Chronique de Jennah: Orpheline à chef de mafia

Partie 81 ✌

As-Salamû Aleykûm...Bismillah

Franchement jsuis heureuse qu'ils ont accepté. Après si ça trahis bah il goûtera à la sentence. Après ça. On part tous de notre côté. Dans la voiture, on bouge direct.

Maher: Jennah ?

Moi: Croit pas. C'était juste pour leur faire croire.

Maher: Ça j'avais compris. Mais écoute moi au moins.

Moi: En quoi ça te servira ? Rien. J'ai signé les papiers. Pourquoi y'a toujours pas eu de retour ?

Maher: Je signerais pas ces papier Jennah.

Moi: Pourquoi ça ? T'as pas dis que tu regrettais ce mariage ?

Maher: Putaiiiin -cogne le volant- mais j'étais pas conscient quand j'ai dis ça.

Moi: Arrête de mentir. T'étais conscient Maher je sais quand tu l'ai ou pas. Et de plus quand on est sous l'effet de l'alcool on dit la vérité, ce que l'on pense vraiment non ?

Maher: Jennah jle pensé pas. J'étais pas bien.

Moi: Je l'étais aussi. Est ce que je t'ai dis des choses odieuses ?

Maher: Zeubi mais...

Moi: -le coupe- T'as pas ton mot à dire Maher.

Maher: Tu comprends pas.

Moi: Mmmh si tu veux.

Il serre le volant et accélère. On parle plus jusqu'à qu'il me ramène devant chez Samy. Je descends de la voiture et vais sonner.

Maher: Jennah ?

Moi: Quoi encore ?

Maher: Laisse moi voir mes enfants au moins.

Moi: Ah maintenant c'est tes enfants ?

Maher: Putain je regrette mes mots tu comprends ? Je les ai sortie sous le coup des nerfs. WAllah Jennah je regrette. Ok toi tu veux pas me croire mais me prive pas de mes enfants.

Moi: Pourquoi il t'a fallu tous se temps pour réclamer 'tes' enfants ?

Maher: J'étais pas bien. Stp Jennah

Moi: Et ? C'est parce que t'étais pas bien que tu pouvais pas réclamer tes enfants ?

Maher: Si je t'aurais réclamer les petits est ce que tu aurais accepter ?

Moi: Non

Maher: Voilà. Laisse moi les voir. Pense à eux. Ils doivent me réclamer.

Je le regarde un long moment. Il me supplie du regard. J'ai pas envie de le laisser mais les enfants c'est vrai qu'ils le réclament. De plus faut pas que je pense qu'à ma tête. Y'a eux aussi dedans.

Je lui fais un signe de tête qui peut. Il me sourit, sort et ferme sa voiture. On monte, j'ouvre la porte est vais au salon. Ils dorment pas encore, fin Azhar si.

Moi: Jsuis là !

Samy: -vient me faire un bisou- C'est qui derrière toi ?

Je me pousse et le laisse apparaître. Samy le regarde et pas une minute de plus il lui déclenche une droite. On le regarde tous choquer.

Samy: Ça t'amuse imbécile. De lui la détruire et revenir ensuite la détruire puis revenir ?

Maher: -saigne de la bouche- WAllah t'as de la chance que jsuis pas la pour ça et que jsuis en tors.

Chems: T'es malade Tonton

Samy: Toi qui réclame ton père saute sur lui et ferme là.

Chems: Non pas envie.