CHAPITRE 16

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M A H E R



j'repense à cette journée assez extravagante, Safae c'est une fille spéciale, différente des autres, elle a ce truc que les autres n'ont pas.

Elle dort dans mon lit, je l'ai soignée mais il faut qu'ont aille à l'hôpital demain histoire de s'assurer qu'elle aille bien.

Elle ne fait que gigoter dans tout les sens depuis tout à l'heure, et ne cesse de crier le prénom de ce "Aymen" les larmes coulées à flot sur son visage, elle frappait le lit et tirait la couverture en criant encore plus fort.

moi: calme toi Safae. - dis-je en caressant ses beaux cheveux.

elle se réveilla en sursaut et se réfugia dans mes bras.

Safae: wAllah j'en ai marre d'cette vie Maher.

Elle fixait le paquet de cigarette sur la table de chevet, je l'avais trouvé dans la pochette qu'elle avait. je sais qu'elle veut fumer et qu'c'est pas bon pour elle mais elle est mal, si sa peut la détendre j'suis prêt à la laisser fumer.

je m'emparre du paquet, porte une cigarette à sa bouche et l'allume grâce à un briquet. elle ferma immédiatement les yeux en s'allongeant sur le lit.

la scène se passait exactement comme sa :

la scène se passait exactement comme sa :

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Safae: ont s'connait même pas en faite.

moi: comment sa ?

Safae: ont connaît pas nos passés.

moi: ont à pas besoin de connaître notre passé pour construire notre avenir à deux.

Safae: tu veux vraiment une fille comme moi pour plus tard ? t'sais que y a pleins d'filles qui cherchent un mec comme toi.
moi: mais aucune de ces filles peut t'egaler.

elle sourit laissant échapper de la fumée de sa bouche plus les jours passent, plus elle me rend gue-din. j'vois que par elle maintenant, j'pouvais pas m'imaginer avec elle auparavant, mais à présent, c'est avec elle est uniquement elle que je me vois construire un avenir. souvent, la nuit j'delaisse mes cauchemars sur mes frères pour laisser place aux rêves où j'nous voit nous deux dans une grande maisons et avec pleins d'enfants autour de nous. quand j'rêve de sa, j'veux même pas m'réveiller c'est tellement beau.

Safae: -sourire- t'es aps comme les autres Maher toi au moins tu n'm'a pas laissé.

moi: c'est parce que j'tiens à toi.

Safae: t'sais Maher ?

moi: quoi ?

Safae: j'crois que je t'aime.

«la rose du diable. »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant