L'EMPIRE DU MENSONGE

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Le dimanche , Mohamed faisait son jogging matinal  , il courait sur le trottoir le visage complètement trempé de sueur , son coeur battait  suivant le rythme de ces mouvements  , il écoutait de la musique , la tête ailleurs. Son séjour au Sénégal était loin d'être ce à quoi il s'attendait , que des hauts et bas.  D'abord son coup de foudre  , s'en suivait l'accident , la découverte de son identité et sa rupture avec Samira , qui l'affectait  pas tant que ça , même si il pensait à elle de temps en temps.  Malgré tout il se sentait mal mal par rapport à elle , le fait de la remplacer et de l'oublier en ci peu de temps . Leur histoire a été l'une des plus tumultueuses. Comment pourrait  il l'oublier à cause d'une rencontre bouleversante et  inattendue  ?  Resentait-il de l'amour , l'amour pur et sincère en Fátima, ou bien s'était juste un amour passager comme dans les films. Mohamed voulait se débarrasser de ces pensées  et  il a fini par se perdre , il ne savait plus ce qu'il voulait , ou plutôt qui il voulait. Il s'étirait en marchant , il était presqu'arrivé  chez lui , les rues  commençaient à avoir du monde ,il voulait en aucun cas  croiser l'ombre d'un seul  individu , Il était complexé  même si il était musclé. D'habitude ce sentiment n'atteint que les hommes minces . En faisant des sauts , accompagné d'un mouvement de ses bras , ses clés firent tombé par terre. Il s'accroupit pour les récupérer  , il vit une femme s'interposer  , et s'était Samira. Ils se  regardaient pendant un long moment après un contact vif sud l'objet . Au touché , ils sentirent leurs âmes jubilé comme s'il venaient de se rencontrer au paradis . Mohamed , avait retiré sa main ,au moment où  Samira essayait de récupérer les clés. Ils se mirent debout , en continuant de se regardait sans cligner des yeux , Samira était séduite , Mohamed l'était aussi mais il ne pouvait en aucun retourner avec cette stérique après tout ce qui s'était passé entre eux , pour la énième fois Samira essayait de jeter la faute sur lui  , s'en était trop. À qui la faute ? Samira avait mentit à propos du bébé , et Mohamed l'avait  manqué de respect en lui avouant qu'il en aimait une autre. Ils s'aimaient eh oui inutile de le nier  , Mohamed avait  une folle envie de se jeter dans ses bras , de même que Samira que ne manquait pas de mots pour s'excuser.

- Je sais que tu m'en veux débuta Samira ; au lieu de t'aimer je n'ai fais que te pourrir la vie , je suis désolé j'aurais dû y penser avant de te mentir sans raison , si il y avait une raison je ne voulais pas te perdre et voilà que je t'ai perdue .  Je l'ai réalisé durant ses nuits blanches très en émotions,  à penser à toi , à moi et à notre relation. L'amour ne peut  être forcé encore moins s'acheter . Je suis venu , ou plutôt je passai voir comment tu allais comme tous les matins , je te regardes à travers la fenêtre prendre  ton petit déjeuné ou bien regardait un match , j'étais resté cacher  et j'évitais que tu croise mon regard. Éh oui je t'espionnais et c'est ce  que j'étais  venu faire avant de m'apercevoir que tu n'étais pas encore rentrer.

- C'est ça le problème c'est pas que je ne t'aime pas mais tu es trop collante , tu me laisse jamais m'exprimer et dire ce que je ressens . Tu penses que nous les hommes il y a que le sexe qui nous intéresse mais non , on a aussi besoin de nous sentir compris et aimer ,  . Il suffit que je te dise bonjour pour que tu te déshabille , c'est pas  une partie de jambe en l'air qui me garder laissera auprès de toi .Tu ne sais même pas qui je suis au fond , et c'est ce que j'attends réellement de toi , tu me l'a jamais demandé. Es-ce si difficile ?  Quel est mon plat préféré ? Mon film préféré ? Qu'est ce que j'aime chez toi , tu penses que tout tourne autour de toi et de ta carrière.
j'ai une vie et je veux la vivre , et toi au-lieu de me la coloriée  tu veux que je vie ta vie selon le rythme de ton choix , non trop c'est trop lui , lança Junior très sincère.

- Je sais j'ai eu tors , et je m'en veux. Je suis désolé pour tout le mal que je t'ai causé. Bientôt tu n'entendra plus parler de moi , j'ai assez couru l'heure est venue de prendre ma retraite. T'inquiète je ne dirait rien à notre enfant Fit elle en sanglot.