Tout sur moi.

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Ses lèvres embusquaient les mienne, je n'avais même pas eu l'occasion d'esquiver, c'était une attaque surprise...et je dois l'avouer, surprenante.


Mon cœur se serra, mes lèvres voulais rendre ce baissé avec intérêt, mais ma fierté pris le dessus, et mon corps bougea tout seul et je le repousse, puis une giflé retenti alors dans la pièce.


Un moment de flottement s'installa, pendant que j'essayais de reprendre mon souffle, et surtout mes esprits, il restait là, comme figé. On était comme dans un duel de regard, lui essayant de comprendre ce qui venait de se passer, et moi en train de le défier du regard, comme pour lui réaffirmer que ce qu'il venait de subir était réel.


Un moment de silent s'en suit.


Il porte sa main à sa joue, qui commençait à tourner légèrement au rose, il la caresse doucement du révère de sa main, puis me regarde un instant, avant de se retourner et d'aller s'assoir à sa place, et me regarde à nouveau.


Je le regarde droit dans les yeux, me redresse de toute ma hauteur, qui soit dit en passant ne fessait pas très haut mais fessait l'affaire, je continue de le regarder fermement décidés à ne pas perdre cette bataille de regards.


Et comme s'il n'attendant que ça, le serveur tape à la porte, avant de l'entre ouvrir et de passé sa tête en première :


« Excusez-moi, nous avant entendu un bris étrange provenir de votre pièce, et je voulais juste m'assurer ... » il marque une petit pause en me voyant côté de la porte légèrement ébouriffé et en voyant le Killer assis avec une joue qui était maintenant couleur pêche.


« ... que tout allait bien ici ? » Il finit d'une voix incertaine.


« On ne peut mieux ! » réponds le Killer.


Il retire sa veste, et d'une main il dépose la veste à coté de lui, et avec sa main livre il desserre sa cravate, ouvre un le col de sa chemise, et un autre bouton, redresse ses manches :


« Je dirais même que on ne fait que commence... » Dit-il en me défiant du regard.


« Absolument ! » j'ajoute, en jetant mon à mes coté en m'asseyant à mon tour.


« A la bonheur ! bon annulé tout la commande et apporté votre meilleur bouteille de vodka... »


« Wiskey ! » je le coup d'un ton ferme.


« ...wiskey, 2 verres et des glaçons... » il reprend en me regardant, et voyant mon expression remplie de rage il esquisse un petit sourire et ajoute « ...Beaucoup de glaçons ».


Le pauvre serveur se contenta de poliment avant de vous laisser seul.


Le killer me regarda longuement, avant de glousser :


« Tu sais quoi, tu es probablement la premier personne à avoir porté la main sur moi... » il regarda alors vers son être jambe « ...maintenant que j'y repense, pas que la main. »


« T'es un vrai salaud. » je lui lance, absolument pas intéressé ou amusé par ses petite tentative de changé de sujet.


Il me regard surprit, mais j'étais tellement au bout de mes nerves que je ne pouvais plus retenir mes mots :


« Tu oses m'embrasser après ce que tu m'as fait ! tu te rends compte de combien est ce que j'ai soufferte de t'es petites magouilles ? tu te rends compte de à quel point c'était l'enfer de travaille pour toi ! d'être une bonne à tout faire ? Est-ce que tu sais seulement à quel point je haïssais venir au travaille tout les jours en ayant parfaitement conscience que peut importe combien j'ai travaillé dur pour obtenir une formation de qualité, des diplômes, de l'expérience et tout le tralala, je n'utiliserais jamais tout ça, parce que je serais trop occupé à servir de coursière ou de femme de ménage et je ne parle même pas de combien j'ai souffert à joué à la fausse petit amie alors que tu te tapait des femmes de gauche à droite alors que je t'aim... »


Je m'arrête sec en je me rend compte de ce que j'allais dire...


« Cristal... » il commence.


« Non ! NON ! tu la ferme ! j'ai ...je n'ai pas fini ! tu te rends compte de ...de ... » je sentais les larmes monter en moi, mais je refusais de verser une larmes devant lui ! je refuse !


« De combiens malgré je haïssais ce travail, et que je te haïssais, je m'en suis voulu lorsque j'ai brisé la promesse de ne pas te trahir que je t'avais fait ? tu imagines combiens j'avais honte, combiens je m'en voulais, combiens je me suis haïs...pour enfin découvrir que c'était encore un de tes plans foireux...mais pour qui tu te prend ? je comprends que tu était mon patron mais je pense vraiment, non je suis sûre que me vire dès le début aurait êtes plus simple et plus humain, mais non ! toi t'es tellement tordue que torturer de pauvres gens qui ne peuvent faire autrement que de continuer a travaillé pour toi c'est le genre de chose qui te fait kiffer ! et surtout quand la personne à des sentiment pour To... »


Je m'arrête sec encore une fois, décidément ma fierté ne me laissera jamais dire ca peu importe comment je forme la chose.


« Cristal, je ... »


« Et tu sais quoi !? »


Il essaya de parler mais je le coup a nouveau, parce que je sais que si je lui laisse la chance de parler ne n'aurai jamais la force de finir de ce que j'ai à dire :


« Judy m'as tout raconte, je sais tout, sur toi, Franck , et Christine Dupuy...je comprends ce que ce que tu as vécus est horrible, que elle vous a fait du mal, que tu ne feras probablement plus jamais confiance a personne, mais tout ça...TOUT CA N'A RIEN AVOIR AVEC MOI !!! » je lui grogne dessus « si tu a envie de te défouler sur quelqu'un ca ne devrai pas être moi, ou tes employé et très franchement ce ne devrais pas être Franck non plus...mais je pense que au fond tu le sais très bien...tu sais tous les vérité, mais c'est plus simple de camper sur une erreur que de reconnaitre ses tord....surtout qu'on on n'est toujours amoureux de l'erreur... »


Je m'arrête encore, mais cette fois parce que je pense que je suis allé légèrement au-delà de ce que je voulais dire ...je suis littéralement passé en mode psychologue !


Mais qu'est-ce que je raconte ! je parlais de moi et de ce qu'il ma fait subir a la killer corp, pourquoi est ce que j'ai tourné ca en séance de thérapie anti-vipère !


Je baisse la tête, Je ne voulais pas le regarde, je me suis mis dans la merde ! il faut que je change de sujet :


« Enfin bref, ce que je voulais dire au final c'est que, je veux plus jamais rien avoir à faire avec toi parce que ... »

je lève légèrement la tête pour le regarder dans les yeux et voir son expression quand je lui dirais que je comptais désormais travaillé par moi-même, pour moi-même et que pour ce faire je comptais pour commencer passer participé au programme 'NEXT CEO' qui vise a financé les meilleure projets et aider les gagnant à démarrer leur propre boite....programme crée par ....Richard RENCY et sponsorisé par la R&R.co.


Mais alors que je redresse ma tête, retissant de voir son visage après cet mini psychanalyse non sollicité, que ne fus ma surprise en voyant une expression perplexe.


« ecoute, je comprends que tu m'en veuille, mais est tu sûre de tout savoir ? je veux dire ok judy t'as parler de franck et de... Christine... » il marque je petite pause.


« Mais est tu sûre de tout savoir... » il me regarde un instant.

Son regard me fit fremire legrement, il n'était pas comme d'habitude, le ton de sa voix, son expression, tout semblait different, plus...plus sérieux.


« ....tout sur moi... » il marque encore une pose.


Je ne comprenais pas ou il voulait en venir.


Soudain il se rapproche de la table, pose son bras sur cette dernière et me tend la main, comme pour m'inviter à la prendre.


Sa machoir ce serre, et ses yeux ce baisse sur sa main :


« ...et sur le moi ...qui meurt à petit feu, d'un amour s'en fin ....pour toi ? » il finit par dire, en plongeant son regard dans le mien.






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Pour me faire pardonner du poison d'avril légèrement en avance, voici un chapitre d'avril tout aussi en avance 😉

Working for the devil.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant