«Il s'appelle Younss. »- Aya

Partie 15

De retour à la maison je suis directement monté à l'étage pour retrouver ma chambre. Mais malheureusement dans le couloir j'ai croisé Younss.

Younss : Aya !

- Oui !?

Younss : T'étais où !?

- C'est pas tes affaires !

Younss : Je suis ton mari donc si c'est mes affaires !

- Ok, dis-je en m'en allant.

Younss : J'ai pas fini !

- Moi si !

Younss : Qu'est-ce qui c'est passé avec ma mère tout à l'heure ?

- Pourquoi demander ma version tu me crois jamais !?

Younss : Est-ce vrai que tu l'as laissé faire une crise sans intervenir ?

- Oui, parce que la crise était fausse !

Younss : Mais t'es complètement folle c'est pas vrai !

- rire nerveux D'accord, dis-je avant d'entrer dans la chambre.

Non mais franchement j'ai même pas l'envie de me disputer avec lui, qu'il aille voir sa mère moi je veux même pas le voir.

Je préfère rester enfermer des jours et des jours dans ma chambre que devoir les supporter. Je reçois ensuite un coup de fil de Zëyhar :

📞 Zëyhar💋 - FACETIME

- Allô ?

Zëyhar : Oui allô Aya ?

- Ça va Zëyhar ?

Zëyhar : Oui tranquille et toi ?

- Al Hamdoulilah hein.

Zëyhar : Et la petite ?

- Elle va bien aussi, t'inquiète.

Zëyhar : Super alors, bon il faut que je te dise un truc.

Lorsqu'elle me dit ça je m'attend au fait qu'elle se soit remise avec mon frère Zaïr. Je ne pense uniquement qu'à ça, mais cette dernière me fait vite redescendre puisqu'il ne s'agit pas de cela. C'était quelque chose de mieux encore que ces histoires d'amour...

Zëyhar : Ibrahim... il va se marier ! dit-elle en criant de joie.

- JUURE !? TROOP BIEN ! Et avec qui !?

Zëyhar : Avec une Guinéenne qui est voilée en plus, elle s'appelle Fatou et aujourd'hui il est aller demander sa main.

- Oh je suis trop contente pour lui putain !

Zëyhar : Moi aussi, c'est un truc de malade ! Le mariage est prévu dans 2 mois.

- Ah...

Zëyhar : Tu vas venir j'espère ?

- Je ne pense pas... tu sais c'est encore froid avec les garçons... alors je...

Zëyhar : en me coupant Mais c'est important Aya, il faut que tu viennes.

- ...