Alors que je regardais cette objet vibré dans ma main, un sentiment inconnu et pourtant si familier me rongeait les entrailles.Bien que j'étais en proies à une colère sans précèdent, je gardais tout de même un esprit assez claire pour me demander comment ce maudit Franck, à cause de qui j'étais dans une situation plus que désespéré était encore répertorier dans mon téléphone personnel.
Je continuai à fixer pendant quelque instant encore mon téléphone, pendant que ma raison balançait entre lui répondre ou non, alors que mon cœur lui n'attendait qu'une occasion pour lui lancer tout l'amertume que je ressentais.
La pièce devient alors soudain silencieuse, plus de vibration de mon téléphone, la lumière qui apparaissait au rythme des vibrations disparut elle aussi doucement et ne restait plus qu'un message sur l'écran m'indiquant que j'avais manqué un appel.
Ce fut Le bip de la cafetier qui me sorti de mes réflexion, me ramenant a une sombre réalité dans lequel ce que je pouvais penser de Francis avait peu d'importance, ça reste pour qui lui avait donné des information et manqué à mon devoir, mettant en péril le travail de millier de gens, et détruisant potentiellement l'œuvre de tout une vie de mon boss...
Mon Boss ..à qui j'avais assuré que j'étais apte de faire la part des chose et que je pouvais faire la différence entre vie privée et vie professionnelle.
Mon boss, duquel je suis tombe absurdement amoureuse,
Mon boss, à qui j'avais promis d'être différente des autre et que je ne trahirais pas sa confiance.
Mon boss, dont j'ai trahi la confiance...
Mon boss, qui pourtant semblais ne pas mon tenir rigueur, ce qui me faisait me sentir encore plus horrible.
J'avançais dans le couloir plus calme et plus sinistre que d'habitude, et je ressentais le poids de mes actions et des remords que me rongeaient à chaque pas qui me rapprochait du bureau du Patron que j'avais probablement ruiné.
Une fois arrivé devant la grande porte qui m'étais horriblement familier du bureau du killer, je commençais enfin a ressentir la réalité de la situation, mais pas question de reculé..
Bien que mes jambe ne restaient sur place que parce que je les empêchais de fuir, que mes mais tremblait tellement que je plateau que je tenais risquait d'être recouvert de café, que ma tête tournait, que mon cœur battait à tout rompre, et que ma gorge se ressairait petit a petit.
Pas question de reculer !
Je pris une grande inspiration, et je frappe la porte,
un..deux..trois..
Trois coups, comme d'habitude.
Mais j'avais à peine frappé le troisième coup que je port s'ouvrir près que instantanément.
Judy me fit signé d'entrer, avant de refermer la porte derrière moi.
Gaby et Daniel étaient assis sur les coté pendant que M. Killer était debout derrière son gigantesque bureau, regardant part la baie vitré, me tournant le dos.
« Assis toi. » il me dit.
Me prend le café des mains en m'indiquant le fauteuil au centre de la pièce.
J'hésite quelque instant à m'avancer, puis je m'exécute, en regardant Gaby et Daniel qui me suivait du regard.
J'ai à peine le temps de m'assoir que le killer me dit :
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Working for the devil.
RomanceLorsque vous avez vécue dans la précarité pendant un bout de temps, trouver un travail qui paye 20 000 dollars par mois c'est la meilleur chose qui puisse vous arriver ! Mais Comment faire lorsqu'à votre premier jour de travail, vous vous retrouvez...