Chapitre 24

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Le roi fit son apparitions pendant le discours de son cher ami le juge. Et je ne m’attendais pas à ce qu'il me fasse un sourire bien chaleureux.

-Hestia, plus rien ne m’étonne venant de toi. Mais de là à voler Majesteux et à t’enfuir dans l'autre monde quand mes gardes sont à ta poursuite. J’avoue que cette fois si tu à fais fort.

-Je ne vous ai pas voler votre foutu dragon.

Tous ce ture, personne ne s’attendais à ce que je lui réponde mise a part le roi. Et celui-ci ricana.

-Hestia, personne ne croit à ce mensonge.

-Et bien ne me croyez pas, à vous ne choisir.

-Tu n'a jamais avouer aucun de tes crimes.

-Peut-être car je n'en ai jamais fait.

Abasourdie il me regarda la bouche entre-ouverte. Bien sur cette histoire était totalement fausse, j'ai bel et bien enfreint les règles à plusieurs reprises pour vols. Mais au grand jamais je ne l’avouerais.

-Ou est mon dragon Hestia Grandal ?!

-Je n'en sais absolument rien.

Le juge repris la parole.

-Hestia Grandal je vous condamne à la salle de torture jusqu’au jours ou vos remords prendrons le dessus et que vous vous décidiez à tout avouer.

Au moment ou j'allais rétorquer, la grosse porte d’entrée s’ouvrit.

-Silfer !

En panique les larmes me montrèrent vite au yeux, il était tellement amoché. Des bleus hornais son visage et son torse dénuder. Il avait les mains ligotée et marchais à coter de 4 mercenaires. Il semblait tellement souffrir.

-Lâcher le bande d’ordures ! Dis je en commençant  a me débattre avec mes menottes, mais malheureusement pour moi un garde vint me tenir les poignets pour s'assurer que je reste le plus immobile possible.

-Silfer.. dis je dans un sanglot.

Son visage ce détourna dans ma direction. Et je vis tout ces entaille, ces hématome qui recouvrais son visage et son torse. Il était en piteux état, et je m'en voulais de l'avoir obliger à venir me chercher. Surtout pour le prix à payer. Les mercenaires commencèrent à prendre la paroles.

-Mon roi, nous vous avons ramener le fils d'Ilenia et de Gaziel.

-Et pourquoi l'avez-vous arrêter ?

-Pour vols.

-Et vols de quoi ?

-Vols de dragon.

Horripilé par ce mensonge je faillit protester, mais Silder ce tourna vers loin et me fit un clin d'œil. Je ne sais pas dans quel genre de plan il c'est embarquer avec ces mercenaires, mais j’espère pour eux qu'ils savent ce qu'ils font. Car si par malheur Silfer devait rester derrière les barreaux à perpétuité. Je le jure que je les tuerais de la pire manière qu'il soit.

SilferOù les histoires vivent. Découvrez maintenant