Chapitre 7

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Même si nous ne nous voyons pas, Tristan et moi continuons de parler, sur Facebook.

Même si j'essaie de prendre le moins d'Internet possible pour limiter le coût de la facture, je ne peux m'empêcher de lui écrire.

Malgré que cela n'arrive pas tout les jours comme je le voudrais, à cause de mes garçons.

Un cris me réveille en sursaut. Je me frotte les yeux et je regarde l'heure sur mon cadran. Il est 1h30 du matin.

Croyant avoir rêvée, je repose ma tête sur l'oreiller et je ferme les yeux quand j'entends des pleurs, venir de la chambre des garçons.

-Mamannnn!

Je me lève difficilement de mon lit et je me dirige vers la chambre de mes amours, qui ne le sont plus vraiment quand ils me réveillent à 1h du matin!

Je pousse la porte en me frottant les yeux et je leur demande ce qui se passe. Arlo lève la tête et me demande de faire taire Élliot, qui pleure en hoquetant.

Je m'approche de lui et je sens une odeur désagréable. Avec ses yeux remplis de larmes innocentes, il me murmure:

-Pipi...

Ho c'est pas vrai! Encore!? C'est la cinquième fois cette semaine! Je pousse un soupire et je fais sortir mon plus jeune fils de la chambre, pendant que je fais une boule avec ses draps souillés.

Je jette mon paquet dans le couloir et je referme la porte de chambre, pour qu'Arlo puisse retrouver le sommeil.

Pendant que je retire le pyjama d'Élliot, celui-ci me regarde avec tristesse.

-C'est un accident...

-Je sais mon amour. C'est pas grave, tu sais, ça va finir par s'arranger.

En fait, je crois que je dis ça pour nous deux. Je n'en peux plus de ces pipi au lit! Il se contrôlait bien jusqu'à ce qu'il aille passer la journée chez ses grands-parents, il y a une semaine!

Depuis, il n'a pas arrêter ses "accidents" que je dois nettoyer à chaque fois!

Dès demain, je crois que je vais aller lui acheter des couches pour la nuit. Il n'en porte plus depuis longtemps, mais je ne sais plus quoi faire.

J'ai essayé de le punir, mais ça n'a pas marcher et j'ai découvert que cette technique était fortement déconseillé.

Mais j'ai aussi essayé la méthode douce en lui disant que ce n'était pas grave et je n'ai pas obtenu de résultats concluant non plus.

Après avoir mis un nouveau pyjama sur le dos d'Élliot, je le conduis à sa chambre et je le borde pour la deuxième fois cette nuit, après avoir installé des draps sec.

J'en profite pour jeter un œil sur le lit du haut et je constate avec soulagement, qu'Arlo dors à poings fermés.

Je quitte la chambre a pas de loup et je prend au passage les draps, que je mets devant la porte, pour ensuite les aspergés de "sens-bon".

Je les emmènerais aux machines à laver, situé au sous-sol du bloc appartements demain matin.

Dans ma vie idéale, j'aurais une maison avec ma propre machine à laver!

14 ans et disparue, 15 ans et maman tome 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant