L'Histoire De Cette Fille [RÉÉCRITURE]

Partie 47: C'était un être chair

Je prend les jumeaux et les mets dans leur berceau. On les attaches et direction l'hôpital. C'était tendu il y avais un grosse tension dans la voiture. Je vois le stress dans ces yeux. Ces grand-parents sont les personnes les plus important pour lui sa mère et son père j'ai remarqué qu'il en parle jamais. Toujours mamie et papi. Arrivée à l'hôpital il prend Jacob et moi je prend Jaedyn dans mes bras on arrive à la salle d'attente mamie est assise en pleure et ne comprend pas ce qui ce passe. Trayvon l'a prend dans ces bras pour la rassurer. On est rester là au moins deux heures sous cette attente interminable. Quand le docteur viens nous voir.

Docteur: La famille de M.Bachir

Nous : Oui c'est nous

Docteur: On à trouver le problème , mais je suis dans le regret de vous dire qu'il est impossible de l'enlever.

Trayvon: COMMENT ÇA

Docteur: Votre grand-père est en phase terminal il a une tumeur au cerveau

Mamie: Non Non pourquoi moi mon mari. Younes me laisse pas. *pleurant*

Moi: On peut le voir

Docteur: Oui un par un

Mamie est partie en premier Trayvon était anéanti, mais il ne voulais surtout pas le démontrer. Quand est arrivé le moment de Trayvon je suis rester avec mes bébés. Mamie était déboussoler je suis rester avec elle tout le moment. Quand arrive mon tour je part le voir avec les jumeau. Il était couché et regardais la fenêtre je n'a pas pu m'empêcher de verser un larmes. C'est une homme bien pieux et ces lui qui doit avoir ce putain de cancer.

Papi: Ne pleure pas ma fille

Moi: Tu le sais depuis quand *pleurant*

Papi: 1 ans

Moi: POURQUOI TU N'A RIEN FAIT *pleurant*

Papi: Je ne voulais pas, perdre mes dernières années en chimiothérapie

Moi: Tu aurais pu t'en sortir *pleurant*

Papi: regarde moi j'ai 75 ans mes enfant et mes petits- enfants on une famille. Je n'ai plus rien à faire ici

Moi: Papi tu sais pour les jumeau.....

Papi: Je sais

Moi: Quoi ?!?

Papi: Il ne sont pas de Trayvon , mais de Brahim

Moi: Comment tu sais *gêné*

Papi: Trayvon est comme mon fils il me dit tout et il n'a pas voulu que Mamie soit au courant.

Moi: Je sais pas comment lui dire.

Papi: Comme quand tu l'a annoncer à Trayvon . Allé apport moi mes petits fils. et Lanyae si je part..

Moi: Non papi

Papi: Écoute ma fille si je part occupe toi bien de Trayvon je sais qu'il a la tête dur, mais je sais qu'il t'aime ma fille ne l'abandonne pas. C'est ça le mariage ma fille. Oublie pas que Je t'aime comme mon propre enfant

Moi: Moi aussi Papi je t'aime fort

Je lui passe Jaedyn, car Jacob dormais à point fermé. Vers 6h du mat il c'est endormi avec mamie à ces côté. Trayvon prend les jumeau et on rentre à la villa. je prend les petits et les mets dans leur berceaux. Je descend en bas et Trayvon n'était pas là. Je me suis dirigé vers la chambre et m'endors tellement je suis épuisée. Je me réveille par les pleurs de mes petits. Je leur donne leur bain ils sont trop beau. Quand je fini je leur met l'ensemble de l'Espagne que j'avais acheter là-bas. Je prépare les biberons de mes bébés . Il s'amuse avec les jouer on salon pendant que je me prépare pâtes au poulet. Je part au salon on écoute le roi lion avec les petits. Vers 22h les petits n'arrive pas à dormir donc je me couche avec eux sur le divan et on regarde plein de films pour enfant et Trayvon étais toujours pas rentré. J'étais vraiment inquiète. Je veux rester le plus éveiller possible pour voir être là quand il rentre, mais mes paupières se ferment toute seules et mes bébés commence à bailler. Vers 3h du matin je décider de dormir avec eux dans le lit. Je les colles contre mon torse et m'endors avec mes bébés. Ce matin je me réveille et par voir Papi et mamie à l'hôpital, hier on était trop fatigués. L'inquiétude de la disparition de Trayvon c'est transformé en colère. Pourquoi il est pas là j'aurais pu être là pour lui. Même pas un appel. Je prend la voiture direction l'hôpital. Arrivée là-bas c'est un carnage. Les médecins court de partout je cherche Mamie permis les gens en pleure je cours vers elle du plus vite que je peux avec la poussette.