Partie 23

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- Ne t'inquiête pas, je suis musulmane après tout et je ne ferais pas de bêtise je te le promets. Jamais je ne me suiciderais. Je t'aime Mike Brocart.
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* ASTOU  *

- SORS DE CHEZ MOI, SALOPARD. TU ES DÉGOÛTANT

- Oh, du calme, ma chérie, tu n'avais pas dit cela quand je te prenais de tous les côtés.

Je mets ma main sur ma bouche, les larmes qui floutent ma vision. J'encaisse ses paroles difficilement. Il est si méchant et dégoûtant.

- Tu m'as vi- violer, je n'étais pas consentante, tu, tu as abusé de moi.

- Tu veux regarder la vidéo? En tout cas le peu de gens qui l'ont regardé t'adorent, tu les fais bander rien qu'en te regardant gémir. T

Je cours vers lui pour le gifler mais il me stoppe dans mon geste et me donne un coup de point sur le ventre.

- Sale pute, ne t'avise plus à vouloir lever la main sur moi.

Je me recroqueville sur moi, me tordant de douleur. Faisant fi de ma douleur, il empoigne mes cheveux et tire avec une telle force que j'ai pas pu m'empêcher de crier d'un cri sauvage.

- TU AS COMPRIS?

Faiblement je lui répond par l'affirmation.

- Voilà j'aime cela. Maintenant écoute moi bien, je t'ai trouvé des clients. Dans deux jours, je viendrais te prendre, porte une tenue provoquante, je vais t'amener voir ton premier client. Je sens que tu me rapporteras beaucoup d'argent.

Je pleure sous ma barbe.

- Sinon, ta vidéo sera dans tous les réseaux sociaux. Je te promets que je détruirais ta vie si jamais tu ne fais pas ce que que je te demande de faire.

- je ferais tout ce que tu voudras mais pas ça Stp.
- Comme c'est si génialement demandé je vais pas la publier. Maintenant enlève moi cette robe.

Je le regarde et le supplie de ne pas faire cela. Il me gifle et me déshabille.
Je suis toute nue, j'ai tellement honte et je me dégoûte tellement.
Il se dépêche enlève sa ceinture, ses yeux rouge il me regarde comme si j'étais une proie. Il descend son caleçon et se met sur moi, je ferme les yeux et attend qu'il me déchire encore une fois incapable de réagir.  A quoi beau se défendre, je suis foutue.

Il m'embrasse tout le corps comme si sa vie en dépendait  et m'écarte les jambes. Je me force à penser à autre chose, je me mets à entendre la voix de Habib, qui devient d'ailleurs de plus en plus claire, il est sûrement au téléphone. J'ouvre les yeux et me rend compte que je ne rêve pas.
Au moment où je compte appeler son nom, je sens quelque chose entrer en moi, j'ai pas pu m'empêcher de crier. Il a été tellement brutal que j'en ai eu le souffle coupé. Il bouge plus et met sa main sur ma bouche pour m'empêcher de recrier. Je me débat comme encouragée par le fait que Habib ne soit pas loin. Il m'a fait avoir le courage de lutter.

- HA, HABI
Il me gifle.

J'entends qu'on frappe à la porte. Le salopard se retire de moi et m'arrache un gémissement de douleur. Je sanglote comme un enfant.
J'entends des pas se rapprocher rapidement, Habib a les doubles des clés qu'il avait pris le jour où il m'avait trouvé soûl.
Il court vers moi, j'ai voulu lui montrer le violeur qui ce cache derrière une porte mais j'ai pas la force de bouger, je le regarde juste. Il me fais un sourire deguelasse puis sort de chez moi.
Habib se retourne pour voir ce qui attire tellement mon attention mais il était déjà parti.

Il me soulève.

* HABIB *

Je la soulève mais la repose à la seconde après avoir senti un liquide coulé sur ma main. Je regarde et voit du sang.
J'ai flippé, putain.

Ironie du sort " Tome 1"Où les histoires vivent. Découvrez maintenant