CHAPITRE 17 Lui

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1 mois jour pour jour, que je suis chez madame la chieuse. Elle s'occupe très bien de nous. C'est comme j'avais pensé,la princesse pourrie gâtée ne parle pas de notre accroche pas comme les autres dans ma chambre l'autre jour. Elle n'éprouve pas de honte, pour elle c'était un soir comme tout les autres.

Son frère est passé lui faire un coucou et en a profité pour connaître Tyler. Au premier à bord, le contact était bien entre eux au grand bonheur de mon hôte.

Concernant mon boulot tout va à merveille, seulement que j'ai attrapé une grippe alors je suis coincé avec la princesse qui ne travaille pas. Malgré son argent, elle doit pouvoir s'occuper non? encore un mystère sans éclaircicement.

J'ai rien avalé, je vais de ce pas en cuisine pour me faire un sandwich. Madame est en communication.

- Je peux pas venir le voir.... demain oui.... il mange bien?...l'argent suffit?.... je te fais un virement de ce pas....il aime sa chambre?....Dit lui que je l'aime.

C'était quoi cette conversation? Aurait-elle un enfant qui vit ailleurs? À l'entendre elle s'occupe de lui financièrement. Ce qui me pousse à en savoir plus en l'attaquant avec une pique. Il n'y a que comme ça qu'elle repondra. Ça fonctionne de cette façon entre nous.

- Ça ne vous ennuie pas tout cette richesse?

- Qui vous dit que je suis riche?

- Je suis pas si débile que vous le pensez. Rien qu'a voir cet grande maison et le quartier.

- Je ne m'ennuie pas, parce que j'utilise cet argent pour aider mon prochain.

- Vous le faîtes pour vous donnez bonne conscience, tout l'argent que les riches ont provient des affaires douteuses.

- Pas moi en tout cas. Mes parents sont devenus riches grâce au fruit de leur éffort au travail.

- Chose que vous devez faire au lieu de profiter sans rien faire.

- Je vois pas pourquoi je débat de ce sujet avec vous.

- Parce que vous devez le faire, j'ai jamais compris ces riches qui jettent l'argent par la fenêtre rien qu'en cherchant une marque d'affection pour excister, pour être aimer de tous ce que vous faîtes avec Tyler et moi.

- J'aide les autres parce que c'est mon devoir de le faire. Je ne recherche aucune affection particulière car j'ai déja l'amour de mes proches.

- Vous portez tous le même discours de riche.

Elle quitte son canapé et vient s'assoir sur la chaise où je suis atablé.

- Quand j'avais 7 où 8 ans, j'étais à Capri dans un village éloigné de la ville. En vacance avec mes parents qui aimait faire du touriste. Pendant une ballade, je me suis perdue. J'étais morte de peur, je marchais dans les ruelles sans savoir oú aller. Tout ce que je voulais c'était retrouvé mes parents. J'ai passé deux jours dans la faim, je mangeais le reste dans les poubelles pour pourvoir survivre.

Elle marque un arrêt pour essuyer une larme qui vient de s'échapper et je m'arrête de manger. Voyant l'importance de cette confidence pour elle.

- Jusqu'au jour où mes yeux ont croisé ceux de l'homme qui va me sauver. J'avais peur, je pensais qu'il allait me faire du mal, il m'a enmener chez lui, sa femme m'a donner le bain, m'a mis une tenue propre et m'a nourri. Le lendemain, ils ont voulu savoir d'où je venais, heureusement pour moi je comprenais un tout petit peu l'italien.

Le four signal dans la cuisine, elle se lève et sort des petits biscuits qui sentent bon sur le comptoir et revient s'assoir sur la chaise.

- Je leur ai indiqué où se trouvait l'auberge où on était descendu. Son mari s'était chargé de connaître l'emplacement le lendemain. J'ai fait deux jours dans la rue et deux jours chez eux. Ses enfants étaient gentils avec moi. Le cinquième jour, l'homme m'a conduit chez mes parents. Depuis ce jour, je me suis promis d'aider les personnes dans un réel besoin qui croiserait mon chemin comme vous.

Dans ton Regard.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant