Chapitre 6 : Malaise prenant ses aises

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[Attention / Warning /Aufmerksamkeit / Atención / 주의 / 注意 : Le passage qui suit n'est pas compris dans l'histoire. C'est juste un gros mindfuck de l'auteur (moi entre autre). Peace / Paix / Paz / Frieden / 평화 / Bon ok promis j'arrête. Bye / Au revoir / 再见 / 和平 / Auf Wiedersehen... *mais ta gueule là !! Balance nous le chapitre !*]

\\\ Pierre, le père de Paul et de Tartempion... (Note de l'auteur : Bon ok c'était pour le fun. Mais techniquement parlant, si Pierre est le père de Paul, alors c'est aussi le grand-père d'Émilie... mais si Pierre est aussi le père d'Adam... alors Adam est le frère de Paul et donc l'oncle d'Émilie... (mindfuck) ///

Pierre, le père d'Adam, se réveilla par le bruit ambiant.

— Ah merde... je suis où... ?

— Bah au bar coco.

— Vincent... ? Qu'est-ce que je fous là... ?

Fabien, le gérant du bar s'approcha des trois hommes,

— Il est cinq heures les amis, le bar a pas encore ouvert et pourtant vous êtes encore là. Vous avez pioncé toute la nuit, ivre-morts ! Pierre, t'as sifflé tout un fût à toi tout seul. T'as dormi presque dix heure haha !

— Merde, on est... on est le vingt-cinq ?!

— Bah oui. C'est Noël l'ami.

— Je... merde, je vous avais dit que je devais rentrer à vingt heures hier soir !

— T'as commencé à boire et à brasser du noir en parlant de ton fils dans ton coin, puis tes deux potes sont arrivés, vous avez continué de boire. A même pas vingt heures t'étais couché, Pierre.

Il regarda, tant bien que mal, son portable. Des appels manqués de son fils. Des messages non lues.

— Merde merde merde merde ! Il va me tuer ! Je dois filer !

Il empoigna son téléphone portable et courut vers la sortie.

— Et la note ?!

— Vincent et Brice paieront !

Un peu moins de six heures du matin, Pierre passa le paillasson de sa porte.

— Adam ? Adam ?!

Il traversa le salon et ouvrit la porte de la chambre de son fils. Personne. Faisant le tour de l'appartement, il distingua diverses choses, notamment le plat, et la gourmette au sol. Il la ramassa, voyant son nom gravé dessus. La bûche de Noël déformé par la chute n'échappa pas aux yeux du père.

— Pierre, tu n'es vraiment qu'un con... rah merde, il ne manquait plus qu'ça !

***

Les rayons de soleil eurent raison de mon sommeil. Je m'extirpai du lit. Alors que je voulais rentrer à quatre heures du matin passé, les parents d'Émilie me proposèrent gentiment de dormir cette nuit dans la chambre d'ami. Un cadran s'était affiché sur le coin droite de ma vue avec le temps et la température extérieure. Dix heures cinquante-deux.

Y a pas à dire, je m'y ferais pas...

« Votre père a appelé cinq fois sans laisser de messages. J'ai pensé bon de vous prévenir, pensant que cela était urgent, au vue du nombre d'appels que vous avez effectué hier soir ainsi qu'aujourd'hui très tôt. »

— Merci Ange.

Je fixai l'écran d'accueil de mon téléphone avec les cinq appels manqués en notification.

Androhumain : L'homme électrique peut-il rêver ? [PAUSE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant