chapitre 21

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Chapitre 21

Baye modou savait ce qui l’attendait après avoir frappé Mayna. C’était la raison pour laquelle il avait préféré aller au mali le temps que tout cela se tasse un moment et que son cinglé de frère se calme également. Mais comme la dernière fois, il avait pensé que Mayna n’allait pas s’en aller car elle tenait beaucoup à la situation financière de sa mère ; Seulement, il fut pris de haut quand il avait été mis au courant du départ de la jeune femme ; il savait qu’elle était rebelle mais il avait pensé qu’elle ne serait pas assez bête pour tout laisser tomber.

Il était sûr et certain qu’elle avait un amant et cela, il allait le faire savoir à ses parents.

Quand aida l’avait appelé pour lui dire que Mayna était parti, il avait failli dechanter. Mais sa première femme ne s’était pas arrêté là, elle s’était mise à le traiter de tous les noms d’oiseaux augmentant ainsi sa colère. Il avait ainsi trouvé l’occasion parfaite de la répudier car il en avait toujours eu envie…

Croyant que la vielle femme allait se confondre en excuses, elle lui avait juste dit qu’elle avait attendu ça avec plaisir et qu’à son retour, il n’allait pas la trouver dans cette maison… et tac elle raccrocha. En réalité, c’était la première fois qu’aida lui parlait comme ça et il en avait eu le cœur lourd…

Il avait donc appelé soda la deuxième qui l’avait rassuré et l’avait promit de s’occuper de lui à son retour, seulement la jeune femme ne savait pas ce qui l’attendait, car dès que baye modou avait su le départ de Mayna, il s’était mis en quête de trouver une autre femme. Mais maintenant qu’aida aussi allait partir, il allait tout bonnement la remplacer elle aussi. Finalement, il avait du pain sur la planche se disait-il tout content.

De toutes les façons, il devait rentrer le même jour. En réalité, il n’aimait pas avoir ses affaires à distance car il y avait des choses que lui seul pouvait contrôler et une grande partie de ses chantiers n’avaient pas été terminée. Il appela son fils Malick. Ce dernier avait aussitôt répondit…

Baye : bonjour toi. Tu es ou ?

Malick : à la maison.

Baye modou : ou est ta mère ?

Malick : partie.

Baye modou : tu ne sais pas où elle est allée ???

Malick : non !

Il se rendait compte que son fils était froid au telephone mais il savait que c’était dû au départ de sa mère. Il n’en fit pas cas trop longtemps car il prenait l’avion dans quelques heures…

Baye : écoute tu iras à l’agence de sécurité, tu diras à ton oncle mor de me trouver deux gardes du corps pour ma sécurité. Tu iras dans la chambre de Mayna, il y a ma carte visa sur la table, tu vas retirer 500 000f en deux tranches. Tu donneras les 450 000f à ton oncle et tu donneras le reste à soda.

Malick : papa je ne voudrais pas prendre de l’argent dans ton compte pour qu’après tu me dises que j’ai volé quelque chose dedans. Il faut que je connaisse ton solde pour qu’après je puis faire le compte avec toi.

Baye s’énerva : ne me fatigue pas Malick. Je ne connais pas le solde. Vas retirer…

Malick : je n’ai pas de transport…

Il lui cria : et bien va retirer et tu prends 5 000f pour toi… je rentre dans deux heures. Ciao

Il raccrocha laissant son fils encore plus en colère. Il savait maintenant à quelle heure son père allait rentrer. Dans deux heures il prendra l’avion, donc il sera la vers 16h pensait-il. Il se précipita pour appeler amath et sada. Car en réalité, lui mieux que quiconque avait envie de faire payer son père pensait il en montant dans la chambre de Mayna…

le goût du désir Où les histoires vivent. Découvrez maintenant