J'embrasse mes deux enfants sur le front, ouais, MES enfants car malgré qu'ils ne soient pas les miens je les considère comme telle. Je ne les laisserais jamais vivre sans leur mère, ils ne peuvent vivre sans leur pilier.
Infirmière: vous êtes prêt monsieur Al Qasbi ?
Je les embrasse une dernière fois avant de dépose un même collier dans la paume de leur main, sur chacun des colliers, est inscrit le nom du Très Haut, dans l'espoir qu'ils gardent durant le restant de leur vie et qu'ils se rappellent qu'une seule et unique personne restera toujours près d'eux : Allah .
Moi: oui c'est bon.
Je prend l'enveloppe dans laquelle se trouve la lettre que j'ai écris pour Safae.
Moi: à son réveil vous pourrez lui donner ?
Elle sourit en prenant la lettre.
Infirmière: pas de soucis.
Elle me dirige vers la salle d'opération, elle me montre un lit blanc et me demande de m'y allonger.
Adieu Safae, sache que même de là haut t'aimerais toujours autant.
E H S A N
J'suis un putain d'enculé, j'me suis fait chopé la con d'ses morts, j'vais prendre 20 ans, 20 ans à rester enfermé entre ces putains d'barreaux comme un chien.
Ma première pensée se dirige vers Yâzid mon seul et unique fils, j'voulais l'voir grandir, rester à ses côtés et à lui apprendre comment de'vnir un vrai homme, un homme digne de c'nom mais l'destin en a décidé autrement, c'est sa saloppe de mère qui va s'en occuper.
Jusqu'au bout il m'a pourrit la vie, maintenant il veut qu'sa soit mon fils qui souffre de l'absence de son père comme moi j'ai souffert, mais j'me le promet, je promet que si c'est lui qui paye, ça s'ra ses fils de pute d'enfants qui en payerons la conséquence.
S A F A E
J'me réveille difficilement à cause de cette douleur atroce au cœur, je découvre petit à petit la pièce blanche ou je suis et ou se trouve aussi deux petits landaus avec deux bébés à l'intérieur.
Puis je remarque une enveloppe qui est posée sur le chevet droit, je m'empresse de la prendre et de lire l'inscription marquée au dessus «à mon unique amour».
J'ouvre l'enveloppe avec beaucoup d'appréhension, j'ai peur, peur de ce que cette enveloppe peu me dévoiler.
«hayati, Tu m'avais demandée une preuve de mon amour, bah la voilà, dans ton corps, l'organe dont le fonctionnement s'accélérait à chaque fois que tu me voyais, c'est lui, c'est le mien. Je peux être sur que jamais tu ne m'oublieras, j'ai donné ma vie pour toi Safae, je t'ai donné mon cœur. C'est assez court comme lettre mais juste avec celle-ci tu peux deviner que mon amour pour toi est éternel Safae. Je t'aime et sa n'en doute jamais.
Maher »
Dans l'enveloppe, se trouvait un pendentif en forme de cœur dans lequel il y a une photo de moi et lui.
Je l'ai perdu, j'ai perdu l'unique amour de ma vie, celui pour lequel j'aurais remué ciel et terre.
Je tourne mon visage vers mes deux petits bouts de chair, Inaya et Jûnayd c'est à présent eux mes seules raisons de rester en vie.
•THE END•
C'est la fin de cette chronique dont je ne suis pas du tout fière. Je trouve que je suis allée trop vite, que mon histoire est incohérente mais je me devais de la finir afin de pouvoir entamer sereinement le tome 2 pour lequel j'ai + d'idées, je ne sais pas quand je posterais les premières parties mais avec les cours et tout je n'ai pas vraiment le temps.
«Inaya : petit cœur en débris»
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Ça parlera d'une guerre 🇲🇦 contre 🇩🇿, je sais que c'est un peu "sensible" comme sujet mais je voulais vraiment me démarquer des autres chroniques et le seul sujet que j'ai trouvée.
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Vos avis détaillés et constructifs m'aideront sûrement à m'améliorer 😊
Dans l'espoir de vous revoir le plus vite possible.
