Chapitre 37.

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Éllipse une heure plus tard.

Je suis dans la bus pour aller voir ces magnifiques monuments historiques et français. Je suis bien sûr du côté fenêtre en admirant le paysage qui s'offre sous mes yeux. La musique "Undercover" de Broiler joue dans mes oreilles, ce qui m'apaise et m'aide à m'épanouir un peu plus sous ce décor.
J'ai entendu de la part de notre professeur que nous sommes dans le seizième arrondissement. Les quartiers de Paris sont toujours aussi luxueux que dans mes rêves. Les voitures, les français, les magasins, tout me plait, absolument tout... Je suis ébahi face à ce magnifique paysage, j'aimerais sincèrement aller dehors pour aller visiter tout dans les moindres recoins. Tout est différent de Los Angeles que ça soit les gens ou encore les magasins, tout est différent.
Nous sommes en routes vers le Trocadéro où bon nombre de voiture nous barre le chemin. Je suis vraiment impatiente sur le coup, je tremble sous mon siège et je joue avec mes bagues.
Dinah est encore plus excité que moi puisqu'elle ne cesse de crier dans tout le bus. Normani, elle, stresse et pour je ne sais qu'elle raison, elle tape du pied sur le siège. Camila cri aussi dans le bus, à chaque fois qu'il y a quelque chose ou bien quelqu'un qui passe, elle sautille partout.
Et pour Ally... Eh bien... Elle est magnifique... Elle regarde tout dans le moindre détail, elle observe, analyse, les chaque recoins de Paris. Elle tourne son visage quand quelque chose lui plaît ou encore qui la fascine. Elle ne lâche pas son regard de la fenêtre, elle est captivité par ce qu'elle voit. Depuis le début du voyage, elle regarde ce paysage, elle se moque des autres, des élèves perturbateurs, il y a seulement ce décor qui l'a fascine, qui l'a rend heureuse, qui l'a fait sourire, qui la fasse rêver. La voir comme ça me rend aussi heureuse, voir ma petite amie sourire et heureuse me rend heureuse. Je l'aime tellement, elle rend folle d'elle chaque jour, elle me rend heureuse, je suis heureuse avec elle. Qui aurait cru que je serais heureuse avec ma professeur d'histoire qui est ma petite amie... Tout, tout me fait rêver avec cette femme, son sourire, ses yeux, son rire, son visage, son corps, sa poitrine, son postérieur, sa petite taille, sa personnalité, sa façon de penser et de parler... Tout est magnifique chez cette femme, elle parfaite, je ne lui trouve aucun défaut.
Je sors de mes pensées lorsqu'un poids s'écroule sur moi.

Dinah: On y est!

Elle se couche pratiquement sur moi pour regarder la fenêtre où je me trouve et lorsque je tourne la tête vers la fenêtre une vague de frisons prend possession de mon corps.
On y est... Enfin, après tant d'années à vouloir voir cette tour nous y voilà enfin. Mon cœur bat rapidement comme si j'avais fait du sport. Mes yeux s'écarquillent en grand pour admirer cette vue en face de moi. Le bus s'arrête et les élèves commence à crier et à s'agiter tout comme moi et les filles.
Les professeurs sortent du bus et nous courons pratiquement dans le bus pour sortir. Dinah pousse tout le monde et arrive à sortir je la suis et j'arrive enfin sur la terre ferme. Je regarde autour de moi ce paysage, comme dans mes rêves. C'est exactement à quoi je rêvais, c'est tout ce que je voyais, c'est tout ce que je m'imaginais. Je suis en extase, aux anges, en plein rêve, tout est magique. Les professeurs nous autorisent à aller sur la place du Trocadéro afin de prendre des photos à notre guise. Toute les quatre nous partons sur la place et la seule chose qui attire notre attention est la Tour Eiffel... Elle est colossal, je n'aurais pas pensé qu'elle était aussi grande, elle touche les nuages. Ça fait même peur, les nuages couvre légèrement la pointe de la Tour.
Mon sourire est omniprésent sur mon visage ce qui me cause d'horrible crampes aux joues. Pour les filles c'est la même chose mais en pire, elle ne cesse d'hurler partout. Certains touristes nous regarde, d'autre rigole en nous voyant nous extasier devant ce paysage. Je dois avouer que de mon côté je saute de joie aussi avec les filles, je suis si heureuse que mon rêve puisse se réaliser. Je suis en adoration, j'aime ce pays, cette ville, ce monument.
On prend des milliers voir des millards de photo de cette tour, on se prend avec toute les quatre comme tous les élèves de ma classe y compris nos profs.
Dans les moindres recoins je prend des photos, c'est si magique, si beau, si romantique...
D'ailleurs en parlant de romantisme, je regarde celle qui fait chavirer mon cœur, celle qui me rend heureuse, celle qui me fait sourire avec un simple sourire. Elle entrain de prendre une photo avec Lauren et ma professeur de mathématiques. J'ai envie de prendre une photo avec elle de cet endroit, je sais que c'est risqué mais j'aime le danger...
Je décide de lui envoyé un message afin de prendre une belle photo avec ma bien aimée...

L'amour de ma vie. [Ally Brooke]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant