"si une personne t'aime vraiment, elle ne part jamais"
"Il y'a des personnes qui ne cessent jamais je s'aimer, simplement car ce qui les lies est plus fort que ce qui les divise"
À la vue de cette photo, mon sang bouillait de rage, les larmes aux yeux, je regardais Dylan avec dégout. Dire que je vien de me donner à lui, de faire ma "vraie première foi" avec ce salop ! Je le savais ! Je le savais ! À s'attacher aux gens trop vite, on sera toujours déçu !
Différentes émotions innondaient mon corp : la colère, la haine, la peine, la tristesse, le déchirrement, la souffrance, le déséspoire, l'amertume, la jalousie et plein d'autres encore. J'étais prête à exploser.
Moi : sors. Avais-je dis d'une voix calme mais incroyablement froide.
Dylan : attends 'Lex je peux tout t'expliquer !
Moi : il n'y a rien à expliquer ! SORS - avais-je dis plus fort, sentant les larmes affluer.
Il baissa la tête, murmure un petit "désolé" et quitta la chambre. Je pris mon téléphone et fixa cette horrible image sur laquelle on pouvait voir Dylan en train d'embrasser une pouf uniquement vêtue de sous-vêtements. Il m'avait trompée. Je n'allais pas pleurer, pas pour un homme qui ne connait pas la valeur de mes larmes. Je préparais en vitesse ma valise, je repartais chez moi ! C'est alors la tête haute que je dessendis les escaliers, bagages en main. Je fis un rapide au revoir à tout le monde exépté à Dylan à qui je ne jetais aucun regard. Mes yeux ne pouvaient pas supporter la vue d'une telle horreur. Je sortis de cette maison et appellai un Taxi, ce dernier me déposa devant la maison de ma mère.
Aprés trois petits coup, la porte souvrit laissa appairaitre une femme dottée d'une incroyable beautée : ma mère. Étonnée et heureuse de ma visite, elle me fit entrer chez elle avec joie. Mais aprés lui avoir narrer les derniers évènements, la joie laissa place à la colère sur son beau visage. Et, comme toute fille en dépréssion amoureuse, je troqua mon jean / t-shirt contre un pyjama rose avec des lapins. Nous sortîmes ensuite de la bonne glace, du nutella et mangeâmes en regardant Titanic.
Voyant la tristesse se propager sur mon visage, maman me prit dans ses bras et me murmura doucement : tout le monde te fera souffrir, il suffit juste de trouver ceux qui en valent la peine.
Moi : je suis tombée amoureuse de lui comme on s'endort, d'abord lentement puis tout d'un coup. Mais il faut seulement aimer. Pas tomber amoureux, car tout ce qui tombe ce brise. Et maintenant, je suis complètement détruite.
Elle me serra un peu plus fort mais ce moment de réconfort ne dura pas trés longtemps. Nous dûmes nous séparer lorsque quelqu'un toqua à la porte. Je me levai et allai ouvrir.
Chase : oh là ! J'en connais une qui est en pleine dépréssion !
Je lui sautais dans les bras, il m'avait manqué. Chase était partit quelque temps en mission et je n'avais pas pu le voir avec tout ce qui c'étais passé.
Chase : j'ai appris pour Dylan et toi, je me suis dis que tu serrais surement ici c'est pour ça que j'ai ammener ça !
Il me tendit un sac dans lequel je trouvais plusieurs boites de glace, du nutella, des bonbons...
Moi : super, nous manquions de provisions - dis-je avec peu d'enthousiasme.
Nous rejoignames maman dans le salon et elle sauta dans les bras de mon frère. Ce dernier dessida de nous tenir compagnie et de supporter ma mauvaise humeur.
Le soir venu, je montais dans mon ancienne chambre, là où j'avais laisser mes valises. Je rentrais dans mon lit, prête à m'endormir mais quelque chose vibra sous moi : mon portable. Je remarquais que j'avais plusieurs appels en abscence et messages non lus. Je pris alors la peine de les regarder.
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Save me bad boy
Romance"J'ai peur, peur de souffrir ... Encore " Alexia Wild, 18 ans, brisée. Afin de fuir et d'oublier ses problèmes, notre jeune héroïne quitte sa ville natale et part s'installer à New York. Elle y fera des rencontres, bonnes comme mauvaises et parmi e...