Chapitre 17:

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PDV Alexia :

{ à écouter avec Hurt de Christina Aguilera, vous allez adorer ! }

Moi : " c'est d'accord, je vais tout te raconter...

Tout à débuter le jour où j'ai rencontrer Jackson : je venais de rentrer dans ma nouvelle école, tout le monde était simpa avec moi, tout le monde à l'éxéption de ce monstre. Il était odieux, sans coeur et rabaissais toujours les autres. Il était le maître du lycée, terrorisait tous les étudiants. Tous sauf moi. Nous nous détéstions sans même avoir pris la peine de nous connaitre. Et un jour, nous dûmes travailler sur un exposé ensemble. Nous avons parler, nous sommes amuser et sommes finalement devenus amis. Nous étions incéparable mais, les sentiments que j'éprouvais envers lui changèrent peu à peu et passèrent de l'amitié à l'amour. Son cas était pareil. Enfin, c'est ce qu'il m'a fait croire.

Nous sommes sortis ensemble, j'étais folle amoureuse de lui. Mais comme on dit, l'amour rend aveugle, je n'ai donc pas vu son vrai visage. Et un jour, il m'a...il m'a vi...violée. "

Je pris une pose, me remémorant la scène qui c'étais passé 3 ans au par avant :

Si j'avais su ce qu'il avait prévu je ne serai jamais venue le rejoindre en pleine rue. J'ai cru qu'il était différent des autres garçons, qu'il m'aimait peut-être. Mais non.

Au début, c'était comme dans mes rêves les plus fou : Il a commencé par embrassé dans le cou. Il m'a emmenée un peu à l'écart de monde, dans une ruelle trés sombre.

Malheureusement, je m'en suis rendue compte trop tard, mon rêve était devenu un cauchemard. Il n'étais plus le même. il m'a plaquée contre un mur. C'étais fini les 'je t'aime'. Il m'a dit qu'il avait envie de moi, que je ne pouvais rien contre lui. Il a posé sa main sur ma bouche pour m'empécher de crier. Je sentais son souffle dans ma nuque. Alors qu'il m'arrachait ma jupe, je ne savais plus quoi faire. J'éssayais de m'échapper mais il me tenais si fermement que s'en était impossible. Je sentais mes jambes fléchir, j'ai cru que j'allais mourir.

Je le suppliais du regard mais c'était sans espoir.

Ma jupe tombée par terre, son jean étant déjà ouvert, j'étais épouvantée. Lui ? Il riait. Il s'est collé contre moi, il n'y avait que ma culotte pour nous séparer. J'avais peur. A ce moment j'ai prié Dieu de m'évanouir afin de ne plus entendre ses soupirs

J'ai ressenti une douleur atroce : il m'avait pénétrée avec force. Ses mains exploraient chaque parcelle de mon être. Je ne pouvais plus crier, aucun son ne sortais.

J'avais mal, je me sentais si sale. Il m'avait souillée, avait ruiné ma vie à jamais. J'avais envie de vomir, j'avais envie de mourrir.

Et puis il est parit en me laissant là : seule, nue et meurtrie au plus profond de moi.

Il m'a juste fais jurer de ne jamais en parler, m'a menacer de tuer ma famille, m'a tout raconter au sujet du gang et me voilà devenue son esclave, son objet, son jouet. Ne pouvant rien faire pour le contrer, j'ai été obliger de le suivre, de l'écouter. J'étais maintenant sa petite soumise. Et je venais de perdre ma virginité.

Je regardai Dylan dans les yeux, il était énervé mais je me dois de continuer, je lui dis donc :

"il a menacer de tuer ma famille Dylan, de tuer les êtres les plus importants à mes yeux ! J'ai vu de quoi il était capable, il avait déja tuer,qu'est ce qui l'empècherait de recommencer ? J'ai donc suivi ses ordres, lui ai obéis au doigt et à l'oeuil. Je devais le rejoindre chaque soir à notre repère. Là bas, je vivais un enfer ! Il me battait, me violait, j'étais épouvantée ! Mais Jackson agissait bizarement : aprés m'avoir fait tant de mal, il revenait, me soignait et s'éxcusait. Je n'ai jamais compris pourquoi il faisait ça. Mais un jour, il était devenu complètement fou : j'étais arrivé avec un peu de retard et dés qu'il m'a vue, m'a ruer de coups jusqu'à ce que je perde connaissance. À mon réveil je me suis retrouvée dans les égouts et il m'a...drogué. Enfin, plus précisément, a testé la drogue sur moi. Il m'a traitée comme de la merde, comme une moin que rien ! À ses yeux, je n'étais qu'un objet dont il pouvais se servire pour se "vider les couilles" comme il le disais si bien ! Je n'étais rien Dylan, RIEN ! J'étais une chose insignifiante ! Même un animal aurait été mieu traité que moi !

Save me bad boyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant