Chapitre 35

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J'attendais assise sur le rebord de l'eau depuis un peu plus d'une heure, je ne comprenais vraiment pas. Mon instinct de m'avais jamais trahis, j'ai toujours pu compter sur lui. Je reprend une gorgé d'eau et regarde l'horizon. Le soleil c'est couché, le crépuscule est magnifique. L'eau brille et rend le paysage magique. Je me redresse pour observer la source, et c'est la que je le vois. La surface de l'eau devient petit à petit de plus en plus doré. Me trouvant bête de ne pas avoir remarqué ce changement de l'eau je sauta. Après quelques longue brasser j'arrivais à distinguer une porte caché dans les profondeur. Elle n'y était pas il a quelques heures. Si je l'avais pu j'aurais rigoler à gorge déployée. Je m'étais attendue à quelques choses de beaucoup trop facile à dénicher. Il n'était pas encore assez bête pour laisser la prison accessible à tous.

La porte se crochète facilement pour mon plus grand soulagement. Quand je me retrouvais dans le couloir, des centaines de cellules si trouvait. Des centaines de monstres aquatique se trouvaient bien installer. Mais qu'avait-il fait de lui ? Il ne pouvait pas respirer sous l'eau. Prise de panique je me démène pour trouver ça cellules. Le désespoir se fit ressentir en moi quand le couloir arrivait bientôt à sa fin. Les détenus me sifflaient au fur et à mesure que je m'engouffre dans cette prison.

Mais une cellule attira mon attention. Quand mes yeux avait finis de s'habituer, je le reconnus. C'était bien lui, il était là juste devant moi, à moitié mort...

Le manque de souffle commençait à me peser. Mais sans plus attendre je frappait les barreau de sa cellule pour l'inciter à me regarder, et c'est ce qu'il fit.

Munit d'un masque pour respirer librement il ne souffrais pas du manque de souffle que je commençais à ressentir. Sortant la pince à cheveux de ma poche je commençais à crocheter une nouvelle fois la serrures pendant qu'il prenait enfin conscience que je me tenais juste devant lui.

Silfer

Elle était la, devant moi Hestia s'acharner sur la porte de ma cellules. Je la voyais qui commençait cruellement à manquer de souffle.

Quand la porte s'ouvrit enfin je me précipita vers elle et lui mis de force le masque sur le nez.

Elle me regardais et pris brusquement ma main pour sortir de cette endroit.

Une fois dehors je repris rapidement mon souffle en nageant jusqu'à la rive.

Face à face et encore tremper jusqu'au os, je la pris contre moi sans ménagement et la serra aussi fort que possible.

-T'es complètement cinglé.

-Je sais que t'adore ça.

Me reculant légèrement je l'observais, elle était splendide. Je lui dégageait le visage de certaines mèche de cheveux encombrante et lui déposa un léger baiser sur les lèvres.

Tout se temps passé sans elle touchait enfin à sa fin.

SilferOù les histoires vivent. Découvrez maintenant