CHAPITRE 20 Lui

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Je ne contrôle plus rien, je sais pas ce qui me prend. Joana est rentrer dans nos vies comme un freestyle. Je veux juste être avec elle et m'excuser pour le tort que je lui ai causé. Elle ne m'a pas vu assis sur son lit, le simple fait de la voir nue m'a secouer tout le corps. Mes sens se sont réveillé, elle diablement sexy. Je la trouve parfaitement bien roulée.

Me voici coller à la porte lui demandant de sortir. Elle est pertubée comme moi, ce jeu sexuelle à eu raison de nous car elle ouvre la porte, plaque ses mains sur mes joues et scèlle nos lèvres pour un baiser fièvreux, audacieux, sexy et sauvage. Nos corps sont en feu, je me débarasse de mes vêtement en l'entraînant avec moi sur le lit sans pour autant décollé nos bouches.

Joana n'en peux plus et me supplie de la prendre. Je suis pas de cet avis, j'avais raison de dire qu'elle était en manque. Je veux qu'elle admette ce fait avant que je la prenne entièrement.

- Admet que tu es en manque depuis des lustres et qu'une arraignée à tisser sa toile devant l'entrée de ton orifice.

- Tu t'occupe de moi desuite où tu sors tête de con.

Je souris, elle ne se laisse pas démontée pour autant. Je ferais mieux de m'occuper d'elle vu que j'ai ma réponse.

- J'ai pas de préservatif.

- Moi non plus.

- Alors je ne te ferais rien.

- S'il te plaît Douglas.

- Ce qu'on fait ne nous engage en rien on n'est ok?

- Très ok.

- Comme tu es sur le point d'exploser je vais m'occuper de toi qu'avec ma bouche et mes doigts.

Sans préservatif, il m'est impossible de coucher avec elle. Personne ne connaît les antécédants médical de l'autre alors prudence. Je l'embrasse en enfonçant deux doigts en elle. Elle mouillée à souhait, il me faut la pénétrer je pourrais pas sinon. Je me relève en la laissant pantelante.

- Qu'est ce que tu fais bon sang?

- Il me faut te pénetree, tu m'excite à mort.

- Fais le, je suis en bonne santé.

- Je vais à la pharmacie de garde prendre un préservatif.

- Non, fait pas ça, j'ai besoin de toi.

- Je promet de te faire planer jusqu'à l'aube.

Je l'embrasse et porte à la hâte mes vêtements. Elle fait la tête quand je sors et me rend directement à la pharmacie du coin. Je l'ai laissé sur sa faim, mais ça en vaudra la peine. Elle me supplira d'arrêter tellement je ferais ça bien. Ce qui nous arrive est purement sexuelle, il n'ya pas de doute.

-Bonsoir monsieur, je voudrais un paquet de condom.

Il me la donne et repart aussitôt, je cours pour vite arriver. Pourvu que Joanna ne s'endorme pas. Elle meurt d'envie, je ne m'inquiète pas. Tu en redemanderas encore et encore. Elle dort quand j'entre.

- J'ai mis du temps?

- Oui, je m'endormais.

- Menteuse.

Elle fait semblant de bailler et je l'embrasse avec hargne. À bout de souffle je me détache.

-Désolé, il me fallait ces préservatifs.

- Je.... comprends.

J'entre sous la douche, me rince avec elle, on se nettoie avec une serviette puis je la soulève pour la mettre de côté sur le lit, j'écarte ses jambes et enfouie ma langue sur ce petit membre érectile qu'est son clito en enfonçant un doigt en elle. Elle gémit de plus belle.

-Je te l'avais dit, tu aimes?

- Oui.

J'aime voir l'effet que je lui procure. Je touche ses petites lèvres avec mes doigts. Elle ont atteint une taille largement plus grande que la normale son clitoris gonfle à vu d'oeil, montrant son excitation. Elle à bon goût, comme je l'imaginais. Je remonte pour l'embrasser bestialement. Elle ne tarde pas à jouir, satisfaite. Son visage est plus détendue, elle sourit et me remercie. Je suce ses beaux seins. J'aime le gémissement qu'elle émet putain c'est bandant. Je caresse son ventre, la petite bouge et semble apprécier ce que je fais à sa mère. Joue mon bébé, tonton Douglas s'occupe très bien de maman.

Prête de nouveau à me recevoir , toujours sur le côté, porte le préservatif et la pénètre doucement en captant son regard, elle est sexy couverte de sueur. Je me sens bien à cet instant, je dois veiller à ne pas lui faire mal.

- Tu as mal?

- Un peu.

Je me lève et la met à genoux sur le lit et j'entre á nouveau en elle. Le cri qu'elle émet me liquéfie sur place. J'embrasse une fesse en la mordillant, elle est géniale et irrésistible.

- Je vais aller plus vite, si tu as mal tu m'arrête d'accord?

- D'accord.

Avec son accord, j'accélère, c'est un autre monde qui s'offre à moi. Ça aurait été confirmé noir sur blanc qu'elle est clean niveau santé je lui aurait fait l'amour sans me protéger. C'est plus magique sans, on ressent les sensations qui sont multipliés par mille.

Nous jouissons, heureux d'avoir assouvi ce fantasme. Nos ardeurs sont dorénavant calmés. Je me  nettoie et me colle à elle, en embrassant ses lèvres. Ça fait du bien. Je me sens bien avec elle.

-Tu me pardonne maintenant?

- Un peu.

Je rit avec elle, Joana est une supprenante femme.

- Tu as aimé?

-Un peu.

- Un peu? Tu parles oui, tu as plus qu'aimer on remet ça ?

- Peut t-être.

- Dans ta chambre où la mienne?

- Dans la mienne, Tyler frappe toujours avant d'entrer. Alors que chez toi, c'est....

-Libre service.

- C'est ça.

Je la regarde longuement, ses yeux ont prit une autre teinte de couleur. Je me perd et y lit du désir, de l'amour, de l'envie tout à la fois. Je ne saurais me prononcer sur ce qu'on partage et devrons partagé après. Si je n'ai pas une discussion franche avec elle on ne sera pas situé. Je laisse mes sentiments me guider.

-Tu as des yeux magnifiques.

Elle sourit contente de ce compliment.

- Je sais pas ce qui m'arrive Joana.

- Moi non plus, tout ce que je veux c'est profiter de cet instant. Laissons faire les choses et voir où ça nous mène.

Je l'embrasse tendrement pour lui montrer que je suis d'accord avec elle. On ne forcera rien.

- Dans deux heures le jour se lèvera, je vais dans ma chambre. Tu dois dormir, je vais tôt au boulot.

- On se verra á ton retour.

- Depuis quand tu es pressé de me voir rentrer vite?

-Idiot.

Je l'embrasse et fait un bisous à cette petite princesse dans son ventre en la remerçiant de m'avoir pardonner.

- Comment sait tu qu'elle t'a pardonné alors que sa mère ne l'a pas totalement accepté?

- Je dois y aller.

-Reviens ici, Douglas, reviens on doit parler.

Elle me jette un coussin que j'esquive de justesse. Et sort en entrant dans ma chambre j'ai deux heures de sommeil devant moi. Je ferme les yeux avec à l'esprit ce qui vient de se passer avec Joana, la riche princesse pourrie gâtée.

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Nos héros ont sauté le pas, reste à savoir s'ils se detesteront pas par la suite.

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