" ferme les yeux et lève la tête"

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Il m'attrape le bras avec force, m'empêchant de bouger:

- " et tu compte aller où comme ça ?" Il me dit d'un ton plus menacent que la normal.

Je gigote pour essayer de me défaire, mais rien à y faire, il me saisi l'autre bras.

Nous étions désormais face à face, l'espace entre nous était si réduit que je sentais sa respiration s'écraser contre Le haut de ma tête, fessant virvolté quelque mèches de mes cheveux.

Je regardais vers le sol pour évité tout confrontation, mais soudain il resserré sa poigne sur mes bras et me dit froidement:

- " regarde moi "

Je ne répons pas et tout en gardant la tête baisser je la remue de droite à gauche en signe de refus.

Son étreinte se resserrées encore sur mes bras, jusqu'à me faire lâcher un petit gémissement de douleur:

- " j'ai dis lève la tête" il répète " je ne le redirais pas " il conclu.

Toujours la tête baissée , je répons de la tête.

Je ne voulais vraiment pas avoir à affronter sont regard, déjà pour ce que j'avais fais, et puis pour l'histoire Avec Franck ...

Un petit moment de silence s'installe, et je peux littéralement sentir son regard sur moi, me scrutant de haut.

Et après quelque instant, il relâche mon bras, mais cette fois il s'attaque à mon visage.

Il dépose tendrement ,et à ma grande surprise, ses mains de chaque côté de mon visage, Le prenant en bol entre ses paumes. Il s'approche légèrement de mon oreille et me murmur:

-" tu m'exaspère "

Je ne dis rien et garde la tête baisser.

Et il continu:

- " tu es une horrible assistante"

Je ne dis toujours rien.

Il ajoute alors:

- " tu as frapper ton patron, sur ton lieu de travail, devant témoin et tu..."

Il marque une petit pause, et je sens sont emprise sur mon visage se resserrer.

Il prend alors un grand inspiration et expire bruyamment dans mon oreille, il relâche mon visage et le reprend tendrement, avant de reprendre:

- " et tu t'ai permis de soit disant démissionner , alors que je t'ai offer un travail lorsque tu en avait Le plus besoin ".

Mais qu'est ce qu'il raconte ...c'est pas lui qui m'a offer le travail c'est gaby! Lui il n'a fait que me réduire à l'état d'esclave !

Bien que j'avais envie de lui répondre, mais je me rappel que j'ai fait bien pire que de démissionner ....

Il reste silencieux pendant un moment, comme pour me laisser assimiler tout la situation.

Mais comme toujours la patience n'étant pas sont fort il s'impatiente:

- " sérieux ...tu m'énerve..." il me souffle presque comme un aveux.

Soudain il me relâcha le visage s'écartant légèrement de moi, et me dit:

- " ferme les yeux , et lève la tête"

Mon cours de mit alors à palpiter à mille à l'heure, je ne savais pas quoi faire.

J'hésite un instant , avant de commencer à fermer doucement les yeux.

Je les ferme sans vraiment les fermer pour me laisser un petit espace pour voir ce qui se passait, mais ma stratégie tomba à l'eau :

- " pas de triche ! " il grogne.

Et je ferme alors instinctivement les yeux, pour me plonger complètement dans le noir.

Je ne voyais rien, et je le sentait pourtant plus présent que jamais.

Mes sens s'étaient démultiplier et j'étais à l'affût du moindre bruit, de la moindre sensation, de la moindre odeur.

Soudain je sentis le bout de ses doigts clissé légèrement sur la peau de mon avant-bras, et des frissons m'envahirent.

Alors que mon  esprit essayait de résonner mon coeur qui palpitait, son odeur me remplit les poumons, lorsque je sa respiration vient s'écraser contre ma lèvre supérieure.

J'imaginais la distance ridiculement proche de nos lèvres, sans pour autant les sentirent s'unir.

Sans pouvoir contrôler mon corps, les lèvres s'avançaient à la recherche des siennes, mais lorsque nos de peau se frôlèrent, je sentis les siennes s'éloigner.

Par fierté, je rappelle les miennes à l'ordre, Avec un goût d'insatisfaction.

- " dit Le ..." il me murmur alors.

Venant se blottir sournoisement au creux de ma gorge, sa barbe me piquant légèrement ma jugulaire, m'obligeant à bouger le cou lui dévoilant ainsi ma nuque exposé, qu'il n'hésita pas à attaquer de ses lèvres perfide.

-" dire quoi ..." je dis entre deux halètement.

- ".. tu sais très bien quoi ..." il réplique se frayant un chemin jusqu'à ma joue, en écartant mes cheveux du chemin.

Dire quoi ?:

Que je n'arrivais plus à réfléchir?

que mon coeur allait explosé?

que mes lèvres brûlaient de désir?

que mon corps frémissait d'envie?

Que je le voulais, plus que je
N'ai jamais voulue quiconque dans se monde ?

Que....je l'aimais à en perdre la raison.

Jamais !

Ma fierté me serrais la gorge, je Elle préféré mourir que de le lui dire.

MAUDITE FIERTÉ MAL PLACÉE!

- " même si je le dis...qu'est ce que ça changerais...?" Je dis d'une voix essoufflé.

-" peut-être que si c'est toi qui me Le dit... ça fera moins mal que si je l'apprenais par les médias ou pire encore ....par Franck ..." dit-il d'un ton monotone, tout en continuant à me suçoter le cou.

Lorsqu'il prononça c'est mots, mon corps se raidit, mon coeur s'arrêta sec, me yeux s'ouvrir en grand, ma bouche s'assécha, mes mains deviennent moites, et ma respiration devient courte.

Il ne me lâcha pas , et tout en me collant au mur, il me léchât le lobe de l'oreille, avant de me susurré au creux de celle-ci:

"- alors ...va tu me Le dire...petit traîtresse".


>>>>>>>>>>>> à suivre <<<<<<<<<<<<<<

Working for the devil.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant