Moyenne-Age

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Un homme de petit taille traversait le village en courant. Il devait faire vite. Il déboula devant les gardes le souffle court et les idées chamboulé.

-Laisser moi passer. Je dois voir le maître réussit-il à articuler.

Les gardes le laissèrent passer. Le messager avait l'air presser et mort d'inquiétude, de l'autre côté de la porte on pouvait entendre ses pieds marteler la pierre du château. Il courut jusqu'à la cours intérieur et arrêta une servante pour savoir où se trouvait le maître, il en arrêta une autre pour qu'elle parte prévenir celui-ci qu'il était de retour et qu'il souhaitait avoir un entretien avec lui, car le message qu'il avait était de la plus haute importance. Quelque minute plus tard on le conduisit sans les appartements priver du maître qui l'attendait assis sur une chaise.

Le messager fit quelque pas dans la salle avant de s'agenouiller et d'attendre en silence.

-On m'a dit que tu avais un message important à me donner... je t'écoute.

Le messager fit quelque chose qui lui était interdit depuis toujours, mais avec le message qu'il allait délivré il voulait voir la réaction de son maître quitte à recevoir une punition par la suite. Il releva la tête lentement pris une grande inspiration avant de parler.

-Nous l'avons trouver. Elle se trouve dans un village à plusieurs kilomètre d'ici. Elle vit avec sa mère et elles se déplace sans arrêt.

Le maître ce releva doucement de sa chaise. Il n'arrivait pas à y croire, après tant d'année il avait enfin réussis à trouver sa némésis. Cette enfant au double destin. Il commença à marcher dans la pièce le sourire au lèvre. Il se demandais s'il allait réellement la tuer ou s'il allait essayer de la faire travailler pour lui. Dans les deux cas il gagnait son combat contre les dieux et c'est tout ce qui lui importait.

-garde cria-t'il. Ramener moi le prisonnier.

Quelque minute plus tard un homme au vêtement tâcher de sang, et à la barbe mal raser se tenait au centre de la pièce.

-j'ai une question pour toi, dis le maître, vas tu enfin me dire où sont ta femme et ton enfant ou vas tu continué de les protéger jusqu'à ta mort ?

-je... ne... dirais rien... vous pouvez continuer de le torturer... ça m'es égale... mais je ne condamnerais jamais mon enfant.

-je vois. Messager répète lui le message que tu viens de m'apporter.

Le messager qui avait repris son souffle, ce leva lentement et fis quelques pas en avant.

-Mon maître m'avait ordonner de retrouver ta femme et ton enfant, commença le messager. Il avança encore de sorte à se retrouver juste derrière le prisonnier. Ça m'a pris du temps, de l'énergie, et j'ai perdu beaucoup de personnelle à cause de ta femme. Mais, j'ai fini par les trouver. Ta femme... elle est si belle, si féroce, on dirait une lionne prête à tout pour son enfant. Et ta fille... elle est si belle, si innocente, si pure. Elles sont vraiment magnifique. Dommage qu'elles doivent mourir.

Le prisonnier n'arrivait pas à y croire, il avait fait tant d'efforts pour la cacher, tant de pilier était mort juste pour la protéger, un tel destin ne pouvait pas tenir sur les épaules d'une si jeune enfant. Tous ça parce qu'elle était la dernière hybride... il avait perdu. Il ne restait que deux pilier, lui et sa femme, après ça, le monstre qui sommeillait en elle allait se réveiller pour toujours et sèmera le chaos partout sur terre.

Le prisonnier fut ramener à sa cellule et le maître commença a monté un plan pour amener la fille et la mère chez lui.

Quelques jours plus tard, alors qu'une femme et son enfant étaient en calèche des brigands arrivèrent de nul part et les emportèrent avec eux. Elles passèrent dix jours en compagnie de ces ignobles personnes qui les utilisaient comme de simple objet, jusqu'au jour où un homme sortit de l'ombre et tua tous les brigands. C'était le maître, il était beau et une aura protectrice émanait de lui. Il emmena la femme et l'enfant dans son château et pris soin d'eux pendant les premiers mois. Une fois qu'il eut gagner la confiance de l'enfant, il appela les gardes pour que l'on monte le prisonnier dans sa chambre et qu'on lui jette un sort d'invisibilité. Une fois fait le maitre pris l'apparence du mari de la femme et la fit appelé.

Lune rougeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant