Chapitre 31

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- Tout le monde l'avais bien remarqué, même le patron ressaisi toi ma veille.

Regardant Camille s’éloignée de moi, je repensa au cauchemars qui n’arrêtait pas de me hanter depuis des semaines.  Secouant la tête énergiquement je repris mon plateaux en mains et partis débarrassé les tables. Depuis quelques temps son visage me revenait partiellement en rêve, et cela me tuait. Je l’avais cherché comme une folle pendant un temps, mais je n'ai jamais réussir à retrouver ça trace. J'ai retourné chaque coin de ce maudit monde, et rien, toujours et à jamais rien.

Je mettais désespérer à trouver en vin ça trace, mais rien. Respirant profondément je finis mon service le plus rapidement possible et pris la route pour rentrer chez moi. L’appartement que j'avais réussir à loué malgré mon manque d'argent était dans un piteux état aujourd’hui. Une grande carte ornais le mur de mon salon, elle était magnifique, pleine de couleur. Je la disais pendant un moment avant de reprendre mes esprit et de partir sous la douche.

La douche n’était apparemment pas le meilleure moyens d’oublié Silfer.

"Il déposa délicatement ces lèvres sur les miennes. Pendant quelques secondes nous restions comme ça sans bouger, juste le contact de nos lèvres l'une sur l'autres. Puis tout doucement il pris du mouvement et je suivais la cadence lente de nos lèvres. Plus rapide à chaque secondes, plus éprouvant à chaque seconde. Ce baiser de base si tendre, n’était plus ce qu'il était en a peine quelques secondes. Fiévreux, torride, intense, voilà ce qu'il était à présent. Nos langues se cherchèrent , ces mains était  fermement accrochée à mes cheveux pendant que les miennes lui arrachement la peau du dos. Des gémissement plaintif…, mes gémissement plaintif foisonnement dans la salle de bain pendant qu'il s'amusait à mordiller ma lèvre inférieure.

- Si tu continue comme ça, les voisins vont t'entendre.

- Je m'en tout des voisins dis je en le plaquant de nouveau contre moi.

Ces lèvres prirent rapidement le chemin de mon coup, et ma tête basculé en arrières sous l'extase que cela me produisais. Et la salle de bain fut de nouveau soumise à des gémissement entièrement charnel."

Les larmes coulèrent silencieusement sur mon visage. J'aimerais tellement le sentir contre moi, sentir son corps, entendre sa voix, son rire, son sourire. Je voudrais tellement le retrouvé. Énervé je sortis précipitamment de la douche et enfila rapidement des vêtements confortable, je retourna au salon et observa la carte quelques minutes.
3 heures plus tard la carte était enfin remplis de plein de petite croix rouge, et celle-ci était toute relié par des fils rouge. Regarde bien Hestia, tu a forcément du oublier un endroit,  hurlant de frustration je partis me faire un copieux plateaux repas et l’installation dans le fauteuil.

Encore une nuit ou je partis me couché frustré, énervé et triste. Je me décevais de plus en plus, je ne suis même pas capable de le retrouvé.

Les lacs souterrains !

Me réveillant en sursaut et transpirante, je repris comme je le pu mon souffle. Cette voix, c’était la sienne, j'en était persuader. Ca ne pouvait être que la sienne. Me relevant à la vas vite de mon lit je couru au salon devant la carte.
Les lacs souterrains.

C'est la qu’il était.

SilferOù les histoires vivent. Découvrez maintenant