Le destin fait mal les choses.

9.5K 495 62
                                    

J'était mortifié, mon corps était comme figé devant l'entré de la chambre:

- il est sous la douche mais tu peu entré si tu veux. Me propose la jeune fille.

Ma gorge commençais a se serré, j'avalais donc bruyamment  ma salive et troublé et confuse je commence a balbutier:

- et vous été qui vous ?

Elle écarte du doigt une mèche qui lui retombait sur le visage et me répond:

- je suis Sofi, me répond t'elle.

Je comprend donc que c'est une de ses bimbos, et la colère me gagne:

- et bien écoute moi bien ma petite Sofi, j'entre dans la suite et tout en entrent je remarque des vêtements jeté partout.

Je continue mon avancée dans la chambre et passe a côté du petit salon ou deux verres de vain était pose sur la table basse, une culotte rose fuchsia gisait  sur le canapé en cuire blanc lait,
Et plus j'avançais dans la suite plus de vêtements en pagaye et de lampes chassé jonchaient le chemin.

Je m'arrête avant d'arrivé a la chambre a couche, car je ne voulais absolument pas voir son état, je regard je femme qui me suivait du regard avec d'attention et je repenses :

- tu va ramassé tes petites affaires, remettre ta culotte, reprendre tes aire de petite dépravée et foutre le camp d'ici !

elle me regard dépitée :

- non mais pour qui tu te prend l'assistante ! Commença t'elle a beuglé d'un aire outré.

Je m'arrête un moment et réfléchie a la question , mais oui, qui je suis moi pour me mêle de ce genre de choses...

Je  vois alors du coin de l'œil le haut de costume de Mon patron et je ne comprend pas la douleur qui traverse mon cœur et qui se répond par petit vague dans mon corps tout entier:

- pour qui je me prend ? Je répète

- exactement ! Pour qui tu te prend sale petit boniche de merde! Rétorque t'elle.

- je me prend pour la petit ami du mec avec qui tu vient de t'envoyer en l'aire , je prend un vase que traînait a côté de moi et je le lui lance dessus.

heureusement pour elle il s'éclate sur le mur a côté:

-voilà pour qui je me prend! je dit cette dernier parti avec une émotion très proche de la réalité qui était le parfait mélange entre haine, colère, amertume, dégoût , et tristesse.

Soudain je reprend mes esprits et je devient toute gêner en réalisant les propos que je venais de tenir.

Elle devient blafard, elle rougie l'aire clairement gêné aussi et commence maladroitement a rassemble ses affaires, et sans même prendre la peine de s'habille elle enfile son imperméable  et quitte la piece comme si elle avait le diable a ses trousses.

Je m'assoie sur une chaise du comptoir de la cuisine, je tremblais de la tête au pied, mon cœur me fessait mal, j'avais envie de pleurer, de vomir, de crie, de frapper quelque chose  ou quelqu'un ..définitivement quelqu'un.

Et  j'avais aussi envie de me fracasse la tête contre le mur pour mettre faite des filmes...c'est donc ça l'amour! Ça rend bête et aveugle et complètement schizo.

Je tenais ferment le papier entre mes mains, et soudain j'entend des applaudissements:

- fantastique ! Le coup du vase c'était une excellent idée et l'histoire de la petite amie ~~ brillant.

C'était lui, mon patron, pour le quel  j'avais réalise que j'éprouvais des sentiment, sentiment j'aurais due détruire aussitôt qu'ils se sont manifesté.

Il sortait de la douche et ne portait rien qu'une serviette au tour de la taille.
le haut de son corps exposé, et brillant sous l'effet de l'éclairage tamisé de la piece. Il était ruisselant des pieds a la tête, et des goutes d'eau courraient sur sa plastique de rêve.

Je dois avoué que cette vision était plus qu'alléchante, mais mon cœur était remplie d'amertume et de dégoût:

- je te dit pas merci pour ta rapidité elle ma stalké toute la nuit ! Mais bon j'ai quand même passé du bon temps, Dit t'il d'un ton méprisant avant de prendre une pomme et de croquer dedans a pleine bouche.

Je sent mon cœur s'alourdir de plus en plus, ma vue se troublé de plus en plus et ma gorge et mon nez me picoté. J'était si frustré! Si énervé! Si ...si ! C'était le signe que j'allais pleurée; je réunie donc mes derniers efforts pour garde le contrôle:

- voici le fax que vous m'avez demandé, je suis désolé du retard, je vous promet que ce ne se reproduira plus; Je suis prête a en assumer  les conséquences.

Je dit ça d'une trait,  sans le regarde dans les yeux , et  lui tend le fax ne pouvant plus attendre et voulant a tout pris quitté sa présence pour pouvoir me morfondre sur mon imbécilité.

Il contourne le comptoir et ce met juste devant moi, je ne le regard toujours pas, je me tourne donc a mon tour vers lui et je lui tend a nouveau le fax.

#########à suivre ##########

Sinon qu'avez vous pensez de ce chapitre?

En espérant que vous avez apprécier.

n'hésité pas a me mettre vos avis/ critiques ( constructives svp) et autres en commentaire.

Et N'oubliez pas de laisser une petite étoile ;)

Byeee

Working for the devil.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant