Rire dans le noir de Flamewolf

Chapitre vingt-trois

«Tu ne comprends pas! Elle a volé le sucre mah! Si elle n'était jamais venue, Mistah J n'aurait jamais été égarée par elle », gronda furieusement la blonde furieuse, jetant le bonnet de son bouffon bicolore sur le bois nu du sol.

«Ce n'est pas ce que j'ai vu quand il est venu la chercher. L'homme était malade d'inquiétude pour elle. Harleen, ma chérie, je pense qu'il l'aime », essaya de raisonner Selina malgré tous ses instincts en lui criant de ne pas le faire.

«Comment peux-tu dire quelque chose comme ça! Mistah J m'aime ! Je pensais que vous étiez mes amies », la femme pétulante mordit, ses yeux bleus se rétrécissant alors qu'elle fixait la paire de l'autre côté d'elle d'une manière accusatrice.

"Nous sommes tes amis! C'est pourquoi nous essayons de vous éloigner de ce cher. Je sais que vous aimez cet homme obsessionnel, mais essayez de vous retirer et de réfléchir. Quand il est autour d'elle, je parie qu'il agit différemment, n'est-ce pas? Hun, Joker t'a toujours utilisé! Marie, d'un autre côté, je pense qu'il se soucie sincèrement d'elle, continua le cambrioleur félin, au cas où la femme à la queue de cochon allait essayer quelque chose de stupide.

Les yeux de Harley s'assombrirent lorsque ses mains gantées rouges et noires se serrèrent en poings tremblants. Pourtant, sous sa fureur, elle sut que son amie avait raison. Cela faisait longtemps que Joker ne lui avait pas donné un look semblable à ceux qu'il avait donnés à la prostituée, et encore moins bien traités. L'homme la traitait comme une gêne depuis des années, la frappant souvent lorsqu'elle faisait quelque chose qu'il n'aimait pas particulièrement. Il y avait aussi le petit fait qu'elle n'avait jamais été autorisée à s'approcher de sa chambre sans lui. Les fois où elle l'avait oublié, il ferait de son mieux pour s'assurer qu'elle ne l'oublie plus. Malgré tout, elle ne pouvait pas l'accepter. Elle aimait trop le criminel pour l'accepter. "Non! Non, tu te trompes! Mah puddin 'm'aime et seulement moi, "grogna la femme folle, prenant son épaule pour atteindre Reginald.

En un rien de temps, la femme en costume de bouffon se retrouva enveloppée dans des vignes et suspendue dans les airs. Ivy la regarda, ses yeux vibrants étincelant d'une intention mortelle. «Étais-tu sur le point de tirer sur mon petit chaton? Sur un homme que tu connais sacrément bien ne t'a jamais aimé? Je suis désolé Harleen mais nous ne pouvons pas accepter ce comportement. Tu n'es plus la bienvenue dans notre maison », siffla la femme mortelle, commandant aux vignes de mener Harley avec un geste de la main, teintée de vert.

"Bien! De toute façon, je n'ai pas besoin de toi », lança le voleur écarlate et vêtu de minuit, les larmes coulant sur ses joues à demi masquées. Puis elle se retrouva jetée par terre, la porte d'entrée claquant derrière elle alors que son chapeau flottait sur ses genoux.

En retirant sa combinaison, l'ancienne médecin renifla alors qu'elle redressait ses queues de cheval, attrapait son chapeau et se relevait. Malgré ce qu'elle avait dit, son cœur se brisait lentement à cause du fait que tout le monde autour d'elle l'abandonnait lentement. Ces deux femmes étaient ses amies depuis que Joker l'avait emmenée dans ce monde sombre. Ces jours-là, il avait presque agi comme s'il l'aimait mais, regardant en arrière, elle devait se demander s'il l'aimait vraiment. Même dans les premiers jours, il avait facilement été impatient, semblant presque frémir au contact avec elle. Il l'avait même repoussée plusieurs fois, un air aigre sur son visage peint. Si elle était vraiment honnête avec elle-même, il était douteux que Joker l'ait jamais vraiment aimée.

S'essuyant les yeux avec colère, la blonde ferma les yeux alors qu'elle luttait pour s'accrocher à l'illusion que le méchant l'avait aimée. Son cœur se serra dans sa poitrine alors qu'elle respirait fortement par les narines, collant son chapeau sur sa tête. "Je vais leur montrer, il m'aime," siffla-t-elle, ignorant ce que son cœur et son esprit lui disaient. Rétrécissant ses yeux céruléens, elle ignora sa logique et partit simplement avec ses émotions.sortant un téléphone portable alors qu'elle s'éloignait de la maison délabrée.