Sexy psycopath {Tk}

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Les aveux, les préjugés, les indices puis les informations.

Min Yoongi

Cela fait déjà vingt-six heures que je n'ai pas touché ce petit blond en cellule. Qu'est-ce que c'est long putain...

Son regard insurmontable, ses cheveux insupportables, son sourire angélique que je n'ai toujours pas pus apercevoir me manquent affreusement.

Comment peut-il autant être important en si peu de temps ? Je m'attache pourtant pas vite.

D'ailleurs, en y pensant je ne lui ai même pas apporté de quoi manger...
Merde. C'est comme un gosse ce truc...

Je décide donc de lui apporter un bol de nouilles accompagnées de bœuf que j'ai préparé il n'y a pas longtemps, pour assouvir à ses besoins que je n'ai même pas pris en compte.

Je ne suis vraiment pas intelligent ou c'est le sommeil qui m'empêche de bien réfléchir ?

... peut importe, de toutes manières ce n'est pas vraiment important de connaître la réponse.

~
Arrivé devant la porte 4, je tends mon oreille pour essayer d'entendre sa douce voix d'enfant, mais rien.

Absolument rien. C'est étrange qu'il ne veuille pas se débattre ou hurler au secours.

D'habitude ils crient tous « pitié » ou « pardon »...

En y réfléchissant d'avantage, même au début quand il était arrivé ici il n'avait pas osé riposter. Je dois me l'avouer, il est spécial.

Et pas parce que c'est mon préféré, bien sûr que non. Mais il a un comportement étrange, peut-être même unique.

Je décide enfin à ouvrir la porte, avec difficulté puisque j'ai une main pour tenir le plateau et l'autre pour tourner les clés et ainsi pousser ce gros bout de ferraille.

Une monstrueuse lumière fine se fait apercevoir d'un seul coup, les murs grisâtres me brûlent les yeux tellement l'endroit est laid.

Je n'arrive pas encore à voir le doux corps du petit Park...
Dommage, j'étais venu spécialement pour lui.

Je pose doucement le plateau au sol, je compte m'en aller directement après lui avoir enlevé ses menottes. Mais...

J'ai bien envie de m'amuser aujourd'hui, cela fait tellement -trop- de temps que je n'ai pas profité. Vingt-six heures... c'est long.

Je m'approche dangereusement du corps d'ange tout sage sur sa chaise et à présent, seulement maintenant je peux observer sa belle peau toute rosée et si délicate telle un bambin.

Ses yeux sont verdoyants et brillent telle une étoile dans le ciel tardive de Séoul, ses lèvres rose telles des bonbons sucrés, pulpeuses telles un coussin fait de soie... son corps musclé sous son t-shirt blanc m'excite à petit feu.

Je l'imagine nu devant moi, se touchant en criant mon nom.....

Putain, je suis un accro au...sexe...