Chapitre 43 :I Won.

149 5 1
                                    

Après avoir commander mon thé glace je préviens les garçons que je m'éclipse aux toilettes. Bon je vais pas vous faire un dessin hein !

Après avoir terminer mes affaires je ressors de la cabine, Sergio me prends de court.
- AHH ! Mais ça va pas la tête ?
Il éclate de rire, mes mains se plaçant automatiquement sur mon cœur.
- Putain mais t'es con tu m'as fait peur et ça te te fais marrer gnagnagna !
Je m'avance déterminée vers les lavabos et me lave les mains.
- Je voulais être sur que tout se passer bien.
Je fronce les sourcils et m'essuient les mains avant de me tourner vers lui.
- Aux toilettes ? Pff tu m'en diras tant.
Il ne répond pas. Il s'approche et baladent ses mains sur mon corps, refermant ses doigts sur ma taille.

J'essaye de faire comme si de rien n'était malgré les frissons qui m'électrisent le corps.
Ma respiration s'accélère tandis qu'il me porte pour me poser sur le lavabo. Ses jambes entre mes cuisses qu'il maintiens.
- Qu'est-ce que..
Sergio pointe son index sur mes lèvres qui me coupe la parole, ses beaux yeux intenses me scrutent sensuellement.
- Tais toi.
M'ordonne t-il gentiment. Ce que je fais. L'atmosphère devient vraiment ambiante et je commence a avoir chaud, très chaud..

Ses mains écartent alors mes cuisses, et il se trouve entre celles-ci pour coller son front contre le mien. Des papillons se baladent dans mon ventre tout ce à quoi je pense à ce moment précis c'est le goût de ses lèvres sur les miennes. Je referme les yeux pensant qu'il m'accordera ce que je désire au plus profond mais à la place il.. il rigole.

Quoi ! Oui oui il rigole. Je fronce les sourcils.
- 1-1 ma belle, la prochaine fois sois plus maligne.
Et merde il m'a bien eu. Je croise les bras sur ma poitrine et le dévisage.
- Tu m'énerves.
Je redescend du lavabo et m'apprête à sortir, sauf que monsieur rattrape mon poignet pour me ramener à lui.
- Arrête un peu d'être mauvaise joueuse après tout la partie n'est pas fini.
Il dépose ses lèvres sur ma joue me donnant à la fois chaud et envie de lui sauter au cou.
Non ne flanche pas tu peux réussir.
- À moins que tu ne décides de lâcher l'affaire ?
Son sourire en coin me donne d'avantage de motivation pour le battre.
- Alors là tu peux rêver chéri.
Nous ressortons des toilettes pour rejoindre Dave sur la terrasse.

• • •

18h34

Après notre après-midi au centre commercial avec Dave et Sergio, nous rentrons chez moi.(Puisqu'il passe la nuit ici). Depuis que nous sommes revenue ensembles nous n'arrêtons pas de dormir soit chez l'un, soit chez l'autre. D'habitude c'est souvent le week-end mais bon vue qu'il a sa moto ont repassera chez lui pour récupéré ses cours demain matin.

En rentrant chez moi, Sergio s'assoie sur le tabouret de la cuisine pendant que je nous sert de l'Arizona.
- Tu es sûr qu'il n'y a personne chez toi ce soir ?
Je lui sert son verre puis boit une gorgée du mien.
- Certaine, mes parents sont partis pour le week-end et Amery dors chez une copine.
Eh oui mon petit frère sort avec une fille et c'est vraiment du sérieux.

Ça m'étonne encore mais je suis contente pour lui. Il termine son verre et le débarrasse dans le lave vaisselle.
- Sinon tu veux qu'on mange quoi ce soir ?
Sergio réfléchie.
- Pourquoi pas pâtes bolo ?
- C'est partit.
Pendant que Sergio s'occupe de cuire les pâtes, je prépare la sauce bolognaise. Je m'occupe de découper les feuilles de lauriers. Il place ses mains sur mes hanches et m'embrasse le cou.
- Arrête tu vas finir par perdre.
- Je crois pas non. Les bisous dans le cou sont une exception qui m'est autorisé.
Je lève les yeux.
- D'accord.
- Ça me fait bizarre.
Je sourie.
- De quoi ?
- Je sais pas tout ça, nous ici qui cuisinons comme si on était un couple qui habite ensembles depuis toujours.
- C'est vrai mais c'est bien non ?
Je me retourne et constate que ses joues sont élargies laissant apparaître ses dents blanches ainsi que sa légère fossette. Je fonnnnd ..
- Mais tu ne m'auras pas, du moins pas avant minuit. Lui chuchotais-je.

• • •

Bref je vous passe le repas car il n'y a rien à raconter. Après avoir tout ranger, ont décide de se mater un film dans le salon. Au bout de vingt minutes, j'aperçois déjà Sergio qui gigote un peu dans tout les sens je décide alors de le chercher un peu. N'oublions pas que moi aussi je peux être très maline à ce jeux.

Je dirige alors ma main sur sa jambe en remontant légèrement jusqu'à son girond.
- Qu'est-ce qu'il y a bébé ? Tu as l'air tendu on dirait.
Je lui adresse mon sourire le plus innocent, et je sens alors une bosse se formée dans son jean.
- Arrête ça.
- Que j'arrête quoi ?
Il me regarde en fronçant les sourcils, et m'attrape finalement par les hanches pour me positionnais sur lui. Une cuisse de chaque côtés de ses jambes. Eh bah on peut dire que ça c'était rapide.
- Alors ?
Je gigote légèrement me tâtant déjà à accélérer la cadence du roulement de mes hanches.

Sergio s'approche de moi tentant de me piquer un baiser mais je recule.
- Alors quoi !
- Alors ?
Il soupire et m'embrasse sauvagement, me mordant légèrement la lèvre au passage.
J'accélère la cadence tout en ayant le contrôle. Je sais qu'il craquera.
- Alors tu as gagnée ! Maintenant laisse moi t'enlever toutes ses affaires avant que tu me rendes fou.
Je sourie et plongent alors mes lèvres sur les siennes savourant cet instant si excitant.
- Hhumm si on montaient parce que je veux pas dire mais le canapé n'est peut-être pas une bonne idée si mes parents décide de s'assoir et il y'a beaucoup de chances vue que c'est leur salon.
Sergio observe le canapé et me sourie.
- Tu as raison.
Il me porte alors, mes hanches entourant sa taille et ses mains me tenant fermement les cuisses.
- Crois moi tu ne va pas dormir de la nuit.
Je rigole de plus belle tandis qu'il me balance sur mon lit.
- Promet moi de ne pas casser mon lit au moins.
Il rigole et se déshabille en moins de deux secondes.
- Bébé je ne peux rien te promettre.
Il me déshabille et je vous laisse imaginer la suite..

I Hate U Où les histoires vivent. Découvrez maintenant