Quand une KUUDERE est une Yakuza [FR]

Segment 6 : Vie de lycéenne

Dans le domaine des Yakuza's, il existe plusieurs métiers. Et même si le terme "tueur à gage", comme je le suis, est un peu à part. 

Il y a tout ce qui concerne la prostitution, auquel je ne veux surtout pas avoir affaire.

Les Yakuzas sont aussi en rapport avec l'immigration clandestines, l'intimidation, dans la lutte aussi avec les sumos, les jeux de hasard et les paris où j'ai déjà croisé Ame-chan, et j'en passe...

Les Yakuzas sont bien connu pour les trafics, également.

Trafic de drogue,

Trafic d'organes,

Et le trafic d'armes.

Et Zero-kun est dans le trafic d'armes.

Comme moi, il possède lui aussi les fameux tatouages. Nous ne sommes pas très proche de base, mais depuis qu'on s'est vue au "QG", notre opinion de l'un sur l'autre a assez changé.

Et honnêtement, j'ignorais si Chansuno était au courant que Takahi était un Yakuza. Comme les deux élèves ignoraient à propos du secret de Magira.

Bref, Zero s'approcha de notre table tandis que je laissais un soupir lasse s'échapper de ma bouche. Ame-chan se leva du banc, se tournant directement vers son ami en souriant.

"Ah bah te voilà !" Fit-elle.

-Ouais désolé, la prof m'a encore soûlé.

Zero-kun se gratta la tête avant de m'adresser, tandis que Ame-chan retourna s'asseoir :

"Ben alors Kuudere-chan, tu nous dis pas que c'est ton anniversaire ?"

-Je ne vois pas pourquoi je te le dirais, répondis-je en prenant un morceau entre mes baguettes, mais tu manquais à ta copine...

-Hein ?

Ame-chan se mit automatiquement à rougir alors que Zero-kun fit les gros yeux.

"Mais tu vas arrêter avec ça ?!" Hurla-t-elle alors que Magira pouffa de rire.

-Euh c'est quoi l'embrouille, demanda Takahi en regardant Chansuno, depuis quand t'es ma copine ?

-Mais va pas croire que j'ai dit un truc pareil, répondit Chansuno, Takahi !

-Bon Zero-kun, demandais-je, tu viens t'asseoir ou tu vas rester debout ?

-Hm...

L'air blasé, il alla s'asseoir en face de Ame-chan, donc à mes cotés, posant sa nourriture sur la table.

Nous terminions donc de manger dans une ambiance qui me cassait assez mes oreilles. Quand la sonnerie mit fin, j'étais la première à me lever, débarrasser et à quitter les lieux, laissant les autres derrière moi.

Rapidement, je rejoins ma classe pour avoir le cours suivant.

Transition de la fin des cours.

Quand la sonnerie mit fin aux cours, donc à 15h30, ce fut l'heure du nettoyage quotidien. Dans les écoles Japonaises, après les cours nous passons minimum 30 minutes à nettoyer l'école. Classes, couloirs, toilettes, et autres. Pour ma part, j'avais l'habitude de laver nettoyer les bureaux de ma salle de classe, tandis qu'un camarade passa le balais et un autre nettoya le tableau et la fenêtre. 

Comme convenue, nous avions prit 30 minutes à tout faire. Une fois terminée, je pris mes affaires et sortit de la classe. A cette heure, ceux qui étaient dans des clubs faisaient des activités, mais comme je n'étais dans aucun club, je sortis de l'école.