* C h a p i t r e 34 *

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Une fois garer devant l'immeuble, je me précipite pour sortir, ne voulant pas laisser Anna attendre encore plus, mais une chose me retient la main avant que je puisse mettre pied hors de la véhicule, c'est Selime. Je le regarde sans comprendre pourquoi il me retenait.

Selime : Mon baiser ?! Dit-il le sourire toujours plaquer aux lèvres.

Ema : Selime, je te le donnerai une fois dans l'appartement, je veux pas être plus en retard.

Selime : Tu as dis tout ce que je veux, ne l'oubli pas.

Oh mon dieu, mais dans quoi je me suis embarqué, c'est vrai que l'embrasser ne me pose aucun problème, au contraire j'ai toujours cette envie de sentire ses douces lèvres sur les mienne, mais le problème c'est qu'il va me le demander tout les cinq minutes sans avoir assez, oui je le veux aussi j'en ai tellement envie, mais pas devant Zack et Anna.

Selime n'y prête pas vraiment attention à leurs présences, mais c'est le cas pour moi, je suis tellement timide et ça il le sais parfaitement bien, mais je pense qu'il s'amuse tellement du faite que je rougis quand il m'embrasse au public même s'il est au courant de mon mal à l'aise, et qu'il est vraiment conscient de cette situation qui me paraît gênante.

Je reviens sur terre quand Selime me surprend tout en posant ses lèvres sur les miennes ensuite porter ses mains à mon visage pour le porter entre ces derniers tout en l'approchant de lui, demandant plus de contact j'grippe mes mains à son cou.

Au moment ou je tire ses cheveux il pousse sa langue entre mes lèvres demandant accès à ma bouche, je souris contre ses lèvres au moment ou il mord délicatement ma lèvre inférieure. Le manque du souffle nous oblige comme toute fois de s'arrêter, il pose son front sur le mien au même temps ou il essaye chacun de nous de récupérer sa respiration.

J'ouvre mes yeux doucement pour le voir me regarder directement dans les yeux tout en souriant.

Selime : J'en ai pas finis avec toi.. Dit-il dans un chuchotement vu qu'on est tellement proche l'un de l'autre.

Il dépose en suite un léger baiser sur mes lèvres avant de descendre me laissant figer sur place visiblement sous le choque de ce qu'il venait de me dire.

Il ouvre la portière et c'est sûrement ce bruit qui m'a fait revenir sur terre.

Selime : Aller, n'ai pas peur ma chérie. Dit-il mordant sa lèvre essayant de ne pas sourire.

Je sors ensuite de la voiture, et le frappant sur le torse.

Ema : Hey, arrête de te moquer de moi. Dis-je faisant une mine boudante.

Il me tire vers lui me serrant entre ses bras en prenant soin de me caresser les cheveux, puis chuchote dans mon oreille.

Selime : Tu sais que tu es si mignonne quand tu boude.

Je souris contre son torse, ce sourire qui apparaît bêtement sur tes lèvres quand il s'agit de lui, la personne dont tu a tombé amoureuse, ou même encore quand il te complimente, quand il te prend dans ses bras, ce sourire que tu ne peux le cacher, ce sourire qui prouve que tu l'aime bien plus que tout.

Il me lâche pour m'embrasser le front avant de prendre ma main et m'entrainer avec lui dans l'immeuble.

Selime sonne et on attend main dans la main quelques secondes devant la porte, avant qu'elle ne s'ouvrit.

Anna : Oh vous êtes enfin arriver.

Je lui souris sachant qu'elle met autant d'effort pour cacher sa tristesse, de changer d'humour même avec la maladie d'Aude, il faut qu'on aille la voire.

Les entraves de l'amour.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant