* C h a p i t r e 37 * ll

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~ LA SUITE ~

Une fois arrivé devant la grande porte en fer noire, un bruit insupportable se fit entendre en la poussant, alors que je marchais vers la place où Ema peut bien être, des sanglots se fait entendre, quelqu'un pleure en se confiant à un être chère perdu depuis des années, au fur et au mesure que je m'approche de mon but, les sanglots et la voix douce non-joyeuse se fit entendre de plus en plus fort.

Au moment où je fais tourner mon regard vers la source des pleurs, mon coeur se déchire, une boule se forme au niveau de ma gorge, une brûlure intense s'invente violemment au niveau de ma poitrine qui m'engendre un immense supplice.

Comment peut-on sentir la peine d'une autre personne ? Évidemment parce qu'on l'aime plus que tout. Comment peut-on sentir toute cette douleur puissante en si peu de temps ? Pourquoi la vie ne que nous rendre de plus en plus tristes ?

Elle est là assise sur ses genoux et de dos à moi, à pleurer toute les larmes de son corps, et elle s'adresse à ses parents comme s'il étaient encore en vie, comme si ses deux parents l'écouter attentivement.

Ema : Pourquoi... vous m'avez laisser à souffrir seule ?... C'est injuste..ce que vous m'avez fais... J'étais si petite... Quand vous m'avez quitté... J'avais à peine sept ans... J'ai besoin de toi maman, de ton réconfort... J'ai besoin de toi aussi papa, et de tes conseils... J'ai besoin de vous deux... Pourquoi m'abandonner tout les deux au même jour ?... Pourquoi..la vie devrai être si cruelle ?... Tu sais maman..même si je l'ai vu avec une autre femme, je l'aime toujours... Certes j'ai mal au coeur, mais je l'aime encore, et je ne veux pas le perdre..

Mon coeur cessé de battre pendant quelques secondes, elle m'aime et elle a peur de me perdre, et moi je n'ai fait que lui cacher mon passé et lui mentir.

Alors que j'avance vers elle, l'entendre pleurer et se torturer ne fait que me déchirer intérieurement. Je m'assis derrière elle, en alongeant mes jambes chaqu'une à côté de les siennes, entourant sa taille de mes bras, posant mon menton sur l'un de ses épaules, son dos contre mon torse.

Elle a arrêté de se poser des questions, mais elle pleure toujours, mais cette fois silencieusement. Alors qu'elle se calme petit à petit, j'embrasse la partie dévoiler de sa peau douce, avant d'approcher mes lèvres de son oreille.

Selime : Je suis désolé mon amour.

Murmurais-je voulant la faire réagir, mais c'est en vain, elle renifle quelques fois en se combattant avec ses larmes espérant les stopper.

Selime : Moi aussi je t'aime, tu représente une grande partie de ma vie, et je ne veux pas te perdre.

Les entraves de l'amour.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant