Chapitre 31
2h35 du matin, Marrakech, hôtel Riad Papillons, chambre 4
Amath : dis-moi une chose…
Mayna : hum…
Amath : rire tu ne peux plus parler donc ???
Mayna : laisse-moi au moins reprendre mes esprits. Tu es trop endurant quand même.
Amath : ok Darling…. Mais dis-moi, pourquoi tu gémis quand je te touche ??
Mayna écarquilla les yeux. Ces quelques jours qu’elle venait de passer avec son mari lui avait appris à ne plus être choquée de ses mots cru et de sa directivité. Il ne se gênait pas devant sa femme et disait tout ce qu’il lui passait par la tête…
Mayna : tu ne sais pas pourquoi je gémis ?
Amath, faisant l’innocent : non !
Mayna : donc jusqu’à présent, tu ne sais pas le potentiel que tu as ?
Cette fois ci il ne put retenir son sourire…
Mayna : goujat….
Il l’attira de nouveau a lui et elle essaya de se dégager. Elle était fatiguée, épuisée par les assauts de son mari qui n’en avait jamais assez. Elle avait même peur d’avoir des déchirures car elle n’avait jamais fait l’amour autant de fois dans une semaine.
Elle s’était rendu compte que baye modou n’était rien devant amath. Ce dernier prenait son temps pour faire les choses de manière bien. Il se souciait du plaisir de sa femme du début à la fin. Il aimait la regarder jouir, et il adorait que ça soit lui l’auteur de tout ça. Dans ses bras, Mayna était comme une plume et n’avait plus aucune retenue quand il s’occupait de lui…
Seulement, elle se rendait compte qu’il avait une grosse verge et que ça mettra beaucoup de temps pour qu’elle s’adapte…
Amath : bon d’accord je vais te laisser te reposer jusqu’à demain…
Mayna gloussa : rire amath je ne suis pas ta chose.
Il lui souffla : ah oui ? Tu voudrais que je te prouve le contraire ?
Elle se précipita pour répondre : non non… c’est bon je suis ta chose…
Il éclata de rire puis la serra dans ses bras… ils n’avaient pas sommeil car ils avaient passé leur journée au lit à se câliner et à faire l’amour. Amath n’avait jamais vécu de si bon moments avec une femme. Même pas avec son ex-femme.
Il sentait que Mayna tenait à lui et l’intensité de leur étreinte le prouvait. A chaque fois, aux milieux de leurs ébats, il s’arrêtait toujours et la fixait droit dans les yeux. Il lui disait un je t’aime tellement sincère que cela avait toujours le don d’augmenter le désir de la jeune femme.A présent, ils avaient fait plus de 5 jours au Maroc et tout se passait comme ils le voulaient… une lune de miel parfaite…
Mayna : dis-moi…
Amath : hum…
Mayna : tu ne m’as jamais parlé de ton défunt père…
Amath : bien sûr que je t’ai parlé de lui. Je t’ai dit qu’il est mort…
Mayna : arrête de faire le fou babe…
Elle le sentit se crisper sous la couette mais ne comptait pas s’arrêter. Elle avait en effet remarqué qu’amath avait l’habitude d’éviter le sujet de son père.
Amath : il y a peu de gens qui savent que celui que j’appelle papa n’est pas mon père. En fait il est mort quand j’avais 20ans. Il avait eu une crise cardiaque et n’était pas revenu. Quelques temps après ma mère a épousé quelqu’un d’autre. A l’époque, j’étais un petit rebelle et j’ai préféré m’éloigner d’eux pendant un moment. Mais deux ans après son remariage, je me suis rendu compte qu’en fait, il était un homme bien. Et j’ai commencé à l’appeler papa. Il était comme mon propre père et m’a soutenu envers et contre tous. Jusqu’au jour du décès de mon fils…
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le goût du désir
RomanceCest l'histoire d'une femme contraint de se marier a un homme polygamme (3 femmes) entre jalousie désir et obsession nous allons découvrir l'histoire epoustoufflante de mayna.