Tome 1 : Brothers Without Limits.
Tome 2 : Brothers Losing Control.
Un boxer désormais planétaire, Taylor Miles, à refermer à nouveau sa carapace, imperméable et cette fois se voulant totalement infranchissable. Le monde extérieur lui est alors à...
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
BOXER LOSING CONTROL : C H A P I T R E 20.
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
| PDV Taylor : |
Je balance l'ordinateur contenant une dose colossale d'article sur les événements d'hier. Il n'y en a pas un qui n'en ait pas parlé, ou peut-être que si, celui concernant les " joyeuses cuisinières " en gros le journal que personne ne connaît, le journal de merde que personne ne songerait à lire.
J'arrête quelques instants mes mouvements, pour me concentrer sur quelque chose qui pourrait me calmer. Mais sous mes yeux ne se trouve encore que mon téléphone qui vibre de nombreux appels, auxquels je n'ai pas répondu une seule fois depuis hier.
Quand je suis rentré chez moi, déjà en boule après l'accrochage avec cette nana, mon cellulaire a commencé à vibrer de toutes parts. Et j'ai comme l'impression qu'il ne va pas s'arrêter, avant que je ne réponde. Mais ce n'est pas pour ça que je vais décrocher, il s'agit sans doute de ces putains de paparazzis qui s'attendent que je leur serve ma vie privée sur un plateau d'argent.
— Mais merde mec, ton Mac, ca vaut une blinde de truc ! Tu ne peux pas juste éviter d'être aussi impulsif et de tout balancer sur un coup de tête ? Garde ta colère pour le ring, beugle Sean.
Il fait son apparition dans mon champ de vision plus énervée que jamais, et je lève les yeux au ciel.
— Ça va, je n'aurais qu'à en repayé un, j'ai assez de fric pour m'en acheter autant que je veux. Alors ne fais pas chier, marmonné-je en m'affalant sur un canapé.
Il hésite visiblement à rajouter quelque chose, en captant directement que je ne suis pas vraiment d'humeur à m'engueuler avec lui aujourd'hui, mais grande gueule qu'il est, il en rajoute donc une dose.
— En plus, tu es con, grogne-t-il.
Je déplace ma main sur mon visage, n'étant pas près à envenimer ce genre de connerie. Et, pourtant, j'en aurai bien des choses à lui balancer. Mais je ne les penserai sûrement pas, et je regretterais après.
