CHAPITRE 15

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S A F A E











j'souris bêtement face à son message, sa prouve qu'il pense à moi quand même, j'suis pas rien pour lui.

j'entre dans cette discothèque en ajustant ma robe, je sentais déjà beaucoup de regards sur moi ce qui me gênait particulièrement.

il était à peine 23:00 alors que la fête battait déjà son plein, les filles se d'éanchaient de toit les sens et twerkaient sur tout les hommes qui se trouvaient près d'elle, l'alcool tournait de partout et la musique était très forte.

j'essaie de voir où est ce fameux John grâce à la photo que Rebecca m'a envoyée.

📨moi: je le trouve pas.

📩Rebecca: cherche bien il est sûrement au carré VIP.

je range mon Iphone dans ma pochette argenté et me dirige vers ce coin, il était assis, verre de champagne dans chaque main et pleins de femmes peu vêtues étaient près de lui, le problème c'est qu'elles étaient très très bien formées, je ne peux pas rivaliser avec elles...

en face de son fauteuil, se trouvait une estrade où des filles bourrés dansaient en sous vêtements, je monte dessus en les poussant et je me met à danser. j'essayais d'être un minimum classe tout en étant sexy.

il me fixait, je le fixait tout en bougeant mes hanches, peu de temps après, il me pointe du doigt et chuchote quelque chose à l'oreille de son ami.

je continuais mon "show" tout en le fixant quand quelqu'un tapote mon épaule.

?: mon patron t'appelle.

moi: c'est qui ton patron ?

?: c'est John - me dit il en pointant l'homme
du doigt.

je lui souris et me dirige vers cet homme, qui me souriait en retour d'une façon assez... bizarre.

une fois arrivée devant lui, il s'empresse de se lever en poussant toutes les femmes auprès de lui, il ne perd pas de temps et me prend par la taille en me chuchotant :

John: ont va chez moi tigresse tu vas pas oublier ce jour crois moi.

sa j'm'en doute pas, surtout si sa me rapporte gros.

il me traîne par le bras vers une Lamborghini tout à fait magnifayyqquuuee waye.

la route fut assez longue, je suppose que l'on est sortit de la ville, mais j'ai pas pensée à comment Rebecca va faire pour savoir où ont est...

sa villa était tout simplement magnifique, luxueuse et t'sa il avait des domestiques qui l'attendaient devant.

John: Samantha prépare nous une chambre.

elle s'exécute à la seconde près, John me tire par le bras et me fait rentrer à l'intérieur de sa sombtueuse villa :

j'ai eu clairement la même réaction, j'ai jamais vu autant de beauté en un seul endroit, déjà juste son salon faisait la taille de ma maison entière

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j'ai eu clairement la même réaction, j'ai jamais vu autant de beauté en un seul endroit, déjà juste son salon faisait la taille de ma maison entière.

John: -rire- je vais prendre une douche fait comme chez toi.

Il monte en haut, j'en profite alors pour fouiller partout dans sa maison, Rebecca m'a dit que l'argent serait dans un coffre fermé à l'aide d'un cadenas dont elle a déjà la possession.

?: c'est sa que tu cherches ?

Je me retourne sur John torse nu, dont une simple serviette recouvrait sa taille. Il tenait un coffre, c'est sûrement celui là que je cherche.

moi: non je cherchais un verre.

John: prend moi pour un con.

Son poing atteigna vite mon visage, ce qui me fit tomber au sol. Il s'asseya sur moi et m'anchaina comme un homme, je sentais du sang couler le long de mon visage, j'avais l'impression d'être morte, de ne plus pouvoir bouger aucun membre de mon corps.

quand son "travail" fut terminé, il se leva en crachant près de moi, avec le peu de force qu'il me reste, j'essaie de prendre un couteau dans le tiroir près de moi, une fois le couteau dans mes mains, je me lève en faisant le moins de bruit et plante le couteau entre ses deux omoplates. il cris de douleurs et s'écrase au sol en faisant tomber le coffre dont le cadena se brise.

je prend le coffre, enlève mes louboutin et cours pour sortir de la villa avant que les domestiques voient que c'est moi qui l'est planté.

je marchais dans la rue, pieds nus, le visage amoché et les larmes coulants une par une sur mon visage. voilà où j'en suis arrivée, je n'ai plus aucun espoir au bonheur. je suis perdue dans ma vie, je suis dans le noir à la recherche de cette petite source de lumière qui pourrait me guider vers le droit chemin.

les rues étaient bondés d'hommes bourrés qui me fixait comme si j'étais un bout de viande, ils voulaient tous me sauter dessus, mais je m'en foutais, je marchais sans savoir où j'allais quand une voiture se met à rouler à ma hauteur tout en klaxonant. je ne calculer pas vraiment, je croyais que c'était encore un de ces chiens d'la casse quand j'entendis sa voix.

?: Safae putain t'as fait quoi ?

Je sais qu'il est déçu de moi, qu'il pensait que j'étais une fille bien et calme mais maintenant je dois le dégoûter, il ne doit même plus avoir l'envie de me voir.

Maher: Safae monte t'es pas bien.

je m'écroule directement au milieu du trottoir en versant toutes les larmes de mon corps, je suis honteuse de tout sa, je fais pitier à voir je suis une vieille meuf.

il descend en courant de la voiture, il pose sa main sur mon dos, un frisson parcourt immédiatement mon corps.

Maher: Safae t'as quoi ?

quand il dit mon prénom sa m'fait un effet... waouuw j'peux pas décrire c'que sa me procure.

je lève ma tête vers lui, il pose ses mains sur mes deux joues et me fixe longuement, nos visages se rapprochaient peu à peu quand nos lèvres se touchent. ce baisers j'ai aucun mot pour dire comment il était, c'était la première fois que j'embrassais un homme et j'espère que sa sera le seul homme. je me sens rouge et je suis très gênée. il se détache de moi, je baisse immédiatement la tête mais il prend mon menton et me regarde avec un sourire au coin.

Maher: j'tue pour toi Safae.

Maher: j'tue pour toi Safae

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OHH MY GAAAAD.
















naacre™

«la rose du diable. »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant