Chapitre 12

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-Ton pouvoir... répétais t'il. Es d'amplifier le pouvoir des autres, tu ne t'ai pas demandée pourquoi je ne t'ai pas poursuivit quand tu t'es enfuit ? Parceque mes pouvoirs ne marchent pas quand tu es loin de moi. C'est comme ça... Suis moi je te fuit, fuit moi je te suis... il ricana de nouveau.

Horrifiée je l'observais. Mes amis dans les tribunes se défendaient comme il pouvait au milieu de hordes de laborantins qui leurs assenaient des coups de poings. Et Lana et Éléonore, à terre. A cause de moi et de mon pouvoir destructeur, si j'approchais un de mes ennemis il devenait plus fort et je ne pouvais rien contre lui car nos puissances étaient, sont et seront égales à jamais.

Soudain une idée me vint.

-Lisa ! Aymeric ! Eddy ! Bastien !  Criais je.  Aucun ne me répondit mais je savais que j'avais leur attention.

Je me téléportais à leurs côtés, Félix restait sur place, prit de convulsion. Je ne savais pas si j'étais assez loin de lui mais au moins il ne me dérangerais pas. Je les prient par les mains, me téléportais au côté de Lana et Éléonore puis je les touchaient pour que nous puissions partir.

Épuisés par ces allées et venues je me laissait choir sur le sol. Nous étions tous épuisés mais seuls Bastien gardait son souffle et restait debout.

- C'était quoi ça ! Dit il en pointant derrière lui pour parler de ce qui c'était passé.

-C'était rien. déclara Lana affalée près de moi. Elle était en piteux état ses cheveux blonds éparpillés autour d'elle comme une auréole.-C'était rien. Reprit elle.- Comparé à ce qui va nous arriver après. Félix n'est pas content. Nous lui avons volé Sally et Lisa.

-Mais non nous n'avons rien volé ! S'écria Bastien.

-Lana a raison ! Défendit Éléonore. -Il va vouloir se venger.

Il devint blême et tomba à genoux.
Aymeric quand à lui était retourné vers Eddy et ils semblaient discuter à voix basse.

-Nous ne sommes pas en sécurité ici. L'Épiosa était sure quand les araignées n'avaient pas mît au point leurs modifications génétiques. Annonça Aymeric.

-Il n'a pas tort maintenant n'importe qui peut entrer ici il suffit d'un œil de quelqu'un puis de son ADN et de son index droit. Commenta Eddy.

-Bon ça suffit ! Il nous faut une planque et vite ! Cria Anna.-Et j'ai l'endroit idéal.

-Il faut quitter l'Épiosa. Sinon il voudront tout le temps savoir ou nous sommes et nos discussion seront tracé. Dis je.

-On ne peut pas quitter l'Épiosa ! Sinon nous avons un ennemi en plus, règle numéro un de l'organisation, une fois entrée dans l'Épiosa on y reste jusque à la retraite. Nous rappela ma cousine.

-J'ai toujours trouvée cette règle toute pourris et mal tournée. Répondis je.

-Oui c'est sur ! Dirent en coeur Eddy et Bastien.

-Au final ça mettrait du peps dans nos vies. Chantonna Anna.

-Comme si il n'y en avait pas assez dans le métier d'espion. Ironisa Bastien.

-Bon ça suffit.

Anna qui avait parler prit un ordinateur écrivit un message en toute hâte, prit un sac dans lequel elle vida un tiroir avec écrit : bidouilles. Sortit de mon bureau et revint quelques minutes plus tard sous nos yeux ébahis puis elle annonça :

-J'ai annoncée notre démission à tous prit du matériel et maintenant on se casse.

J'acquiesçais les yeux encore ronds par ce que venais de faire la française.

Rouge, sang Où les histoires vivent. Découvrez maintenant