Working for the devil.

Situation de crise.

Mon corps tout entier se figea.

comment était-il déjà au courant ?

Qui Le lui avait dit ?

Comment suis-je supposer me sortir de se Bourbier?

" Je ...je ..." je commence a balbutier.

Il laissé échapper un clique de longue en resserrant s'en emprise sur mes poignets:

" mauvaise réponse" il me susurre, toujours en me suçotant le cou.

Je ne savais plus où donnée de la tête, je n'étais vraiment pas d'humeur à flirter, et encore moins à prendre par à ses petit jeux.

J'essaie de Le repousser, mais rien à y faire, il me plaque encore plus fort au mur:

" bien essayé mais je ne te relâcherais que lorsque tu m'aura avoué tes pêchés" il murmur en passant cette fois à l'autre côté de mon visage.

Je me sentais horrible, je n'avais même plus envie de profiter de l'instant, je voulais juste me libère de ce poids qui m'alourdissait Le coeur.

Sans vraiment pouvoir y faire quoi que se soit, Je sentie mon visage s'humidifier, ma vie se flouter, mes lèvre se Salée, et d'une voix tremblante je dis :

" je n'aurais jamais dû...je n'ai pas été à la hauteur des promesses que j'ai faite ni du poste auquel j'ai été nommé... j'ai donnée des informations à notre plus grand rivale sur le marché sans même m'en rendre compte...j'ai laissé ma vie privée et mes sentiment affluer et affecter mon travail ...je n'aurai jamais dû..."

Soudain il s'arrête, plus aucun mouvement de sa part, il était comme figé sur place.

" je suis désolé..." Je fini par les dires ses fameux mots que je me suis toujours promis de ne jamais dire.

Un instant de silence s'installa, et à cette instant je n'aurais jamais autant espère l'entendre m'insulter, me crie dessus, me menacer ...enfin être lui quoi.

Il relève sa tête tout doucement, et s'éloigne de moi de quelque pas, me relâchant et me rendant ma liberté.

Je sèche mes larme le plus vite possible, me préparant à subir sa fureur de plein fouet, et à l'écoute de traité de tout les noms avant de me virer et de m'assigner en justice dès demain.

Mais rien de tout cela n'arriva.

" Merci Pour ton honnêteté" dit il d'une voix posée.

Son visage semblait anormalement calme.

pourquoi n'était il pas en colère?

J'étais complètement déboussolé, perdu et Je dois avoué choqué par sa réaction.

" Je ..."

Mais avant même que je puis en placer une je fus coupé:

" nous devant retournée le plus rapidement possible au bureau, La RR&C à probablement déjà divulgué les information qu'ils ont récupéré, nous devant minimisé les dégâts au maximum" il dit d'une voix déterminer et affirmé qui m'envoya des frissons.