Chapitre 15

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Silfer

Le bruit de la douche et le légersifflotement de Hestia sous l'eau chaude, suffirent a m'extirper demon sommeil. Je me redressa et tranquillement une idée me trottadans la tête.

Hestia

L'eau chaude me brûlait la peau, et lasalle de bains fut vite remplis d'un épaisse buée opaque. Comme amon habitude je chantonnais ou du moins ce qui s'en rapprochais, unechanson resemant passer a la radio.

Un courant d'air me fit frisonner, maisà peine retourner que je tombais sur un torse parfaitement musclée,et des épaules particulièrement bien développer.

-Bonjour me dit-il d'un voie particulièrement rauque.

-Bon... Mais bordel ! Tu fou quoi encore dans ma douche !

-Et bien comme tu viens de le dire, c'est une douche. Et dans les douches on se lave. Donc je viens me laver.

Outré je le dévisagea pendant quecelui-ci prenait déjà c'est aises.

-Lâche se shampoing tout de suit et sort !

-Je vois tu est plus pipelette quand je suis entièrement nue, et pas seulement a moitiez.

Nue ? Non il est pas... Mon regarddescendais de plus en plus bas, mais je m'arrêtais avantd'apercevoir l'aine.

-Tu...Oh c'est pas vrai.

Je me retournais pour êtrecomplètement dos à lui et continuais a me savonner. Mais une légèrepression se fit ressentir sur mon omoplate droite, et la gauche eu ledroit a la même petite pression âpres la droite. Ces mainsencerclèrent mes hanches et me firent pivoter pour êtrecomplètement retourner face a lui.

-Tu veux quoi encore ?

Ces yeux me transpercèrent du regard.Il remonta ses mains pour les déposer de part et d'autre de monvisage, en dégageant quelques mèches de cheveux.

-Tu veux vraiment savoir ce que je veux ?

Je hocha légèrement la tête pendantque l'eau commençais a me brûler la nuque. Il m'observa encorequelques instant, puis déposa délicatement ces lèvres sur lesmiennes. Pendant quelques secondes nous restions comme ça, sansbouger, juste le contact de nos lèvres l'une sur l'autre. Puis toutdoucement il pris du mouvement et je suivais la cadence lente de noslèvres. Plus rapide a chaque seconde, plus éprouvant a chaqueseconde. Ce baiser de base si tendre, n'était plus ce qu'il étaiten a peine quelques secondes. Fiévreux, torride, intense, voilà cequ'il était à présent. Nos langues se cherchèrent, ces mainsétait fermement accrocher a mes cheveux pendant que les miennes luiarrachèrent la peau du dos. Des gémissement plaintif..., mesgémissement plaintif résonnèrent dans la salle de bains pendantqu'il s'amusait a mordiller ma lèvres inférieure.

-Si tu continue comme ça, les voisin vont t'entendre.

-Je m'en fou des voisins lui dis-je en le plaquant de nouveau contre moi.

Ces lèvres prirent rapidement lechemin de mon coup, et ma tête bascula en arrière sous l'extase quecela me produisais. Et la salle de bain fut de nouveau soumise a desgémissement entièrement charnel.   

SilferOù les histoires vivent. Découvrez maintenant