Un inconnu un amour [TOME 1] [TERMINÉ]

Alors?

PDV Chris

C'est le matin. La lumière du soleil viens agresser mes yeux encore brillant d'hier soir. Il fait froid, vraiment froid. Je commence à descendre par l'échelle. Elle est trempée. Je l'allume une clope en me dirigent vers la maison. Je ne sais pas vraiment pourquoi mais je pense à Nico, le petite frère d'Alex. Ce gosse me manque, je n'ose même pas imaginer ce que ressent Alex de ne plus avoir son frère. Il avais pleuré pratiquement tout la nuit le soir où on lui a retiré. Je m'assoie sur une souche de bois encore mouillée. Je sort mon téléphone. Six heures cinq. Il est trop tôt. Je ne veux pas réveiller tout le monde. Je reste assis sur ma souche. J'ai toujours froid. Et le fait qu'Alex ne sois pas avec moi n'aide pas vraiment. J'écrase ma clope avant d'en ressortir une. J'ai la fonce dalle, et la pâteuse. Je ferme un instant les yeux. Puis me roule de nouveau un joint. Je le fumes comme un pompier, pour être sur qu'il me monte vite a la tête.
Je sent un truc se poser sur mes épaules.
-Trésor, rentre il fait froid. Ma tête commence à tourner ma vu se brouille.
- Je croie que j'ai trop fumer. J'ai l'impression de parler au ralenti, je suis totalement déstabilisée.
-Viens allé...
Il fait noir, tout noir. Je sais pas où je suis mais je suis bien là.

Quelques heures plus tard

J'ouvre les yeux. Alex a coucher a coter de moi. Je l'aime ce con. Nous sommes en boxer. Il garde les yeux sur sont téléphone.
-Bébé? Il pose son tel à coter de l'oreiller.
-Ça va? Il a l'aire froid.
-Oui. Je réalise que je suis dans mon lit.
-T'en a fumé combien?
- Je sais pas peut être neuf ou dix...
-Pourquoi?
-Pourquoi quoi?
-Pourquoi t'en a fumé autant.
-Tu passais la nuit avec une autre... Il me regarde en restant coucher sur son ventre.
-On a rien fait.
-T'as pas à me dire si vous avez coucher ou pas, je ne veux pas savoir. Je remet ma tête sous la couette.
-J'aime pas quand tu te défonces comme ça, je m'inquiète à chaque fois.
-Pourquoi on est en boxer? Il me regarde exaspéré. Quoi? Lui demandai-je.
-Je suis entrain de te dire que j'aime pas quand tu te défonces, que ça m'inquiète et toi la seul chose que tu trouves à me dire c'est « pourquoi est en boxer? »Mais c'est une blague! Il s'énerve contre moi.
-Bébé je suis désoler... Je me rapproche pour l'embrasser le long de sa colonne, il frémi, puis me pousse un peu.
-Chris je t'aime, sincèrement, mais je veux plus que tu fumes comme ça. Je l'embrasse tendrement.
-Je t'aime aussi Alex, et si ça peux t'aider à te sentir mieux je ne toucherais plus à ça. Il me souri.
-Tu devrais dormir encore un peu. Je pose ma tête juste à coter de la sienne.
-Dac mais tu me gardes dans tes bras. Il me sert contre lui.

Plus tard

Je me réveille doucement. Je regarde mon téléphone. Merde PUTIN c'est pas possible! J'ai dormi une journée entière! Il est dix-sept heures trente. Alex n'est pas dans la chambre. J'ai l'impression de sortir du coma. Après une bonne dizaine de minutes je sort de mon lit.
Mon bébé a laisser ses affaires en boule parterre, comme d'habitude. Je lui ramasse, mais une odeur viens me perturber. Son tee-shirt ne porte ni mon odeur, ni la sienne, mais celle d'Aupaline.
Je suis triste mais non surprit. Je m'habille, vais dans la cuisine prendre à manger, et à boire.
-Messieurs à bien dormi? Je me retourne en souriant.
-Oui Merci Sebastian.
-Quelque chose ne vas pas? Ce mec lis dans mes pensée enfaite.
-Je crois qu'Alex a coucher avec une fille pendant la soirée...
- Tu l'avais autorisé?
-Oui...
-Mais tu regrettes. Je met un cookie dans ma bouche et le mâchouille comme un enfant.
-Un peu.
-Tu en as parlé avec lui? Je répond négativement de la tête. Commence déjà par ça.
-Ils sont ou les autres?
-T'es parents son aller apporter les fond à l'association, et ta soeur à une autorisation de dormir chez son ami.
-Et mon chéri?
-Dans la salle télé, vas le rejoindre il s'inquiète pour toi.
-Hm je vais y allais. Je prend une bouteille que je remplit moitié, sirop de framboise, moitié eau. Et fait quatre tartines de confiture qui, pareille et à la framboise.

Il est assis dans le canapé, avec un plaid rouge qui le recouvre entièrement.
-Coucou bébé. Il sursaute, j'éclate de rire.
-Trésor tu m'a fait peur. Je pause le plateau sur lequel j'ai mit les tartine, et la bouteille.
-Je t'ai fait des tartines. Il m'embrasse.
-Merci. Je le regarde manger, toujours avec mon cookie en bouche.
-Bébé t'as aimer avec Aupaline?
-T'es con. Il me le dit d'une manière tellement naturelle que je reste choquer.
-Pourquoi?
-J'ai pas coucher avec elle, on a parler pratiquement toute la nuit de toi quand tu étais petit.
-Ah...ok. Je continue de manger puis réalise ce qu'il m'a dit. Comment ça vous avais parler de moi quand j'étais petit! Il expose de rire.
-Elle m'a dit que tu étais vraiment chiant.
-C'est pas faut.
-Tu l'ai toujours enfaite.
-Quoi!? Il se lève et commence à couture avec ça tartine je le suis avec ma boite de cookie en main.
Nous nous poursuivons comme ça dans toute la maison. Chose qu'il oublie c'est que je la connaît par cœur, je passe par des raccourci. Il est en face de moi. Nous sommes mort de rire. Il me plaque contre le mur pour suivre son chemain.
-Mais t'as fais tomber mes cookies! Nous rigolons de plus bel.
-Dommage. Il me tire la langue et coure.
Je l'ai perdu de vue, notre course poursuite c'est transformer  en cache cache. Je me dirige vers ma chambre, elle est fermée à clef.
-Bébé, ouvre la porte.
-Non. Il ricane.
-Aller mon amour.
J'entre enfin dans la pièce au bout d'une vingtaine de minute. Alex se tiens assis sur le lit, son sourire au lèvre. Je vien me mettre à côté de lui. Il m'embrasse, puis se laisse tomber devant moi.
-Christopher. Je le regarde.
-Oui?
-Je t'aime vraiment plus que tout au monde, tu a émerveillé ma vie, malgré nos disputes et des moments vraiment dur. Les larmes me montent aux yeux. Depuis ton arrivé dans ma vie je suis un autre homme, je sais vraiment ce qu'est l'amour. C'est pour ça que moi Alexandre Santafera, aimerais que toi Christopher Jons, fasse de moi la personne plus heureuse de monde, en acceptant de passer ta vie à mes coter, en nous unissons.
Il ouvre sa main, et une boite en même temps avec une bague. Je reste sans voix.
-Alors? Reprit-il.
-Sincèrement...

Suite====>