Je le regardais béa, je n'arrivais pas à croire ce qu'il me racontait.
Ma tête était remplit de toutes sortes questions et d'information, mais surtout d'incompréhension.
Il me regarda quelque instant et pensa peut-être que j'avais du mal à suivre sans:
« Tu veux que je répète ... » il me dit d'un ton qui aurait pu paraître nargua surtout venant de lui, mais son visage laissait clairement voir qu'il était inquiet.
« Non... » je lui répond « mais j'ai toujours autant de question et même plus ! »
Il affiche un air légèrement plus soucieux, et l'intensité avec laquelle il analysait me moindre fait et geste laissait paraître un Bradley Killer que je ne connaissais pas encore, un Bradley Killer qui était presque ...vulnérable.
Je n'arrivais pas que je pensais ça, lui , vulnérable !? Mais qu'est ce qui me prenait tout d'un coup !
Il me raconte sont petit passer plein de souvenirs tristounet et me voilà prête à retomber dans son piège!
Je dis Non ! Pas cette fois.
Je le regarde alors fixement pendant quelque instant , histoire de lui mettre la pression encore plus, puis je prend une grande inspiration et je lui dis d'un ton sec :
« écoute, c'est bien beau de me raconter ton passé, mais cela ne répondra en rien au question que j'ai ! Donc je propose au lieux d'un monologue l'on face une session de questions réponses »
L'air à la fois surpris mais aussi intrigué, il dit:
« j'aime ce genre d'initiative ! Allons y . »
« Bien, Mr killer réglons donc nos comptes! » je lui répond fermement. « premièrement : pourquoi m'avoir engagé à la killer Corp. ? Pourquoi moi ? »
Il me regarde confus:
« je pensais avoir été très claire sur ce sujet dans mon explication... »
Face à mon incompréhension il s'éclaircit la voix et reprend:
« J'ai retenu t'as candidature parce que ...c'était toi....tu n'as pas changé depuis le MAMA's Diner, juste la coupe, mais c'était pas très difficile de reconnaître le visage de la femme que je cherchait depuis des années. »
Au vue de mon expression déconcertée il ajoute:
« ne me regarde pas comme ça ! Je promets je ne suis pas un vieux pervert qui traque les jeune fille qu'il croise. Bien entendu ton Cv et ton profil étaient l'un des meilleurs, sinon Gaby n'aurait jamais accepté qu'on te prennent. »
Il me lance un regard approbateur comme pour me rassure de la véracité de ses propos.
« deuxièmement question: tu a dis que tu venais au Diner pendant des années, mais je me souviens pas t'avoir vue entant que Bradley Killer au Diner, je veux dire si je t'avais vue je t'aurai tout de suite reconnue... »
« Oh tu étais fan de moi ? » il m'interrompe d'un ton narquois.
« de la KILLER CORP! ton visage y étant associé j'étais obligé de faire avec » je mens « répond à la question. »
Il me regarde amusé, puis il répond:
« très honnêtement, pendant les 6 premier mois, voir la première année, je travaille tellement sur comment faire de la K.Corp une entreprise incontournable du marché que je m'étais laissée allée, et puis pour rappel j'avais subit un énormément choqué émotionnelle qui m'avait perdre le goût à la vie, donc je n'étais pas vraiment d'humeur à pensé à mon apparence, normal que les vous m'aviez pris pour un ..... » il marque une pause comme pour ce passe outré le choqué d'avoir été pris pour une personne sans abris et il continue « ....tu vois ce que je veux dire ».
Je pris une longue respiration, ce que j'allais poser comme question était celle pourquoi j'étais resté tous ce temps au lieu d'immédiate partir en le voyant.
« pourquoi est-ce que tu m'as fait vivre un calvaire durant mon temps à la Killer Corp. ? » je lui dis d'un ton ferme.
Son visage qui était amusé, prend soudain un air sérieux.
« je suis désolé. » il dit d'un ton grave.
Il prend à son tour une grande respiration comme pour ce préparer à une conversation difficile et continu :
« au vue de la chance que j'ai eu dans mon passé concernant le mélange amour et travail, je ne pouvais pas me permettre de .....faire la même erreur .... je ne savais pas si je pouvais te faire confiance....c'était juste pour te tester.... ».
Je sentis mon coeur se briser....
Je pensais que c'était pour me tester, mais entendre de la bouche de celui qu'on aimait qu'il ne vous fessait pas confiance alors qu'il ne vous connaissait sans même vous connaître ....je n'étais pas prête à ça.
J'avais mal, je me sentais utiliser, manipuler, humilier...
J'avais peur de poser la question suivante car mon coeur allait céder à tous moment...mais pourtant je me le devais à moi-même de connaître la réponse.
La gorge serrée je demande avec peine :
« pourquoi est ce que tu t'es servie de moi pour prendre t'as revanche sur Franc et ton père? »
Et du même air sérieux et de la même voix ferme il répond son branché :
« parce que je voulais faire d'une pierre deux coups. Blessé Franc qui étais encore une clairement intéressé par ce qui m'appartenait et mettre un coup à l'image de la R&R.... »
Je le regarde écœurée....je n'étais qu'un objet, un pion dans son jeux d'échec imaginaire.
« je suis désolé... » Il dit d'un ton plus tendre.
Je sentais mon coeur s'arrête, ma respiration s'accélère, ma tête devenir lourd, mon estomac se serrer...j'étais nauséeuse.
« christy... » il dit pour essayé d'attirer mon attention voyant que je ne l'écoutait plus.
Christy.....
Christy .......
« Christy ? » je lui répète d'un ton accusateur en lui lançant un regard noir.
Comprenant immédiatement la situation, il se baisse vers moi et me dit d'un ton paniquée:
«Cristal....je te promets que il n'en ai rien.....ce n'est qu'un stupide surnom que j'aime bien te donner....vous n'avez rien en commun....j'arrêterai de l'utilisé .....c'est à toi que je parle, c'est à toi que je pense....c'est toi ....ça a toujours été toi ....ça sera toujours toi ....Cristal .....je t'aime»
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Working for the devil.
RomanceLorsque vous avez vécue dans la précarité pendant un bout de temps, trouver un travail qui paye 20 000 dollars par mois c'est la meilleur chose qui puisse vous arriver ! Mais Comment faire lorsqu'à votre premier jour de travail, vous vous retrouvez...
