* C h a p i t r e 17 *

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Zack n'est plus dans la chambre, il y a que lui assit toujours sur le fauteuil.
Anna : Ema je vais partir chercher Zack.
J'hoche la tête, et je m'assis sur une chaise noir au coin de la chambre qui se trouve directement en face de Selime, un silence inconfortable remplit la pièce, je prend mon téléphone pour éviter ce mal à l'aise qui s'est produit entre nous, ses yeux me fixent toujours, oui je peux le sentir, je peux sentir que tout son attention est exactement sur moi.
Selime : Ema..Euh je suis désolé pour plus tôt..
Sa voix est désespéré, je ne lui répond pas, et je l'ignore en fesant semblant que je ne lui porte aucune attention, alors que c'est totalement le contraire, mes pensés sont toujours river vers lui.
Selime : Ema ?!
Cette fois je le répond en gardant toujours mes yeux sur mon appareil.
Ema : Ouais ?
Selime : Tu n'as pas entendu ce que je viens de te dire ?
Ema : Non désolé je ne t'es pas entendu.
Je le regarde cette fois si et puis je repose mon regard sur mon écran, il reste silencieux pour un moment puis il se met debout et commence à venir vers moi, quand il est enfin à ma hauteur, il prend une chaise et la pose directement devant moi, maintenant il nous sépare que deux pied, il s'assoit sur la chaise, j'essais de l'ignorer et garder mon attention sur mon téléphone, mais ça ne fonctionne pas pour moi, être à quelques pieds de lui, nos visages sont à quelques pouces l'un de l'autre, et sentir son souffle chaud qui frappe gentiment mes joues je ne pense pas que je réussirai à garder mon attention sur autre chose que lui et ne pas penser à lui ça devient impossible pour moi car je l'aime, et je l'aimerai pour le reste de mes jours.
Il coupe mes pensés en prenant mon téléphone doucement de mes main, le posant sur la petite table d'acôté, il prend mes mains dans les siennes, et je ne les retire pas. Il ouvre la bouche pour parler.
Selime : Mon amour, je suis vraiment désolé d'avoir réagir comme un con et de te crier.
Je frisonne lorsque ses douces lèvres font contact avec la peau de mes deux mains, en gardant toujours son regard plein d'amour et de tendresse sur mes yeux, Il me fait son plus beau sourire, et merde je ne pourai pas résister à lui, tellement il est beau.
Je lui souris à mon tour puis je dis :
Ema : Tu n'es pas un con.
Selime : Si je le suis.
Ema : Pourquoi tu as réagis de la sorte ?
Je ne peux m'empêcher de le lui demander la raison.
Selime : Quand tu n'étais pas pointé ici avec le docteur, j'ai perdu carrément la tête, et quand j'ai demandé au docteur, il m'as dit que tu as quitté son bureau depuis environ 15min, j'avais cru que tu n'allais pas bien, et j'ai commencé à imaginer des scènes, et pendant que je panique ici de ton absence et à avoir peur qu'un mal te soit arriver, tu rentre en riant avec Anna, c'est ce qui m'as rendu si furieux contre toi, c'est pourquoi je t'es crié, je suis désolé j'ai trop vite réagis, c'était plus fort que moi.
Ema : Selime personne n'osera me faire du mal quand tu es toujours là.
Le sourire qui accompagne mes paroles lui permet de se relaxer, et il sourit à son tour.
Selime : Alors tu m'as pardonné d'avoir être un imbécile envers toi ?
Nos visages sont si prochent.
Ema : Je t'ai dis que tu ne l'es...
Il m'interrompt en posant ses lèvres sur les miennes, chacun de nos baisers me semble incroyablement parfait, c'est just un baiser magique qui peut rendre tout magnifique autour de nous deux.
Il demande accès à ma bouche en mordant ma lèvre inférieure, et je le lui permet , nos langues danse l'une avec l'autre. On s'arrête et il colle nos fronts.
Selime : Je suis désolé.
Son ton est sérieux maintenant, il met son pouce sur ma joue tout en la caressant doucement.
Ema : Je t'aime.
Il embrasse mon front puis me tire vers lui pour me prendre dans ses bras.
Selime : Je t'aime.
Me dit-il contre mes cheveux en me serrant toujours dans ses bras.

Les entraves de l'amour.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant