Destiné à briller ( Le français ) #wattys2019

Chapitre 4 - Une enfance différente.

Au fil du temps, les choses semblaient normales, sauf Layla me garder en ignorant. Même vivent confortablement certaines choses sont irremplaçables. Malheureusement, l'essentiel était manquante: l'amour de ma mère; laissant un vide profond que l'argent ou des cadeaux pourraient compenser.

Mon père et moi, d'autre part, ont un lien affectif marqué par un lien invisible de l'amitié. Il a partagé l'amour et l'affection entre les trois d'entre nous aussi, sans faire de distinctions. L'une de ses plus grandes compétences était de nous faire sourire de raconter une histoire, même si elle était bonne, il pouvait improviser et le rendre spécial. Comme un enfant ne dormait pas à moins qu'il ne me donnerait une bonne nuit, suivi d'un baiser et une brève lecture. Le son de sa voix résonnait comme une douce mélodie et je suis tombé rapidement endormi.

Je ne dirais pas que mon enfance était une honte, au moins une fois par an nous sommes partis en vacances et il était incroyable. Nous allions dans des endroits fantastiques où il y avait toujours un beau paysage. Une fois, nous sommes allés dans les Alpes françaises, au moment où j'avais six ans. Notre destination était Annecy, une petite ville et le privilège d'être situé au bord d'un lac d'eau claire.

Je me souviens encore vaguement la belle vue: toile de fond blanc et des arbres gigantesques au milieu des chalets confortables, qui était certainement notre meilleur Noël ensemble. Les trois d'entre nous aiment jouer avec des guerres de boules de neige, faire des poupées, le ski et boire du chocolat chaud par le feu; tandis que papa nous a amusés avec leurs histoires. Pas même la froideur de Layla me desmotivou, peut-être parce que l'hiver a toujours été ma saison préférée et en quelque sorte senti connecté à ce climat.

Cette année a remporté une collection de livres dont le sujet impliqué le monde secret des fées, ma grand-mère paternelle Sarah, qui étaient fabuleux. Même mes huit ans que chaque enfant avait mes fantasmes et aimait me imaginer une volonté accordant la neige de fées. J'étais obsédé, après que toutes les fées étaient des créatures redoutables qui aident les gens à réaliser des rêves, prendre malédictions et ont une vie heureuse.

Je mets une robe bleue, ailes Pauline cousait ma nounou et sortir sauter la maison ou le parc. Cela est devenu mon passe-temps, peut-être parce que le monde créé m'a aidé médite une vie plus joyeuse. Cela m'a fait me sentir invincible comme une héroïne avec superpuissances.

Un autre qui a continué à transmettre le bonheur à tout le monde était Phillip, puisque Marcus est devenu surprotecteur et aimait ce rôle. Être frère aîné voulait voir que nous ne machucássemos (essentiellement I) ou non, nous nous impliqués dans une sorte d'ennuis (si Phillip). Papa savait combien il était en charge et il l'a rendu très heureux, comme Marcus a montré beaucoup de maturité.

Amélie, ma grand-mère maternelle, dit régulièrement que je regardais en morceaux avec les deux. Comme Phillip, je pouvais captiver les gens et comment Marcus a été déterminé et observatrice. Sans l'amour de ma mère, elle vient de devenir un personnage féminin au cours de ma croissance. Amelia et mon grand-père, Erick, une grande commandaient cabinet d'avocats et même si elle est une femme d'affaires, je savais que, si nécessaire, pouvait compter sur leur soutien. Même avec tout cet amour, l'absence de Layla mon coeur se serré.

Ensuite, j'ai commencé à développer des compétences pour l'impressionner, car de petits appris assez facilement. Autour de cinq ans, en plus de parler trois langues (français, anglais et allemand), pourrait lire et le ballet pratiqué. Comme je l'ai grandi, comme un enfant, il a essayé d'être la fille parfaite et que mes parents soient fiers. Cependant, rien ne semblait satisfaire Layla; mais que j'ai essayé était jamais assez bon pour elle.

Christopher embêter avec cela, après tout, et comprendre le mépris d'une mère pour sa propre fille? Mon père se sentait mal pour la façon dont elle m'a traité et son expression dit clairement, mais je pensais que le droit de prendre toute charge, parce que s'il y avait une dispute entre les deux, je suis la raison. Il fait pas mal d'avoir son amour, je me sentais comme il était plus des objets qu'il y avait seulement pour décorer la maison.