CHAPITRE 7

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S A F A E







moi: passe une bonne journée Hadjar.

elle me fait un câlin et dépose un boussah sur ma joue puis s'en va vers ses amis.

j'sors de son école et me dirige vers l'endroit où Rebecca avait fait son échange dans l'espoir qu'elle y soit encore.

par chance elle était encore présente, toujours dans cette même voiture, elle procédait à un échange avec le même homme que la dernière fois.

une fois leur échange terminé, je suit cet homme qui se dirige vers un local un peu éloigné. il cache la drogue dans une petite boîte qu'il met derrière un meuble tout defoncé puis il sort.

je prend le sachet, le cache dans mon soutif' et pars dans l'espoir que personne ne m'est vu.




M A H E R





Leïla: mais bébé c'est pas vrai.

moi: TA GUEULE TA GUEULE PUTAIN.

Leïla: me cris pas dessus -pleure- j'suis pas venu ici pour souffrir okay ?

moi: j'te suffis pas c'est sa ? j'te suffit pas pour qu't'aille ken dans tout les sens.

Leïla: mais chaton c'est pas vrai -pleure- ont... ont ma forcée.

moi: prend moi pour un con, j'ai tout vu t'aimais sa, j'croyais qu't'avais changée tu m'déçois de malade.

Leïla: tu vas faire quoi hein ? me séquestrer comme t'as l'habitude de faire ? -pleure-

moi: moi contrairement à toi j'ai changé.

Leïla: moi aussi j'ai changée -pleure-

moi: c'est pour sa que t'étais en train de baiser avec mon pote sombre tchoin.

Leïla: je te permet pas -pleure- t'es personne pour m'insulter.

sa voix aiguë m'a montée à la tête wAllah elle est insupportable, j'veux pas m'énerver parce que, la non je ne le suis pas, j'ai juste l'impression d'avoir été pris pour un gros con, c'qui est la cas.

cette fille j'lui ai tout donné, elle avait tout c'qu'elle voulait et j'étais très bien avec elle sans vous mentir, elle a réussie à combler le manque que mes frères ont laissés, j'pensais avoir trouvé celle qui me manquait mais non, elles sont toutes pareilles. c'est une grosse michto qui s'est servie de moi, sa m'apprendra à trop faire confiance.

moi: sors de chez moi sale kehba.

Leïla: -pleure- c'est chez moi aussi.

sans plus attendre je la tire par les cheveux pour la ramener dehors.

Leïla: -crie- MES EXTENSIONS SA COÛTE CHER MERDE.

comment j'fais pour aimer une femme pareille, une grosse timpe à la chatte aussi visitée que la tour eiffel, parce que ouais j'l'aime encore.

«la rose du diable. »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant