Chapitre 19: Desire

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Le Silverlake, 9h26pm

PDV de Sergio

Qu'est-ce qu'elle fou ici ! Mais qu'est-ce qu'elle fou ici bordel de merde ! Keith l'a appeler afin de m'aider ?

Je vais bien je me suis juste enfiler quelques verres mais je vais bien basta.
- Oui je l'ai appeler. Tu as vue dans quel état tu es !
Quel état putain je suis grand quand même.
- Je vais bien bordel c'est juste toi qui est parano. Sert moi un autre shot de tequila. Keith se dirige derrière le bar et lève les yeux aux ciel tandis que j'aperçois du coin de l'œil cette grande blonde qui s'approche de moi
- Sergio ?
Je ne peut même pas la regarder droit dans les yeux.

Je me contente de fixe le vide, qui se trouve être une rangée de bouteilles qui sont disposées au dessus de l'étagère du bar. Great. Que c'est passionnant.
- Quoi ?
- Qu'est-ce qui t'arrive ?
- Rien putain. T'es ma mère ? Non alors laisse moi tranquille bordel !
Évidemment Keith s'en mêle.
- Hey pas de ça chez moi Sergio. Elle est venue jusqu'ici pour toi alors parle lui correctement !
Putain il pourrait pas me servir mon putain de verre au lieu de jouer les avocats.
- Non c'est bon je te laisse tranquille, je ne sais même pas pourquoi je suis venue en fait.
Elle tourne les talons puis s'apprête à partir mais je me lève afin de la rattraper.
- Reste.
Elle se retourne et me regarde. Damn je pourrais me perdre dans ses yeux ils sont d'un vert si clair.

Si intense que je pourrais en bander sur le champs l'imaginant jouir sous mes caressent de ce regard pure. Putain qu'est-ce qui me prend.
- Je te demande pardon. Pourquoi t'es venue ?
Elle croise les bras sur sa poitrine et me toise. Elle campe sur ses positions.
- Keith m'a appeler tu le sais.
- Non la vrai raison. Qu'est-ce qui t'as pousser à venir après notre emmerde.
Je sais que ce n'ai pas simplement parce que Keith la appeler qu'elle s'est rendu jusqu'ici. Il y a autre chose c'est sur. J'ai besoin d'être sur que ce qu'elle ressent est réciproque. C'est sa présence qui me fait cet effet ou la tequila je ne sais même plus.
- Je ne sais pas.
Menteuse. Je sais que tu me mens.
- Dans tout les cas merci Aiden tien voila les clefs. Tu te souviens bien de l'adresse ?
Keith lui tend des clefs et moi je me retrouve comme un con cherchant à essayer de comprendre la situation.
- Oui merci. On y va ?
Elle s'adresse à moi ? Oui elle s'adresse bien à moi.
- Où ça ?
- Chez Keith, t'es plutot émécher il ne faudrait pas que Sana te voit comme ça.
Je suis encore plus choqué qu'elle se souvienne que j'ai une petite sœur que par le fait de devoir aller chez Keith avec elle.

Je sais qu'Aiden n'es pas stupide mais je ne mentionne jamais ma famille alors là voir si prévoyante envers eux me.. ouais ça me fait quelque chos.
- Sergio.
J'étais de nouveau dans ma tête ? Y a pas à dire ils ont raison, je suis grave bourré je ne calcule plus rien à présent. Mes yeux se ferment avant que mes jambes me flanchent.

Lundi 26 Décembre
11h21am

PDV de Aiden

J'était plonger sur mon téléphone à rassurer ma mère en prétextant que j'était partit dormir chez Dave, quand j'aperçus que Sergio se réveiller enfin.
- Salut.
Est-ce que maintenant qu'il n'ai plus gentil comme hier soir vas t-il se comporter en salaud ?
- Salut.
Hum ont est quand même jamais trop prudent.
- Putain de merde je suis ou ?
Il se frotte le crâne puis plissent les yeux.
- Chez Keith, je t'ai ramener en allant te chercher hier soir. T'es tomber comme une masse donc il m'as aider a t'installer dans la voiture et voila.
Je m'attend à ce qu'il me dévisage. Qu'il me hurle que j'aurais dû m'occuper de mon cul et de le laisser tranquille mais non.

Il ne me dévisage pas et il ne hurle pas, aucune once de de colère ou de haine.
- Merci.
C'est vraiment lui qui parle la ?
- De rien. Bon je pense que je vais te laisser à présent il faut que rentre me doucher tout ça.
Je me relève du fauteuil, au même instant Sergio me retient le poignet et que je lui fasse face. Un simple contact physique de sa part, et une chaleur émane de moi. Je me sens vivante comme si ces derniers jours n'avais pas exister et que je revenais plus féroce que jamais.
- Pardon pour hier.
- Tu t'es déjà excuser hier soir.
- Je veux dire pardon d'avoir du te mêler à ça. Que tu m'es vue dans cette état, tu devais avoir mieux à faire.
Je baisse le regard.
- Honnêtement non.
Merde j'ai sortit ça sans réfléchir. Subitement j'ai l'impression de percevoir une lueur dans ses yeux, ce n'était pas une lueur du style énervé.

Non plutôt une lueur du style.. apaiser.. oui apaiser.
- Au revoir Sergio.
Il relâche mon poignet, je reprends mon sac qui était poser sur la commode avant de me dirigée vers la porte. J'appuie sur le bouton de l'ascenseur, attendant patiemment qu'il arrive enfin je rentre à l'intérieur les portes se referment. Sergio accours précipitamment ce qui lui laisse à peine le temps de rentrer. C'était quoi ça ?
- Mais qu'est-ce que tu fais !
- Je sais que je suis qu'un petit con, un mec qui se pense avoir tout les droits et que je ne devrais même pas avoir à essayer de me justifier parce que j'ai tout foutu en l'air. Les excuses c'est pas mon truc, sa le sera probablement jamais mais quand je suis désoler c'est pour de vrai. Je pourrais m'excuser autant de fois qu'il le faut rien que pour toi ce ne te sera jamais suffisant sauf que je te veux Aiden. Pas de règles juste toi et moi, toi et personne d'autres. Je veux avoir les couilles d'assumer ça avec toi, désoler pour les insultes au passage.
Le temps que mon cerveaux imprègne toutes ses paroles je suis déjà transporter dans un autre univers.

Je rêve ou c'est bien réel ? Oui c'est bien réel Sergio m'a vraiment dit tout ce qu'il pensait sincèrement pour une fois. Il m'as dit qu'il me voulait moi, moi uniquement.

C'est pas possible il y aura sûrement quelque chose enfin il y a déjà quelque chose. Kim.
- On peut pas Sergio.. Kim est
Je n'ai même pas le temps de finir ma phrase qu'il me repousse contre le mur, ses mains de chaque côté de ma tête. Ma respiration se fait haletante.
- Je m'en branle de Kim. Je te veux toi.
Ses lèvres plongent sur les miennes me coupant le souffle et là je me laisse aller. Pendant ce baiser j'ai l'impression que le temps c'est arrêter, tout ne tourne plus qu'autour de nous. Lui et moi.
- C'est toi Aiden. Juste toi.
Je plonge mes lèvres sur les siennes et notre baiser devient plus intense, plus fort. Il demande accès à ma langue et en peu de temps elles se tournent autour successivement.
- Je te veux aussi.

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