Silfer

Chapitre 33

La nuit fut rude, le froid ce fit beaucoup plus ressentir que ce que j'avais prévu, il me glaça un à un les  orteilles, puis les doigts.
Et je finis toute tremblante sur le sol de la grotte que j'avais finis par dénicher après quatre longue heures de marchés douloureuse.

Ce matin en me réveillant, mes membre était d'un léger bleu marbré.

- C'est pas vrai.

Mon corps avait arrêter depuis un moment de tremblé de froid, ce qui malheureusement était une très mauvaise nouvelle.

J'enfilla deux paire de chaussettes polaire et mis mes bottes. N'aillant pas pris de déjeuner, je mangea seulement un morceaux de pain, sachant qu'il ne fallait pas oublié de laisser de la nourriture pour Silfer.

Je mangea sur la route. Même si le but de mon voyage n'était pas de profiter du beau paysage, je ne pouvais que l'admirer malgré moi.

Pour une fois dans ce vaste monde, je me sentait vraiment à ma place. Les arbres étant d'une grandeur splendide et incroyable me firent me sentir minuscule mais cela ne me dérangeais pas. L'herbe elle aussi était plus verte que jamais, et les fleurs ornais chaque parcelle de cette forêt.

Je vis ici depuis petite, mais mon père ne m'a jamais montrer d'endroit aussi magnifique que celui-ci.

Secouant énergiquement ma tête, je repris mes esprit le plus rapidement possible et examina la carte.

L'envoûtement que cet endroit ma provoquer ma fait perdre de terrible heure et ma égaré de mon chemin initiale.

Une journée s'écoula, et d'ailleurs elle s'écoula beaucoup trop rapidement à mon goût. Je n'avais pas l'impression d'avoir avancé quelque peux. Mais au moins j'ai réussi à sortir de cette somptueuse forêt.

Le lendemain s'écoula de la même manière que la veille.
Et le surlendemain exactement pareille, et encore, toujours la même chose. De la marche, de la faim, du froid et j'en passe.

Une semaine s'écoula sans avoir.
Puis deux, et enfin trois...

Hestia du passer dans différents village pour prendre quelconques renseignements, tous en contradictions avec les informations des autres. Elle du se réapprovisionnée plusieurs fois.

Mais malgré tout elle se refusa de laisser tomber. " pas encore une fois ", " pas cette fois ", " je suis prêt du but je le sent ".

Et pourtant rien ne fût. Elle traversa vent et éclairs sans pour autant renoncer à lui.

L'amour rend aveugle. Tout le monde lui aurait dis de laissé tombé, que c'était la fin. Mais même la douleur dans c'est articulations ne la firent pas lâcher. Elle crue devenir folle.

Alors que faire ? Continué ? Ou bien abandonné ?