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Salem Aleykûm✳Bonne lecture✳

PARTIE 67

Baba : tu vas dire oui, je rigole même pas avec toi ! Parce qu'après, on peut jouer, et tu le sais, que je vais gagner la partie.

Moi : m... l...lâche m..moi tu fais qu...quoi ?

Baba : chuuut !

J'ai une larme qui a coulé, puis une autre, j'allais me marier. Il m'étranglais comme un fou, l'air me manquait. Je suffoquais.

Je savais très bien que si je refusais, pire m'attendais que ce qu'il m'a fait.

Il m'a eu...

Il m'a manipulé, j'ai été trop naïve...

Je savais que si je refusais, j'allais souffrir, souffir jusqu'à vouloir mourir, et demander si je pourras me tuer. Après tout, mon mari pourrait être gentil, et je pourrais divorcer.

Mon père m'a donné une claque, avec toute sa force, ma tête a cogné contre le mur et je suis tombée par terre sous un coup de pied violent de mon père.

Comment ai-je pu le laisser jouer avec moi ?

Au fond, je suis extrêmement faible... Et conne. Ouais, je suis vraiment conne.

Il m'a fait essuyé mes larmes et m'a emmené au salon.

L'homme étant présent avec moi tout à l'heure, était assis sur un trône. Je n'avais pu observer son visage, mais je fus choquée d'observer que c'était lui... Il me regardait en souriant.

[...]

Connard : monte.

Moi : tu peux me parler autrement tu sais...

Connard : ta gueule.

Moi : Je suis pas ta pote tu me parles correctement en fait. J'ai jamais voulu me marier avec toi, donc prend pas la confiance.

Yanis : -en me prenant par les cheveux- tu vas vite fermer ta gueule t'as compris ?

Moi : mais lâche moi !

Yanis : déshabille toi, tu vas te laver et te coucher.

Moi : elle est où ma chambre ?

Yanis : tu dors avec moi, crois pas.

Moi : hahaha. Quel humour !

Yanis : -coup de poing à l'oeil- écoute moi bien p'tite pute, tu vas vite arrêter de faire la folle, j'suis pas ton petit pd de Zakaria ok ? Avec moi tu ferme ta gueule et t'obéis, j'hésiterai pas à te considérer comme une chienne donc c'est simple, sois tu obéis, sois tu subis.

Moi : -en lui donnant une claque- MAIS T'AS CRU J'ÉTAIS TA PUTAIN D'ESCL-

O M N I S C I E N T

Lyna n'a à peine eu le temps de finir sa phrase, que le jumeau de son bien aimé, s'était précipité vers elle, afin de la battre. Elle hurlait, criait, essayait de se débattre, mais c'était peine perdu.

{ Cœur Fané }Où les histoires vivent. Découvrez maintenant