Bonjour à toutes et à tous, je m'excuse pour le retard mais mon petit à enfin pointer le bout de son nez en début d'année. Une année qui commence sous les meilleures auspices.
Je vais essayer de faire des suites en espaçant le moins possible.
Merci de votre compréhension.
Bonne lectureChapitre 18 :
-Nous jouons à un jeu dangereux en êtes vous conscient ? Sussuré-je.
-Tout à fait mademoiselle Moore. Et vous, êtes vous prête à affronter le danger ? Me défit-il.
-Asseyez-vous monsieur Reynolds ! Ordonné-je.
-Je n'ai aucunement peur du danger, je flirte avec lui tous les jours, répliqué-je en souriant.
-Je croyais que vous deviez être accompagnée ? Demande-t-il en regardant autour de moi.
-Ils ont préférés rester au lit savourant la chaleur des bras de leur moitié, me moqué-je.
-Je pense que nous devrions faire de même, propose-t-il en s'asseyant près de moi.
-Je suis venue ici pour profiter du soleil, de la plage, de ce fabuleux hôtel avant de me donner corps et âme au travail, pas pour faire des folies de mon corps, repris-je.
-Me punis-tu de vouloir t'engager ? Me demande-t-il.
-C'est exactement cela ! Acquiescé-je. Mon travail est très important je ne pourrai plus profiter de tout ces loisirs quand je travaillerai pour toi. Tu es tellement exigeant et difficile à contenter, fais-je remarquée.
-Je ne suis pas un tyran ! S'exclame-t-il. Tu me contentes sur d'autres points..., ironise-t-il.
-Ce n'est pas ce que l'on dit de toi, dis-je doucement. Je te connais dans le contexte personnel, ton comportement n'est sûrement pas le même lorsque c'est professionnel.
-Tu penses vraiment que je suis un tyran ? Me questionne-t-il sérieusement.
-J'en suis persuader, affirmé-je. Tu as fait pleurer une de mes amies de facultés, qui a effectuer un stage chez Reynolds entreprise. Elle a été anéantie pendant une semaine, déploré-je.
-Si elle a été aussi affectée c'est qu'elle n'avait pas la carrure pour continuer, se défend-il.
-Je préfère être clair dès maintenant, je ne me laisserai pas marcher sur les pieds, même si tu es mon supérieur. Ne crois pas que parce que nous nous connaissons intimement que cela changera quelque chose, le prévins-je.
-J'en suis tout à fait conscient, me murmure-t-il à l'oreille. Mais saches que moi aussi je ne me laisserai pas marcher sur les pieds, me prévient-il à son tour.
-Alors nous nous comprenons tout à fait, fais-je en buvant une gorgée dans son verre.
-Que comptes-tu faire aujourd'hui ? Me demande-t-il.
-Premièrement je vais déguster un succulent petit déjeuner, après je verrai. Peut-être vais-je profiter de cela, fais-je en passant mes mains dans sa chemise entrouverte.
-Très bon programme mademoiselle Moore, me sourit-il.
-Je sais monsieur Reynolds, dis-je le sourire aux lèvres.Mes viennoiseries arrivent enfin. Je meurs de faim. J'engloutis avec appétit un croissant, puis un pain au chocolat. Je continue sur ma lancée en buvant d'une traite un jus de fruit frais.
C'est tellement bon, j'en avais amplement besoin. Mon corps revigoré j'avale un comprimé d'ibuprofène pour calmer mes migraines.-L'alcool n'est pas ton ami, à ce que je vois, admet-t-il en me regardant avaler mon comprimé.
-C'est la tequila qui n'est pas mon ami, et les douze verres que j'ai bu d'affiler. Je déteste quand Adam me défi de cette manière, dis-je exaspérée.
-Je trouve que ces verres de tequila ont été bénéfiques pour la fin de soirée..., souffle-t-il en faisant référence à notre petite virée dans la limousine.Je me met à sourire, j'ai encore en mémoire notre petite escapade sauvage dans la limousine. Torride et endiablée elle reste dans mes pensées.
-Avant que Naomi nous rejoigne, je voulais te remercier d'avoir proposer de l'héberger. Je l'aurai volontiers fait mais je n'entretiens pas de bons rapports avec ma mère, m'avoue-t-il.
-Je me devais de le faire. Ta sœur ne va pas bien et la mienne non plus. Si cela peut les soulager c'est avec grand plaisir, assuré-je en déposant mes mains sur les siennes.
-Je ne veux pas que ma sœur vivent ce que Noah et moi avons vécus. Elle mérite tellement mieux. Mais je préfère te mettre en garde, ma mère est prête à tout pour contrôler nos vies, me prévient-il.
-Amelia fait parti d'une de ses tentatives ? Demandé-je curieuse.
-Oui, et je ne suis pas peu fière de m'être laisser influencer de la sorte, répondît-il une pointe de déception dans la voix.
-Il n'y a pas que ta mère qui est prête à tout. Amelia en personne est venue me trouver et m'a menacer si je continuais à te fréquenter, informé-je.
-Je suis désolé que tu subisses tous ces affronts, déplore-t-il.
-Je ne suis pas ta compagne Nathan, donc cela ne m'atteint en rien. Cela me fait presque rire, de voir l'effet que tu fais aux femmes, rigolé-je.
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*Entretiens et plus si affinités*
RomanceMila Moore, jeune héritière d'un empire immobilier, à un lourd et pesant passé à porter. Lorsqu'elle est diplômée elle décide de s'offrir quelques jours de vacances sous les tropiques. Elle tombe sous le charme du séduisant et jeune milliardaire Nat...