bas de son bureau comme si c'était la chose la plus crade du monde :
- ahh-, souffle t'il d'un aire agacé en se passant les doigt dans les cheveux et en se massant les yeux , sort de mon bureau ...et oublie pas de déposer mon costume chez le tailleur en revenant du pressing , dit lui de reprendre les manches .
Il pris une lingette hygiénique et s'essuya les mains puis, il retourna vers ses dossiers et continue:
- en rentrant des courses tu nettoiera ce foutoir , je veux que tout sois nickel a mon retour du meeting de ce midi, j'ai une invite très spéciale qui me viens de Tokyo. Me Dit-il un sourire salas au coin.
-Mouai dite juste que vous aller vous envoyer en l'aire, sérieux pourquoi j'ai besoin de savoir ça moi. je marmonne dans ma barbe.
-oh et avant que j'oublie j'ai besoin du costume avant midi soit 12h 00.
Il était 10h50 , et d'après Judy , le taille et le dressing sont a des lieux diamétralement opposé et chacun est a l'autre bout de la ville:
- non mais vous rigolez-, et encore une fois des paroles qui s'échappent.
- excuse moi ?
- j'ai dit avec plaisir monsieur !
- mouai.., grommela t'il en me lançant un regard percent qui me glasse le sang et me donne des frisons...(pourquoi des frisons?!)
- Si vous voulez bien m'excuse je vais y aller maintenant.
- t'es encore la ?
Et alors que je sortais de son bureau je l'entendit dire dans son interphone:
- Bianca (Judy) mon café stp , Arghhh c'est pas si compliqué de faire du café quand même.
Je réussie a me contrôle et sort sans un bruit. Je passe par mon bureau ou devrais-je dire le donjon de la débouche ! (référence chap 4) et le magnifique costume italien tout en noir m'attendait bien sagement. Je pris donc le costume et mon sac et sorti aux gallo.
Sur le chemin de l'ascenseur je croise Judy au pas de course qui portait le café de Satan ! Et je lui demande:
- Judy est-ce que la voiture est là je suis super a labour et j'ai vraiment besoin de speeder!
Sans s'arrête et en passant en coup de vent a côté de moi tout en me regardant d'un aire confus elle dit:
- quel voiture? Et elle continua son chemin.
C'est une blague ?!
###########à suivre ##########
Pauvre Christy -... Je veux dire CRISTAL - CRISTAL ! •.•
Sinon qu'avez vous pensez de ce chapitre?
En espérant que vous avez apprécier.
n'hésité pas a me mettre vos avis/ critiques ( constructives svp) et autres en commentaire.
Et N'oubliez pas de laisser une petite étoile ;)
Byeee
VOUS LISEZ
Working for the devil.
RomanceLorsque vous avez vécue dans la précarité pendant un bout de temps, trouver un travail qui paye 20 000 dollars par mois c'est la meilleur chose qui puisse vous arriver ! Mais Comment faire lorsqu'à votre premier jour de travail, vous vous retrouvez...