Pafff, une gifle qui m'a réveillé dare-dare.
_________________________________* HABIB *
J'ai pas senti ma main se levait pour atterrir sur sa joue.
C'est après l'acte que je me suis rendu compte que je viens, pour la première fois de ma vie, de lever la main sur une femme.
Mais l'heure n'est pas au regret et je ne compte pas m'excuser.Elle me regarde, les larmes aux yeux, incapable de parler. Cette vision m'écrase le cœur mais c'est un mal nécessaire.
Je la pousse pour me frayer un chemin et rentre. Je ferme la porte et ensuite lui prend le bras pour la guider au salon.Je sais que je serre assez son bras pour lui faire mal mais c'est pas mon problème.
Les féministes ne venez même pas me fatiguez ici hein. Je sais ce que je fais ou afin, je crois le savoir.
- Tu, tu me fais mal, lache moi Habib. Sauvage que tu es.
Pafff.
Encore une gifle.
Elle s'écroule sur le fauteuil et se met à sangloter bruyamment.
Je regarde la table et voit la bouteille de whisky presque vide.Dans un excès de colère je la lance sur le mur. Elle sursaute.
- TU TE PRENDS POUR UNE GAMINE C'EST ÇA ? JE TE LE JURE QUE JE VAIS TE DRESSER. JE TE DONNE MA PAROLE ASTOU HANNE QUE DINA LA YARR (JE VAIS T'EDUQUER)
- TU NE ME COMPRENDS PAS, J'AI J'AI MES RAISONS.
Ses paroles sont entrecoupées à causes des larmes.
- TU L'AS FERME LAWAKH (JE TE DIS)
Je m'avance vers elle, elle se couvre directement le visage, je recule d'un pas et lui dis
- SOMA DAGUATÉ SOUMAY WAKH, DINALA NOK BAGUA DOUL FI. YAW DAGUANIOU BEUGU YAPP KHAMO REWW BA DOFF. YAW BEATRICE AK BABACAR NIO TAKH GUA MEL NIGUA MEL MAIS DIÉKHNA. DIGUA RÉGLÉ BA MA RAYLA ( Si tu m'interromps encore en plein parole, je te corrige. Tu te fous de nous. C'est à cause de Beatrice et babacar que tu es impoli mais c'est fini. Soit tu te calme où je te tue)
Elle se recroqueville et continue de pleurer.
Je m'avance vers elle et la soulève assez violemment.- HEY, regarde moi tout de suite et explique moi le problème. Pourquoi tu te comporte comme une pute.
Elle me regarde et écarquille les yeux.
- NE me regarde pas comme ça.
TU CROIS QUE TU PEUX FAIRE LA PUTE SANS QUE JE LE SACHE HEIN. MANE MAY BOY TOWN, DEUK SI DEUK BI, YAW DAGUA MEUNA DEF LOUMA OUMPP IMBÉCILE. ( Je suis née en ville, tu crois que tu peux cacher tes actes sans pour autant que je le sache)Elle se mit dans un silence.
- Tu vas parler Oui ou Merde. Kholal je te donne 5 secondes si tu ne me réponds pas, je t'envoie à la morgue directement sale pute.
Et tes larmes de crocodiles, tu les gardes ok.
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Ironie du sort " Tome 1"
RomanceIl y'a tout qui nous sépare. Mais ne dis t'on pas que les contraires s'attirent ? Entre secrets, un passé lourd, des réactions inappropriés, la culture, réligion, l'amour finira t'il par triompher ??