Lovely Of The Dark Wolf

Chapitre 5

J'étais assise sur une chaise, attachée au poignet par des chaînes. La pièce était sombre et lugubre, c'était mon pire cauchemars, lentre de mes tortures... J'y étais habituée à la longue.

Je tentais en vain se me détachée, lorsque mon adorable papa arriva, accompagné aujourd'hui homme. Il était grand, aux yeux bruns et vert, assez costaud, il aurait pus a lui seul terrasser mon père.

Pourtant, c'était bien la premier fois, que je le rencontrais ! Ils arboraient, tous deux un sourire presque diabolique, ça n'inspirer rien de bon .

- Bonjour mon enfant, c'est un plaisir de te revoir, commença-t-il sarcastiquement.

- Le plaisir n'est pas partagé, très cher père, crachais-je froidement en le regardant droit dans les yeux.

- Alors, tu ne m'en voudras pas si cet homme s'occupe de toi, aujourd'hui ? Me questionna-t-il faussement intéressé par mon opinion.

Il avait l'habitude de me donner de faux espoirs, mais avec l'habitude je ne me faisais plus avoir.

- Comme- ci que tu te souciais réellement de mon avis, répondis-je toujours aussi froidement.

- Nous sommes pour une fois d'accord sur un point ! Bien, Didier, je voudrais la total ! N'ai aucune pitié, elle n'en vaut pas la peine !

- Et vous, en valez-vous la peine, cher père ?

- Didier, tu as bien compris, fait toi plaisir ! Ne lésine sur aucun moyens. Ordonna mon père.

- Bien, maitre, répondit-il en faisant un signe de tête.

À l'entente de son surnom, je ne pus étouffer un rire moqueur. J'éclatai littéralement de rire, lorsque je reçu un coup de poing en plein dans le ventre, sous le regard critique de mon père.

- Ce n'était pas assez fort pour elle, ria-t-il.

- Pardonnez-moi maître, je donnerais plus de coup, se soumit-il à mon père.

- Haha, le petit toutou n'est pas assez docile pour son mai-maitre, me moquai-je ouvertement de prétendu Didier.

Fou de rage, mon père m'empoigna par le coup, tout en me regardant droit dans les yeux. Il se decala ensuite de moi, avant de laisser place à Didier, qui me planta un couteau dans le ventre.
Les rires de mon adorable père résonné dans la pièce, notez bien l'ironie, la blague ! Intérieurement, j'hurlais de douleur, mais je ne pouvais pas perdre le contrôle face à eux. Je me ressaisi rapidement, observant attentivement leur réaction. Je ne fus pas déçu, lorsque je les vue me fusiller d'un regard, mon regard était emplis de défie. Ils ne vont pas réussir à me soumettre.

- Vous n'êtes que des mauviettes. Pourquoi ne pas me détacher, que je vous montre mon réel potentiel, les provoquais je, crachant au visage de mon père.

Le sang qui venait de sortir de ma bouche, coulait lentement sur son visage, tendis que j'observais attentivement sa réaction.

- Ça serait bien moins amusant, répondit-il en s'essuyant le visage, pendant que Didier me brûlait la cuisse.

La douleur était insupportable, j'avais cette sensation que mon cœur allait s'arrêter. Voulant empêcher un crie de m'échapper, je me mordis la lèvre inférieur si fort, que je sentis du sang couler sur ma langue.
Je regardais mon père le sourire aux lèvres, je refusais qu'il me voit faible. Soudain Didier ...